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Xavier Bertrand a finalement décidé de se rallier au congrès des LR

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Xavier Bertrand a mis fin au suspense en assurant lundi qu’il participerait au congrès de LR qui désignera le candidat de la droite à la présidentielle, au nom d’un « rassemblement » qui écarte l’hypothèse potentiellement mortifère d’une double candidature. « Je participerai au congrès » du 4 décembre, a-t-il affirmé sur TF1, car « c’est la seule façon d’avoir le plus vite possible un candidat de la droite et du centre ». Le président des Hauts-de-France avait en effet le choix entre deux mauvaises solutions, et il a finalement choisi la moins mauvaise des deux. Xavier Bertrand n’a en effet pas voulu faire cavalier seul et risquer d’apparaître comme celui qui aurait fracturé son camp. Son entourage était partagé sur la décision à prendre. Il a beaucoup consulté et tranché en conscience avant d’expliquer son choix à ses proches, réunis vers 21h00 lundi soir en visioconférence autour de leur champion.

« On a senti que la pression était retombée », a déclaré l’un des participants. Comme si Xavier Bertrand s’était délesté d’un poids encombrant en annonçant sa participation au congrès. A droite, beaucoup se sont félicités. Si Michel Barnier n’a pas officiellement réagi, Valérie Pécresse a en revanche salué au micro d’Europe 1 une « très bonne nouvelle » : « C’est effectivement ce que je souhaitais, il ne faut jamais avoir peur de la démocratie, donc c’est un très très bonne nouvelle », a-t-elle expliqué.

« On va enfin pouvoir commencer une vraie campagne sur le fond. L’objectif, c’est que la droite ait le meilleur candidat pour battre Emmanuel Macron. Si vous regardez bien tous les candidats à ce congrès, ça fait envie, vous avez des personnalités qui par leur parcours, leur expérience, sont des professionnels de la politique, un peu tout le contraire du gouvernement d’amateurs du président », a-t-elle lâché.Dans le camp de Xavier Bertrand on assure par ailleurs que les troupes sont plus motivées que jamais à partir à la conquête d’une nouvelle campagne, tourner davantage vers les militants LR. Des militants dont beaucoup lui en veulent d’avoir quitté le parti en 2017. « Il le sait », anticipe Jonas Haddad, un de ses porte-paroles, qui compte convaincre avec un argument : Xavier Bertrand est, selon les sondages, le plus à même de faire gagner la droite. Et son équipe espère que l’envie de l’emporter sera plus forte que la rancœur personnelle.

Édouard Philippe crée son nouveau parti « Horizons »

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Édouard Philippe vogue vers de nouveaux horizons. Un an et demi après son départ de Matignon, le maire du Havre (Seine-Maritime) a officialisé, samedi 9 octobre, la création d’une nouvelle formation politique, baptisée Horizons. Objectif affiché : « Participer à la constitution d’une nouvelle offre politique », en élargissant à droite la base électorale d’Emmanuel Macron.

Car si l’ancien membre des Républicains estime venu le temps d’avoir une formation politique taillée à sa mesure, il assure ne pas vouloir faire d’ombre au président de la République. « La ligne claire est le soutien au président de la République » pour que « les cinq années qui viennent soient des années utiles », a-t-il ajouté. Car « très clairement, mon objectif en 2022 est que le président de la République Emmanuel Macron soit réélu », a-t-il lancé, alors que certains le soupçonnent de vouloir faire cavalier seul.

« Avec Horizons, nous allons définir une stratégie pour la France, c’est une aventure collective », a-t-il déclaré dans sa ville du Havre, en expliquant que le nom avait été choisi « parce qu’il faut voir loin ». « Son positionnement, c’est devant, avec une logique de partenariat, de rassemblement, autorisant la double appartenance », et « la ligne est de préférer la sérénité à la fébrilité », a ajouté l’ancien Premier ministre.

