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Dis, si on faisait classe à l’Espace des Arts…!

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Toujours fermé au public et aux représentations pour des raisons de confinement Covid, l’Espace Des Arts entrouvre, parfois, ses portes, aux scolaires. Ce fut fait avec les Lycéades (voir notre reportage) et une nouvelle fois, à partir de début mars, aux scolaires du primaire.

Acte symbolique témoignant de l’engagement fort pour la jeunesse et l’Éducation Artistique et Culturelle de l’Espace des Arts, Trop Classe ! a vu le jour cette saison : une salle de classe permanente à l’intérieur du théâtre. CTV vous fait découvrir cette action par deux vidéos réalisées par nos journalistes arrivant (Service civique) Mattéo Miligui et Samuel Bruchet avec l’école du Clair Logis et la comédienne Sabrina Baldassara (22 au 26mars 2021)

Ce projet imaginé à l’échelle d’une année scolaire entière, lie un-e artiste à un-e enseignant-e et sa classe. Un travail commun autour de l’oralité s’initie, des rencontres en classe ont lieu pour finir par une semaine partagée, en immersion, au sein de l’Espace des Arts, dans un espace entièrement dédié aux élèves, l’enseignant-e, l’artiste… pour des enseignements généraux mais surtout des travaux artistiques. Cette saison « test » concerne 4 classes de cycles 2 et 3 du territoire du Grand Chalon. A terme, 10 classes pourraient être accueillies chaque saison.

Deuxième Vidéo

Seront accueillies :

  • Les CM1-CM2 l’école Cruzille à Chatenoy-le-Royal, enseignante Patricia Descombes accompagnée par le metteur en scène Olivier Letellier, les premiers accueillis le 8 mars 2021
  • La classe de CE1-CE2 de l’école Clairs Logis à Chalon-sur-Saône, enseignante Cindy Velasco : 22 mars au 26 mars  avec des artistes de la Cie La Part des Anges
  • La classe de CM1-CM2 de l’école de Navilly, enseignante Aude Collignon : 26 au 30 avril  avec le comédien Antoine Prud’homme de la Boussinière
  • La classe UPE2A de l’école Romain Rolland à Chalon-sur-Saône, enseignante Stéphanie Bourillon : 3 mai au 7 mai avec la metteuse en scène en comédienne Léna Bréban

La salle de classe « finale », meublée, agencée, par les soins d’architectes est en cours de finalisation. Cependant, un espace de taille similaire, meublée selon les besoins des artistes et des enseignants a été imaginée temporairement. Le studio noir est également à disposition de chaque classe pour la pratique artistique.

Quatre artistes proposé.e.s par l’Espace des Arts s’engagent à suivre chacun.e une classe à l’année avec leur compagnie.
Il s’agira cette année de Léna Breban, Pauline Bureau, Olivier Letellier et Antoine Prud’homme de la Boussinière. (Pour en savoir plus sur les artistes , cliquez sur le lien existant)
L’intervenant construit le projet avec l’enseignant et les élèves à partir de rencontres dans la classe.
Chaque classe travaille pendant l’année autour du projet, et est accueillie pour une semaine de classe en immersion, soit cinq journées complètes, à l’Espace des Arts.
À l’issue de l’année scolaire, les quatre classes retenues participent à un temps de restitution à l’Espace des Arts.

Photos des artistes et grande partie du texte : EDA

Présidentielle : Jadot veut réunir tous les leaders de la gauche

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Interrogé lundi 29 mars sur France Inter sur la division de la gauche alors que l’élection présidentielle approche à grands pas, le député européen Yannick Jadot lance un appel au dialogue entre les forces de gauche. « Je veux lancer un appel à Anne Hidalgo, à Olivier Faure, Julien Bayou, à Christiane Taubira, à Jean-Luc Mélenchon. Il faut que dans les jours qui viennent, on se mette autour d’une table, qu’on se mette d’accord pour construire le grand projet d’espérance dont nous avons besoin pour 2022, assure-t-il. J’invite depuis Cédric Villani à Fabien Roussel, Delphine Batho, Benoît Hamon, Raphaël Glucksmann. Toutes et tous, aujourd’hui, nous devons avoir la responsabilité historique de nous parler. »

Pour Yannick Jadot, « Emmanuel Macron n’est ni un rempart à l’extrême droite, ni un rempart au dérèglement climatique. Notre responsabilité historique, c’est de dépasser nos différences, en tout cas d’en parler », exhorte-t-il. « Peut-être qu’on n’y arrivera pas, mais tentons. Et puis on verra. On définira ensemble peut-être un processus de désignation pour avoir une candidature unique, espère-t-il. Construisons cette espérance pour les Françaises et les Français. (…) Une primaire qui se regarde le nombril pour savoir quelle est l’identité de la gauche ou de l’écologie serait une primaire de la défaite, ce serait une machine à perdre », met-il en garde.

