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Lucas Humoriste, star montante de TikTok

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Lucas Baudot, alias Lucas Humoriste, a 19 ans et d’origine chalonnaise (Bourgogne). Actuellement, étudiant en sociologie, il se destine à une carrière de sophrologue. Son objectif : apaiser les personnes.

photo de profil Instagram
© lucas.humoriste

Lucas a déjà séduit les réseaux sociaux, comptabilisant 2 173 abonnés sur Facebook,      5 600 sur Youtube, 20 700 sur Instagram. Il s’impose sur TikTok avec plus de 6,8 Millions de mention « j’aime ». Lucas Humoriste réalise de courtes vidéos (maximum 3 minutes) en imitant tous les corps de métier de la vie quotidienne (vendeuse, factrice, opticienne, CPE, monitrice d’auto-école etc…). Vous retrouverez parmi ses personnes « La Mumu », femme blonde à lunette, élancée et attendrissante, pleine de surprise.

Lucas Humoriste souhaite détendre par le souffle en tant que futur sophrologue. Aujourd’hui, il détend par le souffle du rire.                                                                 Ses personnages improvisés proviennent d’une observation aiguisée de la vie. Il pose son téléphone pour savourer les pépites du quotidien, puis partage avec bienveillance ses imitations. Sa cousine Melyne l’assiste derrière la caméra. Son audience rassemble aussi bien les plus jeunes que les plus âgées. Tout le monde peut se retrouver, voire revivre une situation de la vie.

➡️ YouTube : Lucas Humoriste

➡️ TikTok : @lulucaskip

➡️ Instagram : @lucas.humoriste

Les Irréductibles de l’île St-Laurent

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Bienvenu(e)s à l’Ilotabac

Notre rue de Strasbourg, sur l’île Saint-Laurent, si animée habituellement, lieu de vie, de rencontres, de retrouvailles et de soirées…, est depuis le premier confinement, silencieuse, voire désertée.
On se croise en voisins, mais on ne peut plus partager en étant assis.
Un des derniers lieux où l’on se rencontre encore est l’ILOTABAC.

Ce bar-tabac, presse, loto, a été repris en 2015 par Séverine et Stephan, mariés depuis 25 ans du haut de leurs 50 ans.
L’idée a germé et s’est concrétisée dans la grande aventure de ce lieu qui vivait depuis déjà 4 générations.
En apportant d’eux, ils ont embelli et amélioré l’endroit (déco vintage, développement du PMU, AMIGO, et de surcroît SNACKING !).

Un rendez-vous où les habitants de l’Île partageaient un verre, un café, un jeu, autour d’une table. On peut, à l’extérieur évidemment, croiser les fidèles, malgré la situation sanitaire. Il faut juste connaître les heures des habitués, et/ou en être soi-même.
Les choses ont changé (effet COVID), mais l’adresse reste le lieu où se croisent les habitués et les copains, en cherchant leurs journaux ou prendre un café à emporter.
Séverine, ancienne experte en assurances, travaillait seule ici. Stephan, commercial en grande distribution, l’a rejoint il y a 2 ans.
Ils ont su s’adapter depuis la COVID…, les horaires, les services, de nouveaux produits du terroir, etc..

Cela change évidemment leur rythme de vie, mais ils assurent !
Ils ont connu des jours bien meilleurs, mais ils sont là, IRRÉDUCTIBLES !
Ils ont même connu des violences verbales et physiques, concernant le port du masque, face aux récalcitrants, mais toujours avec le sourire et la gentillesse.
Malgré tout, les comportements se sont arrangés lors de l’obligation du port du masque généralisé dans la rue.
Ceci étant dit, le manque de passage, depuis la fermeture des restaurants et bars, impacte beaucoup.
Déjà leur activité-bar fermée…

Ils ont des aides de l’état, mais cela ne compense pas. Ils ont perdu environ 10 % de clientèle entre les deux vagues.
En tout état de cause, ils sont très satisfaits du soutien de notre ville et du grand Chalon (pour exemple le mise en place d’aides, d’opérations commerciales et la facilité de stationnement, au cours de l’année 2020).
Les IRRÉDUCTIBLES de l’Île, comme je les appelle, sont toujours présents.
Séverine et Stephan espèrent que tout va se rétablir pour notre rue de Strasbourg.
Les « MANCHONS », ou casse-croûte, du dimanche matin, leur manquent… Tous ces moments d’échanges…

Je vous invite à leur rendre visite,
Au plaisir de vous y croiser !