La réélection d’Emmanuel Macron « passera par un élargissement de sa base électorale » et « l’objectif est de créer un vrai parti, avec des statuts qui seront déposés lundi, une charte des valeurs », a-t-il affirmé, expliquant que les maires y auraient une place particulière avec une « assemblée » qui élira le vice-président. Alors que la macronie essaie de structurer une « maison commune », il a assuré que « si c’est une bannière, nous serons derrière ». « C’est un combat démocratique, au long cours, mais essentiel, que nous engageons […] Nous manquons d’une stratégie à l’horizon 2050 […] je veux avec vous la bâtir », a-t-il ajouté devant une salle comble – les organisateurs revendiquaient 3 000 participants

François, Chevalier de l’Ordre

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C’est dans la salle d’honneur de la sous-préfecture de Chalon, ce samedi matin 9 octobre 2021, que le pneumologue retraité François Copreaux s’est vu remettre par sa femme, elle-même membre de l’Ordre, la médaille de chevalier de ce prestigieux Ordre national du Mérite. La cérémonie, au rituel strict, est orchestrée par Joëlle Arnoult, administrateur national de l’Ordre en présence du Sous-préfet Olivier Tainturier. L’ordre honorifique français institué le 3 décembre 1963 par le général de Gaulle récompense les mérites distingués, militaires ou civils, rendus à la nation française. François Copreaux est distingué, par décret présidentiel du Président du 21 mai, pour son investissement dans la création du centre Nicolas-de-Pontoux, ouvert en 2005, l’un des premières maisons de santé en France, à Saint-Jean-des-Vignes. François Copreaux cogère toujours ce centre.

Dans cette remise de décoration, devant ses filles, sa famille, ses amis, le député Raphaël Gauvain, la Sénatrice Marie Mercier et d’autres élus, il faut surtout voir un hommage à l’humanisme du grand professionnel François Copreaux. La cérémonie fut aussi l’occasion d’une belle démonstration d’amour de ce couple marié depuis 47 ans

Le Dr Marie Mercier, sénatrice, a profité de ce moment fort en émotions pour remettre à son collègue François, la médaille du sénat.

Voir le portrait vidéo réalisé par CTV sur François Copreaux : sa vie, ses engagements humanistes.

Ordre national du Mérite

L’ordre national du Mérite est un ordre honorifique français institué le 3 décembre 1963 par le général de Gaulle. Il récompense les mérites distingués, militaires ou civils, rendus à la nation française. Il remplace d’anciens ordres ministériels et coloniaux.

Il s’agit de la quatrième décoration dans l’ordre de préséance après la Légion d’honneur, la médaille militaire et l’ordre de la Libération, mais la troisième pouvant être encore décernée, ce dernier ordre étant forclos.

Sa création permet de revaloriser l’ordre national de la Légion d’honneur créé par Napoléon Bonaparte le 20 mai 1802 pour récompenser les mérites éminents.

Il comprend également trois grades : chevalier, officier et commandeur ainsi que deux dignités : grand officier et grand-croix.

La nomination dans l’ordre national du Mérite peut se faire par proposition ministérielle ainsi que par la procédure d’initiative citoyenne.

Lors du conseil des ministres du 14 novembre 1963, le président Charles de Gaulle, sur recommandation du grand chancelier Georges Catroux, craignant « l’inflation des décorations décida de créer l’ordre national du Mérite et de supprimer 17 ordres ministériels, qui n’étaient pas contrôlés par la chancellerie de la Légion d’honneur.

La réception dans l’ordre national du Mérite est attestée par un brevet (ou diplôme) nominatif, adressé au récipiendaire par la grande chancellerie. Pour procéder à la remise de la décoration, le récipiendaire doit préalablement s’acquitter du paiement de droits de chancellerie (montant fixé par décret au Journal officiel). Il peut alors recevoir officiellement la décoration à l’occasion d’une cérémonie militaire ou civile. À l’issue de la cérémonie de remise d’insigne, le récipiendaire et le délégué remplissent le procès-verbal de la journée, le signent et le datent. Ce n’est qu’à la réception de ce document que l’intéressé est officiellement admis dans l’ordre et que son brevet lui est expédié.

Le président de la République française est le grand maître de l’ordre. Le grand chancelier de la Légion d’honneur est chancelier de l’ordre national du Mérite. Depuis 1974, tous les Premiers ministres sont élevés, par le président de la République, à la dignité de grand-croix de l’ordre national du Mérite après six mois de fonction

 

Plus de 300 000 victimes de la pédophilie dans l’Eglise en 70 ans

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30 000 victimes depuis les années 1950. Le chiffre a été soigneusement tenu secret jusqu’à la présentation du rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Eglise (Ciase), ce mardi 5 octobre. Comme pour mieux faire électrochoc. Depuis quelques jours déjà, la hiérarchie catholique, et tout particulièrement la Conférence des évêques de France (CEF) et la Conférence des religieux et religieuses en France (Corref), tous deux commanditaires du travail de la Ciase, tentait de préparer les esprits à un « chiffre effarant ».  Il faut dire que le nombre de victimes de pédophilie au sein de l’Eglise catholique se révèle bien supérieur à tout ce qui avait été évoqué jusque-là. Impressionnant, choquant – inimaginables pour certains-, ce chiffre révèle à quel point l’institution a longtemps refusé d’ouvrir les yeux et a posé un voile discret sur les crimes portés à sa connaissance. Il dit aussi le besoin de parole et de reconnaissance qu’éprouvent les victimes. Désormais, avec la lumière crue que jette le rapport de la commission Sauvé – du nom de Jean-Marc Sauvé, ex-vice-président du Conseil d’Etat, qui l’a dirigée-, plus personne ne peut nier la profondeur du drame.

