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Place Général de Gaulle : rien n’est acquis

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De nouveau le Collectif Chalonnais pour un Urbanisme Responsable est présent place Général de Gaulle, ce samedi 16 décembre, pour rappeler aux Chalonnais que l’arrivée du Centre commercial sur la place n’est pas aussi imminente que le dit la municipalité. Le collectif en profite aussi pour continuer à faire signer sa pétition qui a recueilli déjà 3000 signatures.

En effet deux recours administratifs sont toujours en cours auprès des tribunaux… Une requête judiciaire citoyenne auprès du Tribunal administratif de Dijon a été déposé par le collectif.

Le collectif rappelle que le nouveau PPRI (Plan de Prévention du Risque Inondation) adopté le 28 juillet 2016 englobe la Place de Gaulle dans une zone à risque d’inondation. Le collectif rappelle qu’étrangement le permis de construire a été délivré à la ville et au promoteur immobilier Somabi le 27 juillet 2016… Sûrement une coïncidence de date, s’étonne le collectif…!

Le collectif ne se prononce pas sur l’enseigne ou les enseignes qui vont occuper ce Domaine public (H&M et la Fnac, comme il se dit) mais sur la construction à cet endroit d’un immeuble commercial très important (de 3000 m2 et 12 mètres de haut), qui va occuper une grande partie de la place… sans réelle consultation des Chalonnais…et qui risque d’être inondé, comme l’indique le nouveau PPRI…

Voir notre reportage dossier consacré à ce sujet en mars 2017

Bientôt reportage vidéo

chaloncollectifurbanisme@gmail.com

https://www.mesopinions.com/petition/social/construction-batiment-commercial-place-gaulle/27380

Le + ChalonTV

Les ventes du numéro deux mondial du prêt-à-porter H&M ont baissé ce dernier trimestre de 4% provoquant une chute de son action, qui a perdu 33 % de sa valeur depuis le début de l’année. Un bilan que M. Persson, dirigeant du groupe depuis 2009, explique par les mauvais résultats des «boutiques physiques » de la marque, « qui subissent les contrecoups d’un marché toujours difficile, avec une affluence des clients réduite, en raison des changements subis par l’industrie ». Le groupe possède 4 553 magasins dans le monde.

L’autre problème, plus profond, est le retard pris par H&M dans le déploiement de sa stratégie digitale. Distancé par ses homologues, l’état-major de la firme suédoise veut s’adapter à la nouvelle tendance et devrait fermer plusieurs magasins et développer la vente de sa marque en ligne avec le géant chinois du commerce électronique Alibaba Group Holding.

Sources Le Monde / Forbes

 

Rainbow enveloppe vos cadeaux

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L’association Rainbow est présente en ces temps de Noël à la librairie Gibert Joseph (11, rue du Général Leclerc) de Chalon pour envelopper les livres que vous allez offrir à vos proches. Une petite pièce leur permet de poursuivre leur action. C’est une source de revenus non négligeable pour eux.

L’association Rainbow aide lesbiennes, gays, bi et transsexuels à vivre sereinement leur sexualité dans une France pas toujours aussi ouvert que cela. Elle agit contre les discriminations, l’homophobie. Composée de bénévoles elle conduit un travail d’écoute, d’accompagnement et de sensibilisation notamment auprès des plus jeunes dont certains sont parfois rejetés par leurs parents.

Local : 13, place Thévenin

Travaux Aubépins… cela continue

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La phase de travaux des Aubépins (Place Louis Pergaud et rue Théodore de Foudras) menée par L’OPAC se continue par la mise en place du chemin piétonnier et la réalisation des places de Parking et l’emplacement des nouveaux locaux pour les containers poubelles. Le coulage du béton commencé jeudi s’est arrêté aujourd’hui vendredi 1e décembre à cause de la tombée de la neige dans la nuit de jeudi à vendredi. Ceci n’empêche cependant nullement les terrassiers de continuer à creuser…

Sacré Battle

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Ce vendredi 24, le théâtre du pont Nord de l’Espace des Arts fait salle comble pour cette seconde séquence de Let’s Danse. Jeunes ou moins jeunes, fans ou pratiquants de 7 ans à 77 ans, habitués du lieu ou primo spectateurs sont venus pour un grand moment de culture hip-hop.