 

 

 

 

 

 

 

3 mai, journée mondiale de la liberté de la presse

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Le 3 mai sert à rappeler aux gouvernements la nécessité de respecter leur engagement en faveur de la liberté de la presse et constitue également une journée de réflexion pour les professionnels des médias sur les questions relatives à la liberté de la presse et à l’éthique professionnelle. Tout aussi importante, la Journée mondiale de la liberté de la presse est une journée de soutien aux médias qui sont des cibles pour la restriction ou l’abolition de la liberté de la presse. C’est aussi une journée de commémoration pour les journalistes qui ont perdu la vie dans la poursuite d’une histoire.

Tous les ans, la Journée mondiale de la liberté de la presse permet de célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse, d’évaluer la liberté de la presse à travers le monde, de défendre l’indépendance des médias et de rendre hommage aux journalistes qui ont perdu la vie dans l’exercice de leur profession. Le 3 mai a été proclamé Journée mondiale de la liberté de la presse par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1993, suivant la recommandation adoptée lors de la vingt-sixième session de la Conférence générale de l’UNESCO en 1991. Ce fut également une réponse à l’appel de journalistes africains qui, en 1991, ont proclamé la Déclaration de Windhoek(link is external) sur le pluralisme et l’indépendance des médias.

L’UNESCO a au coeur de son mandat la liberté de la presse ainsi que la liberté d’expression. L’UNESCO pense que ces libertés permettent une compréhension mutuelle pour construire une paix durable.

La Journée permet d’informer les citoyens sur les atteintes portées à la liberté de la presse. Dans des dizaines de pays à travers le monde, des publications sont censurées, condamnées, suspendues ou tout simplement n’ont plus le droit de paraître, alors que des journalistes, des rédacteurs en chef et des éditeurs sont harcelés, attaqués, détenus ou même tués.

A la faveur de cette date, nous pouvons encourager et développer des initiatives en faveur de la liberté de la presse mais également évaluer l’état de la liberté de la presse à travers le monde.

JOURNÉE MONDIALE DE LA LIBERTÉ DE LA PRESSE 2021

Cette année, le thème de la Journée mondiale de la liberté de la presse est : « L’information comme bien public ». En défendant cette notion, la Journée mondiale affirme l’importance de défendre l’information comme un bien public, souhaite explorer ce qui peut être fait dans la production, la distribution et la réception de contenu pour renforcer le journalisme et faire progresser la transparence et l’autonomisation tout en ne laissant personne de côté. Le thème de la Journée mondiale est d’une pertinence particulière pour tous les pays du monde car il prend en compte l’évolution d’un système de communications qui a un impact sur notre santé, les droits de l’homme, les démocraties et le développement durable.

La Journée mondiale de la liberté de la presse 2021 mettra notamment en évidence trois impératifs pour cet écosystème :

  • Des mesures pour assurer la viabilité économique des médias d’information ;
  • Des mécanismes pour assurer la transparence des sociétés Internet ;
  • Le renforcement de l’éducation aux médias et à l’information permet au public de reconnaître et de valoriser (ainsi que de le défendre et de l’exiger) le journalisme en tant qu’élément essentiel de l’information, elle-même considéré comme un bien public.

MESSAGE DE LA DIRECTRICE GÉNÉRALE

« Cette année, le thème retenu pour célébrer la Journée mondiale de la liberté de la presse, « L’information comme bien public », souligne la valeur incontestable d’une information vérifiée et fiable. Il appelle l’attention sur le rôle essentiel que jouent les journalistes libres et professionnels dans la production et la diffusion de ces informations, luttant contre les fausses informations et autres contenus préjudiciables. »

— Audrey Azoulay, Directrice générale, Journée mondiale de la liberté de la presse

Téléchargez le message complet au format PDF

Textes Unesco

Dessins, Photos : Unesco, Reporters sans Frontières, Cartooning for Peace, Amnesty International

Régionales :Renaud Muselier fait alliance avec LREM en Paca

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En avril dernier, Renaud Muselier lançait sa campagne pour un nouveau mandat à la tête de la région PACA. « Je vais sortir du carcan des appareils politiques », avait-il annoncé. La sortie a pris forme, dimanche 2 mai, en deux événements politiques. Tout d’abord, Jean Castex a annoncé que Renaud Muselier n’aurait pas d’adversaire LREM puisque la liste conduite par Sophie Cluzel se retirait. Dans la foulée, le président des Républicains, Christian Jacob, retirait à Renaud Muselier l’investiture LR, dans un communiqué.

