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Le Manbo de la Chambre Symphonique, Sentimental concert

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[Bientôt notre reportage Vidéo (préparatifs, interviews, concert)]
C’est devant 140 spectateurs, ce vendredi 5 août – 20h30, à la Basilique de Notre Dame de Beaune, que la Chambre Symphonique, dans une belle fraîcheur et avec un public conquis, a interprété des œuvres de Tchaïkovski (Roméo et Juliette), Saint-Saëns (La muse et le poète), Marquez (Danzon N° 2), Verdi (La force du destin), et Ravel (Alborada del Gracioso). Leur prochain concert a eu lieu à Cluny, ce dimanche 8 à 18h.
La Chambre Symphonique est un jeune orchestre créé en janvier 2018. Elle est dirigée par Loïc Emmelin, initiateur engagé du projet. Il a fait une partie de ses études au Conservatoire Régional de Chalon. La Chambre Symphonique rassemble plus de 70 musiciens voulant partager leur passion avec le plus grand nombre. Elle veut jouer son rôle d’acteur culturel innovant, tant dans l’approche des publics que dans la vitalité du répertoire symphonique. Son objectif est simple et ambitieux : faire résonner une musique symphonique vivante au plus profond de chacun !
La Chambre Symphonique a un pied en Bourgogne-Franche-Comté et un pied en Auvergne-Rhône-Alpes. Orchestre mixte, rassemblant des étudiants des Conservatoires Supérieurs ou Régionaux français, suisses et belges, des amateurs éclairés et de jeunes musiciens professionnels se retrouvant pour monter un programme symphonique dynamique, lors de sessions de répétitions intenses en vue de concerts innovants !
( Texte du descriptif) : Chambre Symphonique

Les anti-Passes plantent leur tente place de Beaune

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Pendant de long mois, tous les samedis après-midi, pendant et après la période Covid, vous avez dû les voir défiler dans les rue de Chalon protester contre le Passe sanitaire, la restriction, selon eux, de nos libertés.

Depuis 4 semaines, la cinquantaine de ces militants ont changé de tactique en s’installant, tous les samedis, place de Beaune. Cela leur permet de rencontrer, discuter avec les passant et de faire remplir un questionnaire anonyme sur le vécu du Covid (400 personnes l’ont déjà rempli à ce jour). Ils sont aussi pris le nom de « Collectif chalonnais Liberté et Vérité » après s’être appelé Collectif Chalonnais Anti-passes et Liberté vaccinales. Ils réclament, toujours, la réintégration des soignants non-vaccinés qui sont actuellement suspendus de leur activité.

Le samedi 3 septembre sera un grand jour avec, toujours place de Beaune, leur « nouvelle résidence », avec un colloque d’intervenants connus et projection sur un écran de 4 mètres sur 3 de leur intervention. Une nouvelle étape dans leur combat Liberté et Vérité

Présentation du Collectif Chalonnais Liberté Vérité en visite à Forcalquier.
Discussion sur leur Collectif et l’événement du 3 Septembre à Chalon-sur-Saône qu’ils organisent.
Jonathan Citoyen Reporter pour Vécu

CP : Ciné sous les étoiles le 16 août, Bigfoot

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Rendez-vous désormais incontournable des soirées d’été d’août, « un ciné sous les
étoiles » revient jusqu’au jeudi 25 août à 21 h 30 avec sept grands succès
cinématographiques à la clé. Gratuites, ces séances de ciné en plein air permettent à tous
de profiter d’un moment convivial et divertissant pendant les vacances. N’oubliez pas
votre pique-nique, vos chaises, transats et petites laines pour cette 4e séance au square
Chabas.

Mardi 16 août à 21 h 30 : Square Chabas – Bigfoot Family
(Animation)
Durée : 1 h 29
Depuis son retour en ville, Bigfoot est devenu la star des médias. Au grand dam de son fils Adam qui rêvait d’une vie de famille paisible.
L’adolescent essaye de dompter les incroyables pouvoirs hérités de son père et trouve réconfort auprès de la folle ménagerie abritée sous son toit.

En cas de mauvais temps, la projection sera maintenue et aura lieu Salle Marcel Sembat, à partir de 21 h 30. La nourriture et les boissons seront interdites à l’intérieur de la salle. Seuls les petits sacs (sac à main, sacoche…) seront autorisés pour rentrer dans la salle de repli.