L’invitation de Yannick Jadot a été acceptée par le leader de LFI Jean-Luc Mélenchon, le patron du PS Olivier Faure et Benoît Hamon, de Générations. « Oui », a laconiquement répondu dans un tweet le fondateur de Générations et ex-candidat à la présidentielle Benoît Hamon.

Jean-Luc Mélenchon de son côté se dit être « prêt à rencontrer personnellement » Yannick Jadot, « comme nous l’avions fait en 2017 avant que vous rejoigniez Benoît Hamon. Heureux que vous y soyez prêt à votre tour », a-t-il glissé dans un tweet. « Le danger d’extrême droite est devenu extrême. Vous avez raison de tendre la main », a-t-il ajouté.

Réunions non-mixtes : Audrey Pulvar estime que les personnes blanches peuvent y assister mais doivent « se taire »

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Une position qui divise. La candidate des socialistes et des radicaux à la présidence de région Ile-de-France, Audrey Pulvar, s’est attirée les foudres de la droite et de l’extrême droite pour avoir indiqué que les réunions « non-mixtes » entre personnes touchées par le racisme ne la « choqu[ait] pas profondément« , et qu’il devait être possible de demander aux personnes blanches qui souhaitaient y assister « de se taire », lors d’une interview diffusée sur BFMTV samedi 27 mars. La présidente de l’Unef, Mélanie Luce avait évoqué la semaine dernière l’organisation de réunions « non-mixtes » au sein du syndicat étudiant pour « permettre aux personnes touchées par le racisme de pouvoir exprimer ce qu’elles subissent », provoquant une vive polémique.

Son commentaire a suscité l’ire de certains élus, notamment à droite et à l’extrême droite. « Dans ma région, aucun habitant ne doit être discriminé pour la couleur de sa peau. Il n’y a pas de racisme ‘acceptable' », a réagi sur Twitter l’actuelle présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse. « Cette forme d’essentialisme est à la base de la construction de la pensée raciste. Notre République, plus que jamais, est une et indivisible », a commenté la tête de liste LREM, Laurent Saint-Martin. Audrey Pulvar « doit s’excuser auprès de la République », a également estimé le vice-président de la région, Geoffroy Didier, toujours sur le réseau social.

« Le parquet doit engager des poursuites pour provocation à la discrimination raciale contre Madame Pulvar », a aussi demandé Marine Le Pen. « C’est cette gauche qui patauge dans l’islamo-gauchisme et la haine des Blancs qui aspire à présider la première région de France ? » interroge Jordan Bardella, vice-président du parti d’extrême droite. Le patron des députés LREM, Christophe Castaner, s’est voulu plus nuancé : tout en reconnaissant des propos « a minima maladroits », ce macroniste historique et ancien PS a refusé de « contribuer à la chasse contre elle » et a rappelé que « ce type de réunions sont parfois nécessaires pour libérer une parole pour un groupe qui se sent victime ». « On le pratique très couramment sur les violences faites aux femmes, par exemple, et c’est nécessaire. L’essentiel c’est d’accompagner les victimes », a-t-il ajouté sur BFMTV.

La candidate socialiste a également reçu le soutien de plusieurs personnalités de gauche, dont Jean-Luc Mélenchon. « Audrey Pulvar n’est pas raciste ! Elle a juste compris ce qu’est un groupe de parole », a-t-il estimé sur Twitter. « Au nom de la République, certains font passer les militant.es anti-racismes pour des racistes et les luttes d’émancipation pour du replis identitaire. Cette grande confusion qui confond universalisme et uniformité pourrit le débat démocratique », a écrit le député européen Vert David Cormand.

CP Cultivons Chalon : Des élus muselés, un état inquiétant des finances, aucune anticipation de la sortie de crise !

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Le Maire Gilles Platret a encore fait montre d’un exercice personnel et autoritaire du pouvoir.

Lors de la séance du conseil municipal jeudi 18 mars, une nouvelle fois le débat démocratique n’a pas été possible.

Le Maire clot les discussions en refusant tout droit de réponses. Il refuse que les élus de sa majorité soient sollicités pour exprimer leur avis. Ces derniers n’ont pas voix au chapitre. Le Maire n’attend visiblement d’eux qu’ils le suivent sans mot dire. Notre élu Sébastien Lagoutte interpellant des adjoints professionnels de santé pour connaître leurs avis sur la gestion de la crise sanitaire à Chalon s’est ainsi fait interrompre par Gilles Platret. Et les élus majoritaires sont restés muets.