En début d’année encore, Jean-Marc Sauvé évoquait dans la presse le chiffre de 10 000 victimes. A l’issue de plus de 30 mois d’investigation, du recueil de 6400 témoignages sous différentes formes, d’une enquête de l’Inserm auprès de 30 000 personnes, d’un travail approfondi dans les archives de l’Eglise, le phénomène se révèle d’une toute autre ampleur. Il est révélateur du silence qui a régné dans le clergé, les familles, parmi les victimes elles-mêmes. Certes, il s’agit d’une estimation avec une marge d’erreur, mais dans tous les cas, le nombre d’abus se situe dans une fourchette de 165 000 à 270 000, selon la Commission Sauvé.

Dans l’Eglise, les crimes n’étaient pas l’apanage du seul clergé. Sur les 330 000 cas, les deux-tiers (soit 216 000) ont été commis par des prêtres, des religieux et des religieuses. Des abuseurs – la Ciase en a identifié 2900 à 3200, une « estimation minimale » selon Jean-Marc Sauvé – qui ont particulièrement profité du pouvoir spirituel qu’ils exerçaient et des moments des sacrements pour imposer des actes aux mineurs sous leur responsabilité. Mais plus de 30% des abus ont été commis par des laïcs, salariés ou bénévoles, présents dans les aumôneries, les établissements d’enseignement catholique, les camps de vacances.

Pas question, pour autant, d’en conclure, comme le font certains catholiques, que ce qui s’est passé dans l’Eglise n’est que le reflet d’un phénomène de société plus large. Le rapport de la Ciase est, sur ce point, sans aucune ambiguïté. En chiffres absolus, l’Eglise se situe au-delà des autres institutions accueillant des enfants : la commission Sauvé estime à 141 000 le nombre de victimes dans les écoles publiques, 103 000 dans les activités sportives, 103 000 également dans les colonies de vacances et autres accueils collectifs et 51 000 dans les activités culturelles et artistiques. Et le taux de prévalence (le risque couru par un enfant d’être victime d’abus dans une institution rapporté au nombre de mineurs fréquentant cette institution) est sans appel : il est de 1,16% dans l’Eglise (0,82% pour le seul clergé), contre 0,36% dans les colonies, 0,34 dans les écoles publiques et 0,28% dans le sport. Soit un risque deux à trois fois plus élevé dans le monde religieux qu’ailleurs.

Un risque particulièrement élevé jusqu’au début des années 2000 lorsque l’institution jouait un rôle central dans l’éducation et les loisirs des jeunes. 56% des abus ont, en effet, eu lieu avant les années 1970 et 22% entre les années 1970 et 1990. Seuls 8,7% des abus auraient été commis sur la période récente, depuis les années 2000. Sur ce dernier point, reste néanmoins une inconnue: les victimes sont-elles encore murées dans le silence comme celles plus âgées à qui il a fallu des années pour oser parler ? Ou y a-t-il une diminution des actes du fait de la déchristianisation de la société ? Difficile de le savoir dans l’immédiat.

Macron rend hommage à Tapie dans « La Provence » et visite un refuge de la SPA

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« Le visage de la victoire s’en est allé ». Dans une lettre adressée aux lecteurs du journal La Provence, dont le groupe est détenu par Bernard Tapie, décédé ce dimanche, Emmanuel Macron lui rend hommage. Pour le président de la République, fan de l’Olympique Marseille, et « pour tous les passionnés de football », « Bernard Tapie restera à jamais celui qui, à force d’énergie, d’engagement et de talent, emmena l’OM sur le toit de l’Europe ». C’est en effet pendant sa présidence du club olympien, en 1993, que l’OM remporte la première – et seule – Coupe d’Europe pour un club français. « Je n’oublierai pas cette nuit enchantée de mai 1993 où, quelques minutes après le but de Basile Boli, porté en triomphe par quelques hommes en blanc et bleu, il brandit, sourire aux lèvres, la coupe aux grandes oreilles tant attendue par toute une ville, par tout un peuple », rappelle Emmanuel Macron.

