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Ailes aident

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La jeune association, de 80 bénévoles, basée à Rully (71), Ailes aident, s’occupe du bien-être des personnes ayant été atteintes du cancer, de tous les cancers et de leurs familles. Après cette très lourde épreuve, trop souvent, hélas, mortelle, il faut que ces personnes sorties de l’Hôpital retrouvent dans leur vie meurtrie, du bonheur, du bien-être. L’association a conclus des accords, des prix avec des professionnels du bien-être. De plus, elle ajoute un petit voire un gros plus pour que les prix vers ce moment de relaxation, de beauté soient accessibles à tout le monde. Elles proposent ainsi de la réflexologie, du sport adapté aux personnes ayant eu un cancer, de la dermographie, de la lingerie adaptée…

Pour trouver le financement, l’association vent des crêpes à différentes manifestations…Elle organise, en mai, la 3ème Rull’Ailes, course d’obstacles colorée pour les petits et les grands (3 parcours) et une marche adaptée aux handicaps. Elles seront le fil rouge de la 3ème nuit du rameur du 17 janvier à la salle Marcel sembat, où plein de personnes vont ramer pour eux…ce qui peut ramener, comme l’année passée pour une autre association 1 500 euros.

Présidentielles de 2022 : Marine Le Pen et Ségolène Royal y croient déjà

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Ségolène Royal ne cache plus ses ambitions politiques pour l’élection présidentielle de 2022. L’ancienne candidate socialiste à la présidentielle de 2007, interrogée ce jeudi soir sur notre plateau, a fait un pas vers une candidature, refusant l’idée d’un nouveau face à face entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. « Je contribuerai à ce que cette troisième voie se dessine », a déclaré Ségolène Royal face à Ruth Elkrief. « Bien-sûr que j’y contribuerai! Est-ce que ce sera moi qui l’incarnerai? Je ne sais pas. Mais ce n’est pas une question personnelle, et je sais aussi le sacrifice que ça représente, l’engagement que ça suppose. Je ne sais pas si cela sera moi, mais j’y contribuerai et je soutiendrai celui ou celle qui sera la mieux placé(e). Si je suis la mieux placée, je serai prête », a-t-elle indiqué.

Engagée dans un bras de fer avec l’exécutif alors qu’elle devrait bientôt être limogée de ses fonctions d’ambassadrice des pôles, elle a déploré ce mercredi soir sur notre antenne « un dérapage de l’action gouvernementale ». Depuis plusieurs semaines, l’ex-candidate PS à la présidentielle ne mâche pas ses mots contre la politique du gouvernement, notamment la réforme des retraites, fustigeant à ce sujet « l’ego machiste de l’exécutif ». Selon elle, il y a un « sentiment d’abandon absolument réel » chez les Français, qui « ne comprennent plus la cohérence des réformes tous azimuts ».

Marine Le Pen a annoncé lors de ses vœux à la presse ce jeudi qu’elle se lançait en campagne « préprésidentielle » pour préparer une « grande alternance » à Emmanuel Macron lors du scrutin de 2022. « Au-delà des joutes du quotidien (…) nous sommes entrés dans une phase préprésidentielle », a déclaré la présidente du RN, qui avait déjà dit vouloir être candidate à ce scrutin. « Ma décision a été réfléchie mais elle est prise. Mon projet est d’aller vers un projet d’unité nationale autour d’un grand dessein français, d’un grand projet fédérateur qui puisse réunir les Français d’où qu’ils viennent, un projet de grande alternance pour remettre le pays sur pied », a ajouté la finaliste de la présidentielle en 2017.

« C’est donc très tôt, sans préjuger de la décision qui appartient au congrès de notre mouvement qui aura lieu en 2021, que j’ai fait part de ma volonté de préparer la présidentielle », a-t-elle insisté.