A cette conception réductrice du débat, s’ajoutent des mots véhéments. Gilles Platret n’admet pas d’être contesté, trouvant les arguments des élus minoritaires inadaptés. Mais lui se permet des outrances verbales et ricanements à l’égard d’élus de la République. Notre collègue Francine Chopard a ainsi été traitée de manière inqualifiable. Les limites sont bel et bien franchies par Gilles Platret.

Point d’orgue de la soirée : le refus de Gilles Platret d’accorder une suspension de séance, demandée par Nathalie Leblanc. Le dépôt d’un amendement de la majorité sur le vœu proposé par Cultivons Chalon relatif au Conseil des Prud’hommes nécessitait une concertation. Quelques minutes étaient simplement demandées. Ce droit des élus a été rejeté.

Exercice solitaire du pouvoir, débat muselé et droits des élus bafoués. C’est intolérable !

Cette pratique autoritaire du pouvoir se conjugue avec une gestion financière alarmante.

Le niveau de la dette est élevé. Le nombre d’années de remboursement s’allonge, faisant peser le poids sur les Chalonnaises et Chalonnais à long terme. La capacité de désendettement est ainsi de plus de 13 ans, le seuil d’alerte étant fixé à 12.

Les finances sont dans le rouge pour des actions qui ne sont pas à la hauteur des enjeux et une sortie de crise qui n’est pas préparée.

Les investissements sont inégalement répartis, les quartiers et l’habitat social délaissés.

Et quels sont les moyens alloués pour mener des actions fortes à destination des personnes les plus fragiles, à destination de la jeunesse, de la vie associative, des maisons de quartier, de la culture, des sports ?

Quelles sont les actions structurantes menées pour lutter contre les inégalités sociales et le réchauffement climatique ?

Comment la ville prépare-t-elle la sortie de crise ?

A ces questions et à nos suggestions portées par Nathalie Leblanc, Sébastien Lagoutte et Francine Chopard, Gilles Platret répond par des mesures cosmétiques et médiatiques ne permettant pas de relever les enjeux  et de construire un avenir solidaire et prometteur pour nos concitoyens.

 

  • Nathalie Leblanc
  • Sébastien Lagoutte
  • Francine Chopard

Cultivons Chalon le 23 mars 2021

Photo de Une choisie par CTV

Fusillade mortelle dans un supermarché du Colorado : Biden veut interdire les fusils d’assaut

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Dix personnes, dont un policier, ont perdu la vie dans une fusillade perpétrée dans un supermarché de Boulder (Colorade) aux États-Unis lundi 22 mars. Au lendemain de ce massacre, Joe Biden a réclamé l’interdiction des fusils d’assaut, prenant ainsi part au débat sur la prolifération des armes à feu dans le pays. Le massacre du Colorado est intervenu moins d’une semaine après qu’un homme a abattu huit personnes dans des salons de massage asiatiques d’Atlanta, en Géorgie. Une répétition qui a suscité des appels pressants à l’administration démocrate et aux élus à agir.

Identifié comme Ahmad Alissa, le suspect a été blessé à la jambe et hospitalisé. Il se trouve dans un « état stable », a déclaré Maris Herold, la cheffe de la police de Boulder. « Il a été inculpé de dix meurtres », a-t-elle précisé. Son mobile n’est pas encore connu, selon les autorités. Toutes les victimes ont été identifiées et étaient âgées de 20 à 65 ans, d’après la même source. Le policier décédé était père de sept enfants, selon Maris Herold.

Le président Joe Biden a ordonné que les drapeaux soient mis en berne dans tous les bâtiments publics. « Je n’ai pas besoin d’attendre une minute de plus, encore moins une heure, pour prendre des mesures de bon sens qui sauveront des vies à l’avenir et pour exhorter mes collègues à la Chambre et au Sénat à agir », a-t-il dit. « Nous devons aussi bannir les fusils d’assaut », a-t-il ajouté. Selon des médias américains, le tireur était équipé d’un fusil d’assaut de type AR-15, arme souvent utilisée dans des tueries.

Ce dimanche, cinq « boums flashs » pour interpeller sur l’isolement

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Durant quelques minutes, à 11 Heures, ce dimanche 28 mars, sur la place du théâtre, à l’angle des rues aux Févres et des Cloutiers, une trentaine de personnes ont participé à la première  » Boum flash  » de cette fin de matinée.