La culture hip-hop connaît plusieurs disciplines : le rap (ou MCing), le DJing, le break dancing (ou b-boying), le graffiti, le beatboxing.

Ce soir le public est venu assister à un battle (une bataille), c’est à dire une compétition entre rappeurs, échangeant leurs meilleurs raps spontanés, dont l’issue s’évalue par un jury de 3 personnes.

Le jury de ce soir est prestigieux. . Les « crews » seront départagés par un jury composé de figures du monde du battle, à l’instar de Karim Beddaoudia, danseur chalonnais régulièrement présent à l’Espace des Arts avec la Compagnie Käfig, de Junior Bosila Banya aka B-Boy Junior, vainqueur de l’émission « Incroyable Talent » et Champion du Monde avec le collectif Wanted Posse ou de David Colas (jury du Battle of the Year World Final 2016). La soirée est animée par le speaker Youval (speaker de Battle of The Year France, Chesses Battle Pro…).

Cette soirée EDA Battle réunit les 8 meilleures équipes du moment, des 4 coins de la France et d’Allemagne pour un 4 contre 4. Elle fait également une place à la jeune génération avec un battle junior, un contre un.

La finale des Séniors a duré 12 minutes et a opposé Les Original Rockerz  de Marseille contre Arabik Flavor de Nancy avec la victoire de ces derniers et à la clef un prix de 1500 euros.

Le prochain grand Rendez-vous est le 23 juin au même endroit

ITW de Rachid Kassi

Le + photo de ChalonTV

Le + ChalonTV – Wikipédia

  • Un ou une battle (« bataille » en anglais) est un terme de la culture hip-hop désignant une compétition entre rappeurs, échangeant leurs meilleurs raps spontanés, dont l’issue se juge à l’applaudimètre ou par un jury de 3 personnes

Initialement, il s’agit d’une confrontation organisée entre deux rappeurs ou « clasheurs ». Les participants, en faisant des rimes, improvisent et vannent l’adversaire. Les votants sont soit un jury, soit le public. Il existe une différence entre une battle et un clash : une battle se déroule dans un tournoi par exemple, alors qu’un clash se fait sur un « coup de tête », ou par chansons interposées. Le tournoi de battle en français le plus connu est intégré à la compétition généraliste hip-hop Juste debout.

  • La culture hip-hop connaît plusieurs disciplines : le rap (ou MCing), le DJing, le break dancing (ou b-boying), le graffiti, le beatboxing.

La musique et la culture du hip-hop sont formées pendant les années 1970 lorsque les block parties se popularisent à New York, en particulier chez la jeunesse afro-américaine du Bronx. Les block parties incorporent des DJs, qui jouaient des genres de musique populaire, en particulier funk et soul. Avec un accueil positif, les DJs commencent à isoler les breaks percussifs des chansons populaires. Cette technique vient de la musique dub jamaïcaine et est largement popularisée à New York par les immigrés originaires de Jamaïque et des Caraïbes, comme DJ Kool Herc, appelé le « père fondateur du hip-hop. »

Des techniques de turntablism – comme le scratching (attribué à Grand Wizzard Theodore16), le beat mixing et/ou matching, et le beat juggling – se développent. La musique hip-hop à ses débuts devient une « voix » ou « issue de secours » pour la jeunesse des quartiers défavorisés quotidiennement minée par les discriminations sociales, économiques et politiques.

Le rap, MCing ou emceeing, est un style vocal dans lequel le chanteur parle, généralement sur un morceau instrumental ou synthétisé. Le morceau, en signature 4/4, peut être créé par échantillonnage, notamment. Ils incorporent également synthétiseurs et boîte à rythmes. Les rappeurs peuvent écrire, mémoriser, ou improviser leurs paroles et les chanter a cappella ou pendant un morceau. La musique hip-hop intronise le rap à la culture du hip-hop, mais le rap est absent des chansons de hip-hop comme dans Hip Hop, Be Bop (Don’t Stop) des Man Parrish ; Chinese Arithmetic de Eric B. and Rakim ; Al-Naafiysh (The Soul) et We’re Rocking the Planet de Hashim ; et Destination Earth de Newcleus. Cependant, la majeure partie du genre est accompagné de rap, en partie de rap féminin. La MC Sha Rock, originaire du Bronx et membre des Funky Four Plus One est considérée comme la première rappeuse au hip-hop. The Sequence, un trio de hip-hop trio signé au label Sugar Hill Records au début des années 1980, est le premier groupe féminin à faire paraître un album de rap, Funk You Up.