Renaud Muselier s’en tient pour le moment à un commentaire sur les réseaux sociaux : « la voix du rassemblement contre les extrêmes est celle de la raison et du bon sens ». Il vise Thierry Mariani, candidat soutenu par le Rassemblement national, bien placé dans la région, qui a toujours offert des scores élevés au RN. La droite est coupée en deux, selo le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal : « vous avez aujourd’hui chez LR, ceux qui veulent construire avec nous, et ceux qui veulent pactiser avec le Rassemblement national ».

Ambiance de crise chez Les Républicains. Plusieurs cadres du parti de droite comptent demander l’exclusion du président de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca), Renaud Muselier, après l’annonce de son alliance avec LREM en vue des élections régionales de juin. LR condamne l’alliance avec LREM. Renaud Muselier « ne pourra pas bénéficier de l’investiture LR », a annoncé Christian Jacob, le patron des Républicains, dimanche, en réaction à l’annonce par Jean Castex dans Le Journal du dimanche du retrait, en faveur de Renaud Muselier, de la liste de la majorité portée par Sophie Cluzel.

« Je combats le Rassemblement national », a défendu le président de région sortant, sans confirmer l’alliance et en s’étonnant de l' »agressivité » de sa famille politique. Sophie Cluzel s’est dite « fière » d’avoir contribué aux bases d’un accord visant à « sortir des postures ». Leur adversaire soutenu par le RN, Thierry Mariani, a ironisé avec un visuel mélangeant les logos de LR et de LREM, rebaptisés « Les Républicains En Marche ». Les noms d’Eric Ciotti et de Julien Aubert circulent pour prendre la tête d’une éventuelle nouvelle liste présentée en urgence par Les Républicains dans cette région importante pour le parti. Selon nos informations, certains membres de la formation jugent toutefois qu’une telle initiative « serait suicidaire ». La question devrait être tranchée, mardi, lors d’un comité stratégique du parti.

Le blues des étudiants confinés

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La pandémie de COVID-19 oblige depuis plusieurs mois maintenant les étudiants à étudier dans de nouvelles conditions. Confinement, masques, enseignement à distance, etc. Déconfinement, reconfinement… ; l’adaptation a été soudaine et souvent rude. Pour certains étudiants, ce nouveau rythme de vie n’est pas toujours évident à vivre. Il est encore plus difficile pour ceux qui arrivent en première année d’études universitaires (Facultés, IYT, 2Ecoles…). Ils ont quitté amis, famille, vie sociale, confort… Ils se retrouvent en septembre seuls, souvent dans un petit studio du Crous ou un petit studio en ville. Et leur vie se résume souvent à se lever, étudier sur un écran avec des cours pas souvent adaptés et des enseignants pas toujours préparés, manger, étudier, se coucher et se motiver, toujours se motiver, garder le moral. Quant à ceux qui restent chez eux, pas non plus très évident : beaucoup de choses peuvent les déconcentrer, des frères et sœurs qui jouent ou qui crient, la télé allumée H24 parce qu’il n’y a plus que ça à faire… Dans tous les cas, de toute façon, pas de vie étudiante qui est souvent très riche en rencontres, plaisirs… une vie quoi en société quoi ! Et pour certains, faute de petit travail dans les bars, restaurants, Mac’Do fermés arrive le moment où il est difficile de payer son logement, sa nourriture… Alors, il faut se résoudre à trouver à manger… fréquenter les restos du cœur, les associations d’aides aux démunis. Certes le gouvernement a pris en janvier 2021, face à la dépression et la précarité de beaucoup d’entre eux, des mesures : aides psychologiques et des repas aux restaurants universitaires à 1 € par repas…. Drôle de vie d’étudiant, de début de vie de jeunes adultes.

Pendant un mois, ChalonTV a donné la parole à 7 étudiants (2  prépa, 1 BTS, , 1 Grande Ecole, 2 universitaires) … jeunes qui racontent leurs vies, leurs coups de blues, leurs petits moments de mieux-être, leurs espoirs, leurs questionnements pour la suite de leurs études et tout simplement de leurs vies dans un monde covidé qui reste encore très incertain malgré des campagnes de vaccination qui s’accélèrent et s’étendent à une population plus large… Vont venir le temps des vacances, le temps des copains, de la famille… mais restent dans la tête de tous : y-aura-t-il un 4e confinement, comme après les vacances d’été 2020 où le relâchement de beaucoup fut important. Il n’y a pas de réponse simple, la réponse dépend de chacun de nous. Restez couverts, respectez les barrières sanitaires… sont un début de non-retour de cette vie confinée et difficile… !