Pour le chef de l’État, Bernard Tapie représentait « une force, une volonté, une rage de vaincre qui semblait dire à tous ceux qu’il croisait : ‘Gamin, tout est possible' ». « Par son bagout et son travail, il conquit la France et l’Europe », ajoute-t-il.  Mais, avant tout, l’homme aux mille vies, « restera à jamais comme l’homme de Marseille ». « Bernard Tapie nous a quittés mais son souffle continuera d’habiter la Cité phocéenne. Vous serez nombreux, ces jours-ci, au stade Vélodrome, pour lui dire un dernier au revoir. Et depuis le cimetière de Mazargues qu’il va rejoindre pour son dernier repos, il continuera, j’en suis sûr, de veiller sur cette ville dont nous avons tant parlé ensemble et pour laquelle il cultiva jusqu’à la fin une passion sans bornes », affirme Emmanuel Macron.

À l’occasion de la Journée mondiale des animaux, Emmanuel Macron se rend lundi dans un refuge de la SPA pour chiens et chats à Gray, en Haute-Saône, à l’approche d’une présidentielle où la maltraitance animale s’invite dans le débat. Le chef de l’État veut montrer à cette occasion, explique l’Élysée, « l’action menée en faveur des animaux de compagnie, en particulier le plan inédit de lutte contre l’abandon lancé en décembre 2020 » ainsi que les 20 millions d’euros de subventions prévues par le plan d’investissement France Relance. Le refuge qu’il visitera a d’ailleurs bénéficié d’une subvention.

Le parti animaliste pense pouvoir améliorer à la présidentielle le score de 2,2% des voix qu’il avait enregistré aux élections européennes de 2019, créant alors la surprise, a affirmé à l’AFP jeudi sa candidate Hélène Thouy, avocate attitré de l’association L214 et militante de toujours. Avec ce score, le parti animaliste, qui est également anti-chasse, avait fait pratiquement jeu égal avec les communistes et les centristes de l’UDI. La cause animale doit notamment sa visibilité croissante depuis cinq ans aux actions militantes d’associations, comme L214 et ses vidéos choc de maltraitance dans des abattoirs.  Le gouvernement a notamment décidé d’interdire la castration à vif des porcelets, à partir du 1er janvier 2022. Tout en ménageant les chasseurs, le chef de l’Etat a régulièrement mis en scène son chien Nemo, adopté à la SPA, tandis que sa rivale Marine Le Pen s’affiche avec ses chats.

La bobine des Chefs Op’

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Sous les projecteurs de CTV accueille, Janick Leconte, secrétaire de l’association de cinéma La Bobine et président de l’association Festival Chefs Op’ en lumière et Rebecca , Service civique de cette dernière association.

La bobine, vieille (plus de 32 ans d’existence) association de cinéma Art et Essai a repris,  après une dure année de confinement, ses projections en mai 2021. Avec quelques changements : le lieu de projection est maintenant au Mégarama et une 3e projection a lieu le jeudi à 16h sans oublier la projection habituelle du lundi. Les Bobinistes espèrent retrouver leurs cinéma historique du Centre ville, les 5 nefs. Ils attendent la réponse non arrêtée à ce jour du complexe Mégarama de restaurer et d’ouvrir cette salle, comme cela était prévu.

Après le succès des deux premières éditions du Festival Chefs Op’ en Lumière (la 3e a été annulée pour des raison de confinement), les membres de la Bobine ont décidé de créer une autre association cinéma Festival Chefs Op’, dédiée au festival. Bien sûr les deux associations travaillent totalement ensemble pour l’épanouissement du 7ème art.

La 4ème édition* du festival Chefs Op’ en Lumière aura lieu du lundi 28 février au dimanche 6 mars 2022 (de 10h du matin à 22 heures tous les jours). Les projections et les différents événements (master-class, conférences, table ronde, ciné-concert, concert jazz, exposition….) auront lieu au Mégarama Chalon (en attendant l’ouverture du cinéma art et essai au centre-ville) et à L’Espace des Arts (qui mettra à disposition la totalité de ses locaux pendant le festival).