Les racines du rap remontent à la musique afro-américaine et plus loin à la musique africaine, en particulier celle des griots de l’Afrique de l’ouest. Les traditions afro-américaines signifyin’, les insultes rituelles, et la poésie influence la musique hip-hop. À New York, les musiques spoken-word de groupes et musiciens comme The Last Poets, Gil Scott-Heron et Jalal Mansur Nuriddin influence l’environnement social dans lequel le hip-hop a été créé. DJ Kool Herc et Coke La Rock influencent le style vocal du rap avec des versets poétiques accompagnés de breaks de musique funk.

Plus tard, les MC varient de rythme et de style vocal, avec quelques brèves rimes, souvent à caractères sexuels ou scatologiques, afin de se différencier des autres et de divertir le public. Ces premiers groupes de rap incorporent des insultes rituelles. Kool Herc & the Herculoids sont le premier groupe à se populariser à New York24, mais le nombre de MC s’accroit avec le temps. Il y avait souvent collaborations entre gangs, comme l’Universal Zulu Nation d’Afrika Bambaataa—actuellement une organisation internationale. Melle Mel, un rappeur des Furious Five est considéré comme le premier parolier de rap à s’auto-proclamer « MC ».

La musique hip-hop est influencée par le disco et le contre-coup qui lui est associé. Selon Kurtis Blow, le tout premier chanteur de Rap à avoir signé avec un Major avec le tube The Break, les premiers jours du hip-hop se caractérisent par la division entre fans et détracteurs du disco. Le hip-hop émerge comme « réponse directe à la disco européanisée» et les premières chansons hip-hop se basent principalement sur des boucles musicales de style hard funk. Cependant, en 1979, la boucle ou chanson disco instrumentale devient de plus en plus la base de la musique hip-hop. Ce genre musical obtient le nom de « disco rap». DJ Pete Jones, Eddie Cheeba, DJ Hollywood, et Love Bug Starski sont des DJs hip-hop influencés par le disco. Leur style diffère des autres musiciens hip-hop qui se focalisent sur des rimes rapid-fire et des schèmes rythmiques plus complexes. Afrika Bambaataa, Paul Winley, Grandmaster Flash, et Bobby Robinson feront plus partie de cette catégorie.

Le Battle de l’EDA

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Salle comble ce vendredi 24 pour le Battle* de l’EDA (Espace des Arts) au pont Nord…des jeunes ou des moins jeunes, parents accompagnant leurs enfants ou tout simplement des fans de cette « bataille », toute pacifique et très joyeuse de hip hop. Succès garanti et acrobatie au rendez-vous pour ce deuxième Rendez-vous de Let’s dance.

Cette soirée réunit les meilleures équipes du moment, de France et de l’Etranger, pour un 4 vs 4 ouvert à huit équipes de b-boys et b-girls. Les « crews » seront départagés par un jury composé de figures du monde du battle, à l’instar de Karim Beddaoudia, danseur chalonnais régulièrement présent à l’Espace des Arts avec la Compagnie Käfig, de Junior Bosila Banya aka B-Boy Junior, vainqueur de l’émission « Incroyable Talent » et Champion du Monde avec le collectif Wanted Posse ou de David Colas (jury du Battle of the Year World Final 2016).

Les membres du jury désignant les vainqueurs

Animé par le speaker Youval (speaker de Battle of The Year France, Chesses Battle Pro…), l’EDA Chalon Battle fera également une place à la jeune génération avec un battle junior. Des qualifications régionales seront organisées en amont pour sélectionner les représentants de la région Bourgogne-Franche-Comté, qui viendront défier les stars internationales lors de ce battle.

Le speaker Youval (speaker de Battle of The Year France, Chesses Battle Pro…)

La finale des Séniors a duré 12 minutes et a opposé Les Original Rockerz (Marseille) contre Arabik Flavor (Nancy) avec la victoire de ces derniers.