Philippe pense déjà à l’après-retraites

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Objectif: tourner la page. Ou en tout cas montrer que le gouvernement continue d’avancer sur d’autres sujets que celui des retraites, omniprésent depuis le 5 décembre dans le débat public. L’exécutif se réunit en séminaire ce mercredi 15 janvier à l’Élysée pour faire avancer ses priorités de 2020, dont l’écologie et la lutte contre le communautarisme, jusqu’à présent éclipsées par l’interminable crise de la réforme des retraites. “Bien évidemment”, le gouvernement “doit bien continuer d’expliquer, de clarifier et aussi de discuter” pour faire passer la réforme sociale clé du quinquennat, a déclaré Emmanuel Macron mardi 14 janvier à Pau.

Mais ce dossier, qui écrase tous les autres depuis plusieurs mois, ne sera pas le seul sur la table du séminaire, qui rassemble le gouvernement au grand complet au début de chaque trimestre. Organisée dans la foulée du conseil des ministres, cette réunion vise en effet à “aborder en profondeur à la fois le calendrier et l’action du gouvernement pour les mois à venir, ainsi que les prochaines réformes”, selon la porte-parole Sibeth Ndiaye.

L’exécutif espère avoir “clos un chapitre important de la réforme des retraites” ce week-end, dixit un conseiller, en parvenant à un compromis avec les syndicats réformistes, désormais revenus à la table des discussions. “On peut reprendre un cours plus normal de l’activité gouvernementale”, poursuit la même source, en misant par ailleurs sur l’épuisement de la grève. Les retraites continueront cependant à scander les prochains mois: présentation des projets de loi en Conseil des ministres le 24 janvier, début de l’examen au Parlement le 17 février, conclusion prévue de la “conférence de financement” fin avril puis adoption “avant l’été”, selon le calendrier fixé par Édouard Philippe. En parallèle, des discussions catégorielles continueront de se tenir avec les enseignants, les fonctionnaires, etc.

Mais d’autres réformes, bloquées dans l’entonnoir, doivent reprendre leur cheminement, et le séminaire vise à fixer leur cadencement. “Il faut bien se mettre d’accord sur ce qu’on met à l’ordre du jour en 2020”, souligne une ministre. Car 2021, qui verra l’application des mesures votées l’année précédente, sera “la dernière année où l’on pourra mesurer les effets avant l’élection présidentielle” de 2022, embraye-t-elle. En clair: l’année doit être utile afin de se prévaloir d’un bilan devant les électeurs, une préoccupation de plus en plus prégnante au sein de la majorité.

Voeux du Maire : Ode aux bénévoles

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Ce mercredi 15 janvier, dans la salle Marcelle Sembat pleine à craquer, en présence de nombreux élus, le Maire de Chalon Gilles Platret présente ses voeux aux associations et aux Chalonnais.

En cette période pré-électorale) avec un code électoral strict ( Le Maire ne s’est toujours pas déclaré candidat, mais sait-on jamais…! des bruits courent dans les rues et ruelles de Chalon…!), aucune annonce est faite.

C’est donc une ode aux 900 associations chalonnaises, elles qui rendent la ville vivante et attractive et accueillante. Et il n’y a pas d’associations sans bénévoles (vieillissant) et un hommage hautement mérité leur est rendu par le Maire.
Sans une vie associative forte et dynamique, il n’y a qu’un fantôme de ville.

Le tout se finit par la galette des Rois en présence des Reines du Carnaval

Communiqué : Changeons Chalon interpelle le préfet

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Monsieur le préfet,

Candidats aux élections municipales du 15 Mars 2020, nous nous permettons de vous interpeller et de vous faire part de nos inquiétudes quant à l’application du code électoral par les élus sortants.

Interdiction de présenter un bilan avantageux :

L’article L52-1 dans son deuxième alinéa prévoit « qu’à compter du premier jour du sixième mois précédant le mois au cours duquel il doit être procédé à des élections générales, aucune campagne de promotion publicitaire des réalisations ou de la gestion d’une collectivité ne peut être organisée sur le territoire des collectivités intéressées par le scrutin ».

La règle s’applique au territoire des collectivités intéressées par le scrutin donc dans la perspective des élections municipales de mars 2020, pas seulement les communes.

Au regard de la jurisprudence sur ce sujet il apparaît que :

Nombre de publications sur l’ensemble des champs de compétences de la mairie et du Grand Chalon peuvent s’apparenter à de la communication électorale, la jurisprudence ayant statuée sur le fait que présenter un « un bilan avantageux » était illégal. CE du 6 février 2002, Election municipale de pont de Chéruy n° 234903.