En prélude de ce festival, un concours de court métrages est organisé  pour les 16 – 24 ans. Le court métrage a pour thème « La ville, Ombres et Lumières ». Il doit être réalisé avec un smartphone et durer entre 40 secondes à 2 minutes. Les copies sont à livrer avant le 15 février 2022. Un jury composé de personnes compétentes et qualifiées désignera le meilleur film. Celui-ci sera diffusé sur écran ou sur TV grand format pendant la durée du festival. Le gagnant du concours sera récompensé par un prix d’une valeur de 100 euros. Voir le Règlement du Concours.

Les bonnes adresses :

Sources : Bobine, Chefs Op’

7,8,9 octobre, à la Péniche, le festival de la liberté (vidéo)

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Du 7 au 9 octobre se tient sur 3 endroits différents (Abattoir, Purgatoire, auditorium du conservatoire) le festival Dancing People Don’t Die, festival de musiques dites électroniques. Les organisateurs, La Péniche, nous assurent qu’il y en aura pour tous les goûts. Le festival, c’est bien sûr des concerts mais aussi des showcases, des conférences, des ateliers, des rencontres…

Prélude au festival, mercredi 6 octobre, conférence-concert , Histoires des musiques électroniques : découvrir ou redécouvrir les DJ’S et les courants importants des musiques électroniques (à 19h, Salle de projection de Nicéphore Cité, gratuit sur réservation à prod@lapéniche.org)

A noter par rapport au programme, l’absence  de Josy Fullvibes et de Minuit Machine

 

7,8,9, festival DancingPeopleDon’tDie by la Péniche

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Du 7 au 9 octobre se tient sur 3 endroits différents (Abattoir, Purgatoire, auditorium du conservatoire) le festival DancingPeopleDon’tDie, festival de musiques dites électroniques. Les organisateurs, La Péniche, nous assurent qu’il y en aura pour tous les goûts. Le festival, qui se veut une perte des sens, un moment hors-temps qui permet de retrouver un peu de liberté avant le retour à la réalité. Le festival, c’est bien sûr des concerts mais aussi des showcases, des conférences, des ateliers, des rencontres…

Prélude au festival, mercredi 6 octobre, conférence-concert , Histoires des musiques électroniques : découvrir ou redécouvrir les DJ’S et les courants importants des musiques électroniques (à 19h, lieu à définir, gratuit sur réservation à prod@lapéniche.org)

Puis le festival donne toute son ampleur avec le jeudi 7 à l’auditorium du Conservatoire (20h). Sous forme de préliminaires à l’orgie sonique invoquée par le Festival Dancing People Don’t Die, ce concert, mise en ouïe, sonne comme une ode au mélange des genres, mélange auquel se prête généreusement l’audito. Le talentueux Chapelier Fou est de retour avec un ensemble de 7 musiciens. Ici pas de synthétiseur ni d’ordinateur mais un matériel principal le bois (violon, alto, violoncelle, clarinette, piano, batterie/percussions).

Le programme (voir ci-dessous) est large  : Ainsi à l’abattoir, vendredi 20h30, se produit le duo Aria 3000, frite enchantée et lyrique popysé. Les deux filles, sensuelles, charnelles transgressent leur genre pour sublimer vos envies et pulsions les plus profondes. Vendredi 8 (2h30 – Abattoir), Jean-Michelle Tarre, sorte d’OVNI solitaire dans des ténèbres sans fin, donne, avec sa voix spectrale et tordues, concert, qui sonne et se regarde comme un énorme fleuve de goudron décidé à n’atteindre son but par tous les moyens nécessaires…avec un sourire strident.

La suite de ce programme divers et complet…à l’abattoir…

EDITO du Festival par Sophie Bellamy

Un festival qui se veut une perte des sens, un étourdissement en pleine conscience et l‘oubli momentané des soucis avérés, un moment hors temps qui permette de (se) retrouver un peu de liberté avant le retour à la réalité, voila ce qu‘on voulait !
Seulement voila, déçus comme des enfants à qui on aurait interdit un jeu amusant, nous voici contraints de refuser l‘entrée aux quidams non authentifiés : elle est là notre perte de sens mais pas dans la même idée… Dans cette programmation malgré tout vous retrouverez des artistes qui ont envie de la défendre, cette Liberté, même contraints à un public scanné.
Des vieilles et vieux de la vieille qui ont passé des années à faire tourner des platines ou pitcher des potards pour voir des gugusses s‘exciter sous leurs nez et puis il y a la jeune garde qui brille en devant de scène. Musiques froides pour corps chauds, rythmes tribaux pour gens très beaux, sons orientaux et nouveaux, textes vulgaires mais sincères, natation synchronisée…
Il y en aura pour tous les goûts, vous l‘avez?
Sophie Bellamy

Le programme

Le programme du Festival en PDF

 

AVF, et vous êtes accueillis…

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Sous les projecteurs de CTV accueille, Pascal Gérardin, vice-Président chargé de la communication de l’association AVF, Accueil  des Villes Françaises, groupe de Chalon. Cette association nationale, créée en 1964, est structurée en 300 groupes dont celui de Chalon avec 11 000 bénévoles et 65 000 adhérents. Une mission simple : accueillir les nouveaux arrivants chalonnais. Ainsi, au niveau national, 7 000personnes ont été accueillis.