  • Un ou une battle (« bataille » en anglais) est un terme de la culture hip-hop désignant une compétition entre rappeurs, échangeant leurs meilleurs raps spontanés, dont l’issue se juge à l’applaudimètre ou par un jury de 3 personnes (Wikipedia)

Bientôt le reportage vidéo

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Rencontres Jeunesse Grand Chalon Sport

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Cette 4e demi-journée de rencontre des animateurs jeunesse du Grand Chalon est consacrée au sport. Elle se déroule au gymnase Alain Colas de Chatenoy-le-Royal, ce jeudi 23 novembre. Les 14 stagiaires, dont 3 membres de la PJJ*, venant des 5 communes impliquées (Chatenoy, St Rémy, St Marcel, Chalon et Champforgeuil) sont accueillis par le nouveau Maire de Chatenoy, Vincent Bergeret. La séquence est animée par Franck Courdier, éducateur sportif de la ville de Chatenoy.

Franck Cordier rappelle que les acteurs éducatifs, y compris les acteurs du sport, ont tous un rôle à jouer dans le développement de l’enfant, l’adolescent. L’activité sportive permet le dépassement de soi, le respect de soi et de ses adversaires de jeu, le respect des règles. Elle favorise la solidarité, l’esprit d’équipe, le goût de l’effort. Le sport peut et doit surtout être vecteur efficace d’éducation et d’éveil à la citoyenneté, au vivre ensemble, un outil à fort impact social. Cette activité peut et doit venir en renfort des valeurs que développent l’école et la famille.

Il définit son rôle dans la commune s’occupant des petits de 3 ans aux seniors, ceci dans le cadre scolaire en primaire ou lors d’activités libres hors école. Il est aussi responsable de la section sportive du collège Louis Aragon de Chatenoy.

Il présente, par vidéo, deux nouveaux jeux qu’il pratique avec les enfants petits ou grands, le Rugby flag et le Poull Ball, sports sans contact et surtout accessibles à tous, même à ceux en rupture avec le sport, sports à forte valeur éducative et collective.

Parler d’un sport, c’est bien, le pratiquer, c’est mieux. La demi-journée se finit, dans la bonne ambiance par une partie de Poull Ball, sport inventé par un jeune étudiant belge. Dans ce sport d’équipe de 5, sans contact, il faut renverser un des deux cubes présents sur le terrain, et cela avec un minimum de 3 passes.

  • * Protection Judiciaire de la Jeunesse

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Les Z’amis épicuriens de MaCave

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Ce vendredi soir, 17 novembre, c’est la fête à MaCave Les Z’amis d’abord à Lux en Saône et Loire… et il y a toujours une bonne occasion de recevoir ses Z’Amis nous confie l’un des propriétaires et ce soir c’est l’arrivée du nouveau caviste Rudy. Cette soirée est guinguette. Elle permet aux nombreux invités de déguster des vins de Loire avec le Domaine Guy Allion et des vins du Mâconnais avec le Domaine des Tourterelles (Viré). Ce dernier s’est vu, cette année, recevoir le plus prestigieux prix du mâconnais dans la catégorie Mâcon-Villages, la Coupe Perraton.  La dégustation de vins est accompagnée, bien sûr, de petits et grands fours salés, tout cela dans ambiance Les Z’amis…

A Macave, c’est une originalité régionale, on fabrique ainsi sa propre bière pendant une petite demi-journée et on repart avec une quarantaine de bouteilles à son nom, au nom de son association avec sa propre étiquette. On trouve aussi des bières artisanales locales comme la Rustine faite à Epervans, L’Escargotte à St Gengoux mais aussi étrangère, belges, allemandes, écossaises, américaines… On peut aussi louer des tireuses de bière et des fûts.

A Macave, l’épicurien, l’amateur de bonnes choses trouve aussi des spiritueux, whisky, rhum… et tous les produits nécessaires à passer de bonnes soirées entre Z’amis…

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MaCave, Les Z’ Amis D’abord

1 rue de la libération

(vers le gros rond point)

71100 Lux

03 85 49 63 83

Les Z’Amis en guinguette

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Ce vendredi soir, 17 novembre, c’est la fête à MaCave Les Z’amis d’abord de Lux (71). Il y a toujours une bonne occasion de recevoir ses Z’Amis. Ce soir, c’est l’intronisation du nouveau caviste Rudy. C’est soirée guinguette, avec la musique adéquate, dégustation de Mâconnais (Domaine des Tourterelles) et de vins de Loire (Domaine Guy Allion), petits et grands fours et une ambiance Z’Amis pour les nombreux invités (Clients, voisins, restaurateurs, partenaires, amis, associations)… A Macave, on trouve bien sûr du vin, d’ici et d’ailleurs, des spiritueux, des bières, sa bière que l’on fabrique soi-même avec une étiquette à son nom, son association…le tout dans un rapport qualité/prix inégalé, au juste prix, pourrait-on dire, sans dépasser les 30 euros pour les vins…