LES NOUVELLES MESURES POUR LES ÉTUDIANTS ANNONCÉES PAR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

Pour remédier à la précarité étudiante en pleine crise sanitaire, le Président de la République a annoncé ce jeudi 21 janvier :
La possibilité pour les étudiants qui le souhaitent d’accéder à deux repas par jour à un euro.
  • La possibilité de revenir à l’université en présentiel un jour par semaine.
  • L’ensemble des étudiants boursiers ou non pourront avoir accès à deux repas par jour pour le prix d’un euro le repas dans les restos universitaires
  • La création au 1er février d’un « chèque-psy » pour permettre aux étudiants en situation de mal-être à cause de la crise du Covid-19 de pouvoir consulter un psychologue, un psychothérapeute, ou un psychiatre et suivre des soins.

1er Mai : Deux manifestations ce samedi dans notre ville

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Les responsables syndicaux lors des deux initiatives de ce samedi matin (10 et 11h) dans notre ville ont exprimé leurs solidarités avec le mouvement  » Occupons Chalon « , en dénonçant la loi  » réforme chômage « . Cette année, les syndicalistes de la CGT, FSU et Solidaires ont pris la parole devant l’Espace des Arts à l’issue du cortège parti du kiosque de la place de Beaune et, de l’autre côté, devant la Maison des syndicats, lors du rassemblement organisé par Force Ouvrière.

Manifestation CGT, FSU, Solidaires

UN CORTÈGE AVEC UN PEU PLUS DE 300 PARTICIPANTS (CGT, FSU, Solidaires)

Défense des droits sociaux, des services publics, dénonciation de la loi sécurité globale ou encore inquiétudes devant l’extrême droite ont été exprimés à plusieurs reprises.
Le cortège aux drapeaux multicolores s’est formé place de Beaune. Environ 300 personnes ont défilé jusqu’à l’esplanade de l’espace des arts. Aux côtés des syndicalistes et des militants politiques, plusieurs élus (et candidats aux deux prochaines échéances électorales) ont participé à cette manifestation : Jérôme Durain, sénateurs, Violaine Gillet, Raymond Gonthier, Fernand Renault, conseillers départementaux, Nathalie Leblanc, élue régionale et conseillère municipale, Denis Lamard conseiller régional et tête de liste aux régionales (Le temps des cerises), Mourard Laoués (E.E.L.V), Florence Folléat, élue de Chatenoy, Beninger, élu de Chagny., Jean Michel De Almeida (P.C.F), Elenéa Berruet (F.I) et des citoyens engagés au sein du « Printemps chalonnais »…

Rassemblement FO Maison des Syndicats

DEVANT LA MAISON DES SYNDICATS 

« Nos revendications demeurent d’actualité, elles ne sont pas confinées »‘ a lancé François Bucaille, secrétaire départemental de Force Ouvrière, devant la maison des syndicats. « Les mesures liberticides se renforcent dans un contexte marqué par la crise sanitaire » a dénoncé l’intervenant. Ce dernier a relevé à propos du plan de relance : « il n’y a pas de contreparties, les dividendes des grands groupes sont préservés ». François Bucaille n’a pas manqué d’évoquer une augmentation pour les exclus du Ségur de la santé tout comme il a demandé le retrait de la réforme concernant les retraites.

Manifestation CGT, FSU, Solidaires

EXTRAITS DES INTERVENTIONS DEVANT L’ESPACE DES ARTS

  • CYRIL MEULIEN (SECRÉTAIRE DÉPARTEMENTAL DE LA F.S.U) 

« La précarité et la pauvreté gagnent du terrain en particulier chez les jeunes et les salariés fragilisés par des C.D.D. De plus en plus émerge le sentiment d’une génération sacrifiée. Nous demandons un plan de soutien en direction de la jeunesse ».

 

  • THIERRY BARBIER (SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L’U.L C.G.T)

« Ce premier mai, c’est aussi celui de l’anniversaire de la commune… Depuis plus d’un an, la covid bouleverse nos vies… Macron cherche à diviser les salariés et la population, nous devons au contraire, ne pas opposer les générations… ». Un smic à 1800 euros, la semaine à 32 h sont des revendications légitimes »…

  •  PASCAL POYEN (SOLIDAIRES) :

 » Parmi les mesures d’urgence : l’interdiction des licenciements dans les entreprises faisant des profits, des conditions sociales et écologiques pour entreprises bénéficiant d’aides publiques, l’abrogation de la réforme chômage, des brevets publics sur les vaccins et socialisation de l’industrie pharmaceutique »….