Sa présidente Françoise Finas écrit dans le mot d’accueil de la brochure de présentation de l’AVF Chalon (disponible sur le site de l’association en PDF et sous forme papier à l’accueil de la mairie, à l’Office du Tourisme) : Nouveaux arrivants, BIENVENUE à Chalon-sur-Saône, patrie de Nicéphore Niepce, inventeur de la photographie. La Bourgogne et Chalon ont en matière d’accueil une réputation qui n’est plus à faire et que l’AVF assume avec compétence.

AVF : sigle d’Accueil des Villes Françaises, et marqueur de son action.

  • Accueillir chaleureusement tout nouvel arrivant, dans un local agréable où il fait bon se rencontrer, être à votre écoute,
  • Vouloir faire partager des moments de convivialité et d’échanges et vous accompagner dans la découverte de votre nouvel environnement,
  • Faciliter votre intégration en terre chalonnaise en vous faisant bénéficier de notre expérience.

Une équipe dynamique et compétente s’investit depuis près de 50 ans pour vous permettre de tisser des liens sociaux et amicaux entre anciens et nouveaux, de nouer des rapports solides avec notre Municipalité, l’Office du Tourisme et la Bibliothèque pour Tous.

Vous pourrez également participer à de nombreuses activités sportives, ludiques et intellectuelles, à nos promenades-découvertes des innombrables richesses culturelles et architecturales de notre région.

Aperçus des Activités hebdomadaires :

  • Travaux créatifs «Atelier des Doigts de Fées»
  • Jeux (scrabble, tarot…)
  • Atelier peinture, mosaïque
  • Marches, balades, découverte de la région
  • Bridge
  • Initiation / Perfectionnement Informatique
  • Calligraphie
  • Art Floral
  • Ateliers cuisine

Mais aussi des conférences, des balades, des marches, des visites et sorties à Chalon et dans la Région Bourgogne-Franche-Comté, des goûters, des séances photos et les RDV du Dimanche…

Contacts AVF Chalon

  • Internet : www.avf.asso.fr/chalon-sur-saone
  • Email : avfchalon@sfr.fr
  • Tél. : 03 85 93 56 74
  • 20 rempart St-Vincent
  • Permanences : Mardi : 14h00 – 17h00
  • PDF de la Brochure
Une partie des membres du CA

Les militants de la « France Insoumise » iront dans les cités et quartiers populaires

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Porte à porte, rencontres au pied des immeubles, dans la perspective de la présidentielle de 2022, les militants de la « France Insoumise » vont renouer avec des méthodes tombées aux oubliettes. Ils souhaitent aller à la rencontre de ces oubliés qui ont déserté les urnes, les abstentionnistes. Déjà rodée, le 16 août dernier, à Montceau, au Plessis, cette initiative sera renouvelée dans une dizaine de quartiers.

Les militants de F.I, issus de la dizaine de groupes disséminés dans le département ont préparé samedi à Lux, ces initiatives. Ils entendent écouter, débattre tout en assurant la promotion des idées regroupées dans le programme présidentiel « L’avenir en commun ». Un projet que portera Jean-Luc Mélenchon, d’ores et déjà, le député de Marseille peut compter sur une dizaine de groupes de soutien dans le département : Autun – Chagny – Chalon – Montceau – Charolais – Brionnais – Mâcon – Le Creusot – Saint-Vallier – Tournus – Louhans. « Certaines de nos idées comme l’augmentation du SMIC, la retraite à 60 ans, un R.S.A jeune ou encore l’interdiction du glyphosate sont majoritaires » confie, Richard Béninger en complétant « À nous de convaincre de voter pour le candidat de l’union populaire »….Demeure un sujet incontournable afin que J.L Mélenchon puisse se présenter, celui des signatures de maires, pour lequel s’active, Richard Béninger coordinateur départemental…