A titre d’exemple nous pointons quelques articles ou les termes employés n’ont comme unique objectif que de valoriser l’action municipale.

  • L’article sur le réseau VIF du 24/11/2019 ou nous avons
    • Une information partisane et contestable : « dispositif innovant et efficace »
  • L’article sur la gestion des déchets du 03/12/2019
  • L’article du 18/12/2019 décembre sur la plantation d’arbres ou nous avons :
    • Une information partiale sur le bilan de la mairie
    • Des éléments programmatiques
  • ………………

Sachant qu’il est acté par la jurisprudence qu’il pourra avoir violation de l’article L52-1 même dans le cas où aucune référence à l’élection, aucun nom d’élu ne figure dans le support de communication, nous réaliserons un recueil de l’ensemble des publications qui présentent de telles irrégularités.

Permanence dans le temps :

Au regard de la fréquence des communications sur les derniers mois, de la fréquence des animations, de l’augmentation au budget primitif de certains comptes pouvant être utilisés pour augmenter les « cadeaux » au Chalonnais ou ayant trait à la politique d’animation et de communication, Il m’apparaîtrait nécessaire de pouvoir auditer l’ensemble de ces comptes.

En effet, le code électoral interdit dans les six mois précédant les élections tout cadeau ne répondant pas aux critères de permanence dans le temps.

Nous pointons le coup de pouce accordé aux associations chalonnaises et voté lors du conseil municipal du 20/12/2019 même si de façon fort opportune il avait également été réalisé sur 2018. Il m’apparaît indispensable de vérifier l’utilisation de

De la même façon, nous pointons sur le budget primitif 2019 :

  • L’augmentation du compte 6232 : Fêtes et cérémonies de 23.52%
  • L’augmentation du compte 6236 : Catalogue et imprimés de 24.4%
  • L’augmentation du compte 6238 : Divers de 16.85%
  • L’augmentation du compte 6218 : Autres prestataires extérieurs de 221 387 €
  • L’augmentation du compte 6574 : Dotation aux associations de 147 781 €
  • L’augmentation de la dotation au CCAS de 210 000 € avec l’information selon laquelle la dotation pour les colis de Noel serait passer de 8 à 10 € soit % en année électorale

Nous ne reprenons que le budget de la municipalité bien que l’analyse doive englober le Grand Chalon. La nature des comptes et leur évolution « lors d’une année électorale » ne peut que nous amener à vous interpeller quant à la légalité de leur utilisation dans le cadre de cette période.

Légalité des inaugurations :

Quant à la fréquence des inaugurations dont le code électoral précise que leur critère de légalité est particulier : leur date doit pouvoir être justifiée par le calendrier des travaux ou en fonction de circonstances étrangères à la tenue des prochaines élections dans ces derniers mois, une analyse des articles de presse peut permettre de poser quelques interrogations.

A titre d’exemple, nous pointons :

  • L’article du JSL du 18/12/2019 sur la première pierre de la cité du numérique, projet non encore complétement financé (selon l’article) et avec une date toute théorique de production en Avril 2021.
  • Un bilan/inauguration dans l’édition du 12 octobre 2019 ou l’on met en avant le bilan d’un service existant depuis 2017, entour’AGE, et ayant fait évoluer de façon fort opportune son visuel.
  • L’inauguration du 71 -ème composteur dans l’édition du JSL du 1er Décembre pourrait prêter à sourire si elle n’était pas une caricature éclairante du non-respect des obligations des élus de la collectivité au regard du code électoral.

L’ensemble de ses éléments nous permettront de former un recours. Toutefois, nous souhaitions vous alerter sur nos interrogations, avant d’avoir droit à la célébration du 259 ème nouveau-né de la maternité, et afin que la fin de campagne puisse se dérouler avec un minimum d’équité sur la dernière période.