François Bucaille (FO)
  • Photos : Daniel et Marie
  • Photo de Une : Début du rassemblement, avant manifestation, place de Beaune

Logement : Les responsables de la C.S.F 71 ont reçu le député Raphaël Gauvain

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Dans un contexte marqué par la crise sanitaire, les responsables de l’Union Départementale de la Confédération Syndicale des Familles de Saône-et-Loire (C.S.F 71) ont exposé leurs doléances au député Raphaël Gauvain.

L’ISOLEMENT UNE RÉALITÉ EN MILIEU RURAL ÉGALEMENT

« Certains locataires se trouvent encore beaucoup plus dans l’isolement » ont constaté Jean Claude Chevillot (Président de la C.S.F 71) et Bianca Aloisio, présidente de la section Cuiseaux-Louhans, crée il y a peu plus d’une année. « Certains n’osent pas dire qu’ils ont des difficultés » complète Danielle Busseret, secrétaire. Cette dernière tout comme François Reynaud sont des piliers de longue date de la C.S.F. Ils reçoivent des locataires qui sont aussi des consommateurs et avant tout des citoyens, lors des permanences hebdomadaires.

Bianca Aloisio, présidente de la section

Celle-ci se déroule le lundi après-midi, aux Aubépins, les mercredis matin et vendredi matin aux Prés Saint-Jean dans un local spacieux et agréable mis à disposition par l’OPAC 71.

Ce bailleur social le premier en Saône-et-Loire est l’interlocuteur privilégié des locataires regroupés en confédération.

Danielle Busseret et Jean Claude Chevillot exposent au député les doléances des locataires.

DES DOSSIERS JURIDIQUES

Retards de loyers, difficultés liées au chauffage, au cadre de vie environnant les bâtiments gérés par les bailleurs qu’ils soient publics ou encore privés mobilisent les bénévoles chaque semaine. Ces derniers rédigent des dossiers juridiques, interpellent les pouvoirs publics, les élus. Au fil des années la C.S.F 71 a noué des liens notamment avec l’UDAF 71

Jean Claude Chevillot, président de l’U.D- C.S.F 71 Cuiseaux-Louhans –

UNE PROGRESSION DE LA MISÈRE SOCIALE

« Les remontées du terrain sont identiques, que cela soit à Paray, à Chalon ou encore dans le secteur de Cuiseaux, il y a une augmentation des expulsions.  » Il y a une grosse misère sociale »… Le député Raphaël Gauvain, écoute, enregistre les doléances, partage les constats et apportent des précisions notamment en matière du droit…

Le Maître du Chalumeau

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Dans l’ancienne ferme du Prieuré de Saint Germain en Brionnais* (Vers Charolles – 71) , dernière demeure de Benoît Raclet sauveur de la vigne en Beaujolais Mâconnais en 1830, se cache des mains magiques du fileur de verre, Maître du chalumeau et du verre. Dans la Verrerie du prieuré, Jean-Charles Doyen, véritable magicien, file le verre sous vos yeux. C’est avec une parfaite maîtrise qu’il transforme la matière en fusion pour faire naître un monde merveilleux de miniatures animalières, bijoux et objets de rêves. « Je trouve mon inspiration dans la nature, au fil des saisons. J’observe. Je reproduis : postures d’animaux, objet, insectes… », dit-il avec toute la force et la conviction d’un passionné du verre.

https://www.verrerieduprieure.fr/

« L’Art Verrier, la transformation du verre filé au service de la couleur, du rêve, de la lumière. »
« Car en vérité l’art est dans la nature ; il est a celui qui sait l’en extraire. » A.Dürer

  • En famille, en groupe, venez visiter ce lieu enchanteur et partager sa passion.
  • Ouvert tous les jours, week-end et jours fériés : de 10 h à 12 h.et de 14 h à 19 h.
  • Pour les visites et les démonstrations, nous contacter par précaution au 03 85 70 64 20 ou 06 24 39 30 29

*Comme son nom l’indique, Saint-Germain, situé à 387 mètres d’altitude, fait partie du BrionnaisDyo, au sud’ouest de la commune est à 2 km, La Clayette à 10 km (gare SNCF), Charolles à 12 km. Saint-Germain-en-Brionnais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee. La commune, qui compte 189 habitants, est en outre hors attraction des villes. Claude-Marie Boucaud (1895-2005), l’un des dix derniers poilus français, vétéran de la Première Guerre mondiale, est né dans la commune.