DIRE STOP A L’ISOLEMENT PAR LA DANSE ET DES POÈMES 

 » Il s’agit pour nous d’interpeller sur l’isolement dans lesquels se trouvent les professionnels du spectacle, mais aussi les spectateurs  » ont confié à l’unisson des participants. Parmi ces derniers se trouvaient des intermittents du spectacle, des professionnels de la culture et des citoyens soutenant l’initiative portée collectivement par  » Nous occupons « . Un mouvement initié à Besançon, relayé depuis une dizaine de jours à l’Espace des Arts.

LE REFUS DE LA RÉFORME DE L’ASSURANCE CHÔMAGE 

Outre la place du Théâtre, les danseurs se sont retrouvés place Saint-Vincent, place du Châtelet et, Place de l’Hôtel de Ville et sur le parvis de l’Espace des Arts aux environs de midi.

Déjà vendredi, peu avant midi, les professionnels du spectacle et les membres du mouvement  » Occupons  » ont lancé un cri de colère, place Saint-Vincent afin de dénoncer la réforme de l’assurance chômage.

Nos photos : ce dimanche en fin de matinée, place du Théâtre.

 

Sacré Toupet au théâtre Piccolo !

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Vendredi 26 Mars 2021, le Théâtre Piccolo (rue aux Fèvres) ouvre ses portes pour accueillir le spectacle du collectif La Cie XIX. Cette compagnie est composée de professeur.e.s du Conservatoire, d’artistes et de personnes évoluant dans le spectacle vivant. Le spectacle musical « Toupet et Le Colporteur » est proposé à des élèves de classes de primaire.

🎵 L’HISTOIRE

Ce spectacle raconte l’histoire d’un personnage mi-homme, mi-oiseau, une créature imaginaire au nom de Toupet (Pierre Lhenri). Il vit solitaire dans sa tour de fer (TDF). Il veille à maintenir les communications entre villes et lieux inconnus. Son univers est entièrement mécanique.

Un jour, un petit être entre dans sa vie : Le Colporteur (Hélène Fouchères). Ce personnage déambule de ville en ville, de contré en contré avec pour simple bagage, sa carriole. Le Colporteur ne voyage pas seul, accompagné de son violon et de son bel oiseau.

Ces deux clowns masqués quasi muet questionnent le rapport à l’isolement, à la peur des différences, aux difficultés à rencontrer et à reconnaître l’autre.

📝 LE PROJET

« Toupet et Le Colporteur » est une œuvre collective, qui a nécessité 2 ans de travail. Le spectacle dure environ 45 minutes à 1 heure. C’est un conte philosophique, situé sur un territoire partiellement conquis par la révolution industrielle. La musique à travers les voix, le violon, la scie musicale occupe une place centrale : seul lien entre les personnages.

C’est un projet écrit à plusieurs mains : avec Hélène Fouchères (enseignante au conservatoire et violoniste), Aude Husson Patru (enseignante au Conservatoire et créatrice sonore) et Pierre Lhenri (chanteur). Tous les trois ont travaillé sur l’axe de la différence puis ont habillé les personnages de masques, d’émotion, de sensibilité, de son et de lumière.

✂️ L’EQUIPE TECHNIQUE

Jean-François Guillemaud assure la création lumière, François Bruel la scénographie, l’identité visuelle. Les décors proviennent de Frédérique Abillama. Les masques ont été confectionnés par Marion Even. Présent en tant que conseiller son et mixage, Guillaume Dulac. Aude Husson Patru assure la voix-off et la création sonore.

« Toupet et Le Colporteur » est actuellement réservé au jeune public scolaire étant donné la conjoncture sanitaire. Le spectacle prévoit des représentations au grand public l’année prochaine (Mars 2022).

  • Programmation Hauts du Panier saison du CRR du Grand Chalon/Espace des Arts                                         
  • Coproduction CIE XIX / LA TUILERIE DE SAINT BOIL : Avec le soutien du Conseil Départemental de Saône-et-Loire, du Réservoir de Saint-Marcel, de la salle J.Genet à Couches et de l’Ecomusée de la Bresse

📸 : Cécile Gacon-Camoz / Mattéo Miligui / Emma Benyamine

Pedro Uruéna, citoyen d’honneur de la ville de Chalon

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Habitant des Clairs Logis depuis 1961, Pédro Uruéna a reçu, ce 24 mars 2021, des mains du maire Gilles Platret, le titre de citoyen d’honneur de notre ville. Une distinction honorant l’un des « libérateurs » de Chalon, le 5 septembre 1944, mais aussi un citoyen pleinement impliqué dans la vie associative locale.