 

Laurent Delrieu

L’ambassadrice des Pôles bientôt licenciée

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L’ex-ministre Ségolène Royal a annoncé mardi que l’exécutif envisageait de « mettre fin » à ses fonctions d’ambassadrice des Pôles en raison de ses critiques récurrentes du gouvernement, s’estimant déjà licenciée et assurant qu’elle n’entend pas se taire. L’ex-candidate à la présidentielle de 2007 publie sur Facebook une lettre des ministères des Affaires étrangères et de la Transition écologique, dont le Canard enchaîné a publié le premier des extraits, affirmant qu’il « est envisagé de mettre fin » à ses fonctions.

Ségolène Royal reproduit une lettre datée du 7 décembre, envoyée au regard de ses « récentes prises de paroles publiques qui mettent en cause la politique du gouvernement » à laquelle, soulignent les ministères, elle est « étroitement associée » en sa « qualité d’ambassadrice, titulaire d’un emploi à la décision du gouvernement ». La lettre prévient qu’un « prochain Conseil des ministres pourrait examiner le projet de décret mettant fin à vos fonctions d’ambassadrice ».

Ségolène Royal, faisant référence à l’article du Canard enchaîné, estime pour sa part que son « licenciement de cette mission bénévole sur les pôles a déjà eu lieu, sans entretien préalable ». « Je comprends par cette lettre que le Président de la République va mettre fin à mes fonctions (lors) d’un prochain Conseil des ministres puisque je n’ai pas l’intention de renoncer à ma liberté d’opinion et d’expression garantis par la Constitution. J’en prends acte », ajoute-t-elle sur sa page Facebook.

La ministre de la Transition écologique et solidaire, Élisabeth Borne, a également lancé dimanche un ultimatum à l’ambassadrice des pôles Ségolène Royal, la sommant de « faire un choix » si elle veut garder sa fonction impliquant un « devoir de réserve ». L’ex-ministre et candidate socialiste à la présidentielle de 2007 a multiplié ces derniers temps les attaques à l’encontre du gouvernement, publiant en décembre des tweets critiquant le pouvoir sur les pesticides, la réforme des retraites, ainsi que la proximité d’Emmanuel Macron avec « le monde du business mondialisé ».

Face aux nouvelles accusations de violences policières Castaner recadre la Police

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Face à de nouvelles violences policières, le gouvernement a décidé d’infléchir sa rhétorique en appelant ce lundi 13 janvier les forces de l’ordre à “l’exemplarité” avec un “usage juste et proportionné de la force”. Deux jours après avoir déjà rappelé les forces de l’ordre à leur professionnalisme et à leur déontologie, devant un panel de citoyens, Christophe Castaner a enfoncé lundi le clou en consacrant une bonne partie de ses vœux à la Police nationale au devoir “d’exemplarité” et à “l’éthique”, à l’école nationale supérieure des officiers de police (Ensop) de Cannes-Ecluse (Seine-et-Marne).

“L’usage juste et proportionné de la force est ce qui sépare la démocratie de l’arbitraire, ce qui distingue l’ordre et la brutalité, c’est le fondement, aussi, de notre confiance avec les Français”, a fait valoir le ministre de l’Intérieur tout en célébrant par ailleurs l’engagement quotidien des policiers, endeuillés lundi par le décès d’un des leurs, renversé dans la nuit de vendredi à samedi par un malfaiteur près de Lyon.

“C’est l’honneur de la police qui est en jeu, on ne fait pas de croche-pied à l’éthique, sauf à s’abaisser, à abaisser la police”, a complété le ministre, une référence explicite à une vidéo montrant un policier faisant un croche-pied à une manifestante à Toulouse. Christophe Castaner a également souligné l’obligation pour les policiers de porter leur numéro d’identification, dit RIO. Les images du croche-pied, comme d’autres captées lors des récentes manifestations contre la réforme des retraites ont donné lieu à l’ouverture d’enquêtes judiciaires et provoqué une nouvelle vague d’accusations contre les violences policières, un terme réfuté depuis plus d’un an par l’exécutif et le début de la contestation des “gilets jaunes”.