  • Bientôt notre reportage vidéo
  • En bas d’article Galerie photos et adresse

MaCave Les Z’amis d’abord de Lux

1 rue de la Libération – 71100 Lux

Vers le grand rond point

03 85 49 63 83

www.leszamisdabord.com

 

 

Noires sensations

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Ce vendredi 13 octobre au soir, l’événement n’est pas dans la chalonnaise Rue de Strasbourg où l’on peut déguster, pour la Paulée 2017, des crus de la côte. Il est ailleurs au Restaurant Tou L’Monde en Parle pour une deuxième expérience obscure pour 38 convives.

Un repas dans le noir, sous un bandeau, dans la salle de restaurant totalement obscurcie… Une expérience inédite et appréciée par tous. Elle permet de ressentir ce que vivent les non voyants, de décupler le goût des aliments que l’on ne voit pas, et aussi, ce soir-là, de mieux communiquer entre les différents clients… l’anonymat étant très favorisant.

Tout savoir… dans le reportage vidéo…

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Tou L’Monde en Parle. BAR-RESTAURANT. 03 85 48 39 83. 

UTB – Les seigneurs de Germolles

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Histoire Médiévale

L’ UTB a programmé une conférence le lundi 6 novembre 2017 à la maison des syndicats de 14h30 à 16h,animée par Julien Monchanin et Matthieu Pinette

Présentation de l’ouvrage co-édité par l’UTB et le Château de Germolles

Julien Monchanin a accompli un travail de recherche important sur cette famille des seigneurs de La Grange qui a construit le château, qui tomba dans les mains des Ducs de Bourgogne après la faillite du dernier de la lignée. Cette conférence retrace les grandes lignes de l’histoire racontée dans l’ouvrage qu’il a composé et que l’UT et le Château de Germolles ont édité.

La maison de Germolles, qui précéda les ducs de Bourgogne dans la propriété du petit écart de Mellecey ainsi nommé, est l’une des plus injustement méconnues de l’ancienne noblesse régionale. Apparentée aux comtes de Chalon et aux célèbres sires de Brancion-Uxelles, elle s’est pourtant perpétuée deux siècles durant, laissant derrière elle une mine d’informations jusqu’ici inexploitées sur le quotidien et les préoccupations de seigneurs moyens aux XIIIe et XIVe siècles.

Entre la troisième croisade et le terme de la guerre de Cent Ans, nous la suivons ici de ses origines à son extinction et nous nous plongeons dans ses querelles de voisinage, dans ses projets de mariage et d’accroissement d’une seigneurie, à cheval dans la bataille, dans le scandale de sa ruine et jusque dans ses tombeaux figurés, superbes et mystérieux vestiges d’une époque révolue, l’occasion de fréquenter tout un milieu fait de petits paysans et de bourgeois autant que de nobliaux et d’illustres princes, de voyager un peu dans un Chalonnais médiéval en mutation, et de mesurer très concrètement toute l’étroitesse des liens qui unissent parfois la grande histoire à la plus petite.

Texte accompagné de notices sur les familles alliées : Desrée, Dracy, Nanton, Sennecey, Vauvry.

Julien Monchanin

Julien Monchanin est journaliste économique pour la presse professionnelle. Depuis une dizaine d’années, il effectue des recherches sur le Chalonnais médiéval et sur les racines généalogiques de sa noblesse.

Matthieu Pinette

Co-gérant de la SARL Germolles Palais ducal en Bourgogne (entreprise culturelle)

Conservateur en chef, directeur des musées d’Amiens
Conservateur en chef du musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon
Conservateur du musée à Semur en Auxois
Conservateur du musé Rolin à Autun

Publication: « Les carreaux de pavage dans la Bourgogne médiévale » Autun, 1981.

NDLR CTV : Voir les photos du Château sur le site de notre partenaire En-tuktuk.fr