UNE LONGUE VIE PROFESSIONNELLE ET ASSOCIATIVE

Il a longtemps arpenté les marchés du chalonnais, en qualité de forain, mais aussi bien des associations chalonnaises au sein desquelles il a été pleinement actif. Au comité des fêtes, au sein de l’amicale des classes en 2 dont il a été longtemps le dévoué président inamovible, mais aussi le comité de quartier des Clairs Logis qu’il a créé en 1963.

UN ENGAGEMENT AU MAQUIS DE CORLAY 

Mais l’un de ses premiers engagements est survenu alors qu’il avait une vingtaine d’années. Après avoir quitté volontairement le S.T.O, il rejoint le maquis de Corlay, et plus précisément la compagnie dirigée par le lieutenant Desbois-Gaudillot. Il participe à de multiples actions dont celles qui conduiront à la Libération de Chalon.

C’est à ce titre, qu’en présence d’Odette, son épouse, qu’il a reçu des mains du premier magistrat de la ville un diplôme et une médaille. Solange Dorey, ancienne présidente du comité de quartier, était également présente à cette rencontre placée sous le signe de la convivialité.

Parlons Chalon avec Alain Rousselot Pailley – mars 2021

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Alain Rousselot-Pailley d’Ensemble Chalon est l’invité de notre nouvelle émission politique Parlons Chalon. Il nous nous parle du Conseil Municipal du 18 mars et des futures élections normalement prévues en juin, et en particulier des Régionales.

Tous les mois ChalonTV donne la parole aux 5 groupes du Conseil Municipal : le groupe majoritaire du maire Gilles Platret, En Avant Chalon, Les groupes minoritaires Cultivons Chalon avec Nathalie Leblanc, Bien Vivre à Chalon avec Mourad Laouès, Chaque jour Chalon avec Cécile Lamalle et enfin Ensemble Chalon avec Alain Rousselot-Pailley.

Dans cette émission plateau d’une vingtaine de minutes, CTV aborde la vie à Chalon et les propositions de chacun pour que cette vie soit la plus agréable et juste pour tous. On peut y aborder aussi des problèmes nationaux, sociétaux. Un temps de démocratie, de prise de parole pour informer tous les Chalonnais et autres.

Nous invitons tout le monde, si vous ne voyez pas un groupe, c’est qu’il n’a pas souhaité venir ou peut-être pas pu (nous nous adaptons, cependant, beaucoup à l’agenda de chacun donc nous facilitons la venue des représentants des groupes…). Après chacun fait ses choix…!

 

Culture : Agora chaque jour à 14 H à l’espace des arts…sous l’égide du mouvement « Occupons »

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L’Espace des Arts demeure ouvert dés 10 H, chaque jour jusqu’à 18 H 30.
« Il ne s’agit de ne pas consommer mais de créer, d’échanger, de se rencontrer et de débattre » ont fait savoir les membres du mouvement  » Occupons «  qui pour le quatrième jour se sont retrouvés ce dimanche 21 mars 2021.
UNE AGORA QUOTIDIENNE A 14 H  
Point fort des prochains jours, l’agora, une forme d’assemblée générale, ouverte afin de faire le point sur le mouvement à l’échelon national et de prendre des initiatives à l’échelon du Grand Chalon.
Ce dimanche après midi, parmi la vingtaine de participants, il y avait des professionnels du spectacle, qu’ils soient salariés, intermittents mais aussi d’ autres acteurs du monde culturel, de la santé, des retraités, quelques syndicalistes, des enseignants, des étudiants,  des élus ( Mourad Laoués, Christophe Regard), la co- secrétaire d’EELV, Claire Mallard, Marie Françoise Ghesquière pour la  « France Insoumise »,  Rachid Bensaci, directeur la fédération départementale de la ligue de l’enseignement ( Mouvement d’Education populaire), une responsable animatrice de « Roulottes en chantier » exerçante en milieu rural, Alain Mazuir pour l’UL C.G.T retraités….etc..*
UNE FORME DE  »  RESISTANCE »
Le mouvement chalonnais « occupons » s’inscrit dans un contexte national comptant environ 80 lieux occupés , ces dernières heures, dans le prolongement des actions entreprises à l’Odéon. « Il n’y a pas de conflit avec la direction de l’Espace des Arts » ont tenu à faire savoir les intervenants. Ces derniers ont donc enregistrés des soutiens par l’intermédiaire de l’élu écologiste Mourad Laoués, de l’insoumise, Marie Françoise Ghesquière suggérant d’apporter de la poésie au mouvement revendicatif alors que le syndicaliste Alain Médici, s’est remémoré des « Grandes heures de débats et de confrontations   du temps de feu la Maison de la Culture »…

Alain Médici : UL C.G.T Retraités