Retrait de l’âge pivot : Philippe veut aller au bout de la réforme

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« Je suis un Premier ministre concentré », lance Édouard Philippe. Dimanche 12 janvier, le Premier ministre a répondu aux questions de Laurent Delahousse dans le 20 Heures de France 2. Samedi, le chef du gouvernement a annoncé le retrait provisoire de l’âge pivot, main tendue vers les syndicats réformistes. « Nous avons abouti à une démarche, une forme de compromis où chacun en respectant son partenaire (…) a accepté d’évoluer (…) Ce compromis, ce n’est pas la norme dans l’histoire sociale française », s’est réjoui le Premier ministre.

La grève contre la réforme des retraites dure depuis près de quarante jours. « La grève a été longue, et une grève longue, ça veut dire pour ceux qui la font, une rémunération amputée, et pour des millions de Français, une gêne considérable », admet Édouard Philippe. Mais le Premier ministre a tenu à exprimer sa détermination, notamment sur le sujet des régimes spéciaux : « Je dis à ceux qui ne veulent pas que les régimes spéciaux disparaissent que nous allons aller au bout. (…) Je pense qu’ils devraient prendre leurs responsabilités, et je constate que la décroissance progressive du taux de grévistes dans les entreprises de transport fait que les prévisions sont plutôt bonnes. Vous connaissez la phrase : ‘il faut savoir terminer une grève’. »

Dans sa lettre adressée aux syndicats, Édouard Philippe a laissé jusqu’à fin avril aux organisations pour trouver un accord en imposant certaines lignes rouges. « Je suis déterminé sur l’équilibre financier du système, c’est ma responsabilité de chef du gouvernement. À titre personnel, je suis persuadé que l’âge pivot est la meilleure solution pour le rétablir », a insisté le Premier ministre. Le chef du gouvernement a également voulu affirmer le soutien d’Emmanuel Macron dans ses démarches. « Nous sommes alignés pour faire avancer le pays », a-t-il lancé. « Nous allons supprimer les régimes spéciaux, tranquillement. Et dire que nous allons créer des nouveaux droits pour les agriculteurs, les commerçants, qui travaillent toute une vie et ont une retraite qui n’est pas à la hauteur. C’est pour ça qu’il y a du monde dans la rue, c’est une réforme ambitieuse », a soutenu Édouard Philippe.

Une « conférence de financement » aura lieu fin janvier pour trouver un accord sur la façon de trouver l’équilibre financier. Le Premier ministre se dit ouvert aux propositions tout en rappelant sa détermination : « Le gouvernement ne laissera pas passer un projet de loi qui ne prévoirait pas les mesures de retour à l’équilibre en 2027, car ce serait totalement irresponsable. » Cette phase de négociation ne sonne pas la fin de la réforme des retraites voulue par le gouvernement. « Nous irons au bout de cette réforme », assure le Premier ministre.

Social : de nouvelles mobilisations la semaine prochaine contre le projet de réforme des retraites

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Ce samedi matin 11 janvier 2020, une nouvelle manifestation contre le projet de réforme des retraites s’est déroulée à Chalon, regroupant environ 5 à 600 participants. Ce sont principalement des bataillons de la C.G.T- FO mais aussi de Sud Solidaires et de la F.S.U qui ont composé le cortège qui s’est rendu de la maison des syndicats au centre hospitaliers William Morey.

A l’unisson, les manifestants ont dénoncé, les violences policières et ont annoncé de nouvelles actions pour la semaine prochaine. Une manifestation se déroulera mardi 13, le rendez vous est fixé à 14 H, devant la maison des syndicats.

Et de 4…Manifestation du 9 janvier

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[Voir notre reportage vidéo]

Pour cette 4ème manifestation du 9 janvier, la première de 2020, contre la réforme des retraites, ils sont près de 2 500 (selon des informations concordantes) à s’être de nouveau mobilisés. Un nombre toujours considérable mais cependant en baisse par rapport à la première manifestation en décembre, où l’on comptait 5 700 manifestants.

Le parcours est, cette fois, un peu différent des fois précédentes : le départ a lieu toujours de la Maison des syndicats mais place de Beaune le cortège bifurque et se dirige vers les rues piétonnes, remonte les quais, mairie et bien sur Gare SNCF, où une partie des cheminots est en grève depuis 35 jours, un record dans l’histoire du moment social. Une autre manifestation est prévue samedi 11.