  Source du Texte : le site de la Verrerie du Prieuré

Macron annonce le déconfinement du mois de mai

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Emmanuel Macron a dévoilé ce jeudi un calendrier du déconfinement « en quatre étapes », qui devrait s’accélérer entre le 19 mai et le 30 juin, dans un entretien à la presse quotidienne régionale. En début de soirée, le chef de l’État a rappelé ces différentes échéances dans une série de tweets. En introduction, il appelle les Français à « tenir ensemble » pour retrouver « la vie normale ».

La première étape du déconfinement aura lieu le 3 mai: les restrictions de déplacement à 10 km du domicile seront levées les collégiens et lycéens retrouveront les salles de classe… Il faudra attendre le 19 mai pour voir le couvre-feu repoussé à 21 heures. Ce sera aussi le retour des terrasses des bars et restaurants, avec six personnes par table maximum. Ce sera aussi la date de réouverture des cinémas et théâtres.

Le 9 juin, le couvre-feu sera décalé à 23h et les cafés et restaurants pourront rouvrir en intérieur – toujours avec six convives par table maximum. Il sera possible de retourner à la salle de sport et le télétravail sera assoupli. Enfin le 30 juin, à la veille des vacances, « fin du couvre-feu », a affirmé le chef de l’État.

S.S.R Croix Rouge Boucicaut : Les personnels en colère

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Ce jeudi 29 avril en début d’après-midi, des personnels de santé du S.S.R* Marguerite Boucicaut (appelé souvent Mardor Chalon) géré par la Croix Rouge ont tenu à se rassembler devant l’établissement (se trouvant face au centre hospitalier William Morey) afin d’exprimer des doléances.

« LA PRIORITÉ DOIT ÊTRE LE PATIENT » 

« La situation déjà difficile avec la crise sanitaire ne s’est pas améliorée ces derniers temps », a relevé une infirmière. L’absence de concertation à propos des plannings, les conditions de travail ont été mises en avant par les aides-soignantes, infirmières et personnels arborant un brassard en grève. Le manque de personnel a été également pointé tout comme la suppression de jours fériés.

« DES FORMES DE VIOLENCES INSTITUTIONNELLES »

Ce mouvement social s’est prolongé jusqu’à la fin du C.S.E, au cours duquel les personnels ont interpellé la direction sur ces situations qualifiées de « violences institutionnelles ». « Notre priorité c’est avant tout le patient » ont mis en avant les personnels.

Ce mouvement a reçu le soutien de la C.G.T, le secrétaire général de l’Union des Syndicats de Santé et Action Sociale du département, Hervé Maillot, était présent, il a mentionné « la solidarité des personnels hospitaliers publics à leurs collègues ».

Vendredi, une réunion du personnel avec la direction est programmée, elle aura lieu en début d’après-midi.

*Soins de suite et de réadaptation 

Hervé Maillot et deux gréviste nous ont fin parvenir en fin d’après-midi, le texte suivant : 

 » Le personnel gréviste a décidé daller interpeler le CSE par rapport à leurs revendication.
Le directeur adjoint (on se demande à quoi il sert dixit Hervé Maillot) n’a eu aucune réponse à donner aux grévistes, ne jurant que par Marie-Hélène, la cadre supérieure. Le personnel regrette le peu de soutien des élus au CSE.
Le personnel a donc décidé d’échanger avec celle-ci qui n’a pas pu donner plus de réponses.
L’établissement connait des difficultés de recrutement. Une aide-soignante a rétorqué que c’était normal vu le salaire, et les conditions de travail actuel…
Les grévistes se sont données rendez-vous demain à 13h30 pour exprimer à Monsieur le Directeur, leurs revendications. Ils n’iront pas sur les projets de la direction, qui se sert de la crise Covid pour diminuer le personnel et le service rendu au patient.
Le personnel se bat pour ses conditions de travail mais aussi pour que le patient reste au cœur des soins.
La lutte ne fait que commencer. Le personnel est déterminé et ne s’arrêtera pas une seule journée d’action. Il faut que la direction l’entende.
La suite (et non la fin) demain «