Une trentaine de sénateurs signent pour la légalisation du cannabis

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Le cannabis, sa vente illicite, les milliards qu’il procure aux dealers, compromission de l’état pour obtenir la paix sociale dans les quartiers dits sensibles, sa dépénalisation, sa légalisation sont des sujets sociétaux dont la France débat, sans avancer comme souvent, depuis des années. CTV a déjà, de nombreuses fois aborder le sujet. Cannabis, cachez ce mot que je ne saurai entendre, lire…Depuis 40 ans la France est le pays le plus répressif d’Europe sur la consommation du cannabis, or c’est le pays où la consommation augmente le plus d’année en année, notamment chez les jeunes. M. Darmanin et autres ministres antérieurs, cherchez l’erreur…!!! Cette pénalisation actuelle du cannabis est inefficace, mobilise beaucoup de forces de l’ordre pour rien, encombre les palais de justice, insécurise les quartiers difficiles, laisse la délinquance progresser dans une grande impunité, ouvre la porte à d’autres délits bien plus graves, donne aux jeunes consommateurs du cannabis frelaté et donc encore plus dangereux… Il est grand temps de réfléchir intelligemment (La politique actuelle répressive est un échec), comme l’ont fait de nombreux pays, à ce problème sociétal et de trouver des solutions adaptés. (NDLR)
Déjà en 2021 à l’Assemblée nationale 
Selon un rapport de l’Assemblée nationale datant de 2021, il y aura 1,5 million de consommateurs réguliers de cannabis en France. Quelques députés, de tout horizon, avaient en 2021 déposé, en vain, un projet de loi pour légaliser le C… (Chut mot interdit…, belle hypocrisie politique du monde politique français…Tout va très bien Mme la marquise…)

31 sénateurs courageux qui veulent sortir de cette hypocrisie cannabienne

Dans une tribune publiée ce mercredi dans le quotidien français Le Monde, un collectif de 31 sénateurs, dont notre sénateur Jérôme Durain, du groupe Socialiste, écologiste et républicain appelle à légaliser le cannabis en France. Représentés par Gilbert-Luc Devinaz, appelant à la concertation en vue de légaliser le cannabis sur le territoire français.

«Que nous le voulions ou non, il s’agit d’un sujet de société dont les pouvoirs publics doivent se saisir», estiment les sénateurs, dont Laurence Rossignol, ex-ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes.

SITUATION INTENABLE

«La situation est intenable». C’est le constat fait par ce collectif de sénateurs de gauche face à la problématique du cannabis en France. Les législateurs tiennent «à apporter [notre] pierre à l’édifice, sans parti pris et dans la perspective d’une législation efficace».

Le groupe met alors en évidence les deux possibilités légales : la dépénalisation et la légalisation. Pour la première, il s’agirait d’une fausse bonne idée : «Ce serait un renoncement des pouvoirs publics qui s’amputeraient eux-mêmes des moyens d’agir. Il s’agirait d’acheter la paix sociale avec un certain cynisme».

Seule la législative pourrait, selon eux, permettre de «contrôler la qualité sanitaire des produits consommés, freiner grandement les trafics au bénéfice des zones sinistrées et de développer des plans de prévention de grande ampleur, financés par la taxation des produits et par le redéploiement des moyens de répression».

«Sans minimiser l’impact sanitaire de la consommation du cannabis, nous considérons, à l’instar des politiques publiques existantes pour le tabac et l’alcool ou encore les jeux d’argent, que la légalisation donnera les moyens d’agir plus efficacement pour protéger davantage nos concitoyens et notamment notre jeunesse», soulignent-ils.

1,5 MILLION DE CONSOMMATEURS RÉGULIERS EN FRANCE

Face à cet ensemble de bénéfices possibles, les sénateurs annoncent, à travers cette tribune «entamer une démarche de concertation large pour déposer dans les mois à venir une proposition de loi pour répondre à cet enjeu». Avant d’assurer que «l’opinion publique est prête, il faut que le législateur agisse».

L’opinion publique reste divisée sur la question. Toutefois, en 2021, pour la première fois, une majorité de Français (51%) se disaient «plutôt favorables» à la dépénalisation, selon l’institut Ifop. En 2019, une enquête de l’Observatoire français des drogues et toxicomanies révélait que 45% des Français se disaient favorables à une légalisation.

En termes juridiques, la production et la consommation de cannabis sont illégales. La possession est un délit passible d’un 1 an d’emprisonnement et 3.750 euros d’amende, tandis que le trafic peut conduire à une peine de 10 ans de prison et 7.500.000 euros d’amende.

 (Source AFP)

Le candidat, le Président Macron… à géométrie variable

Pas contre

Au micro de France Inter, en septembre 2016, la position d’Emmanuel Macron sur la légalisation du cannabis semblait plutôt claire : pas contre, il lui trouvait même des intérêts.

“Aujourd’hui, le cannabis pose un problème de sécurité, de lien avec la délinquance dans des quartiers difficiles, de financement de réseaux occultes. On voit bien que la légalisation du cannabis a des intérêts de ce point de vue. Et a une forme d’efficacité. […] Quand on regarde d’ailleurs l’incapacité qu’ont les magistrats à régler le problème d’un point de vue pénal, on voit que nous sommes dans un système très hypocrite […]. Donc je ne suis pas contre [la légalisation], si cette réponse provisoire peut être la mienne aujourd’hui.”

Dans son livre Révolution, sorti le 24 novembre 2016, le candidat Macron se positionnait en faveur d’une “dépénalisation de la détention en petite quantité du cannabis afin de désengorger les tribunaux”. Il invitait à “écouter les professionnels” pour lesquels il est “vain de pénaliser systématiquement la consommation de cannabis”.

En 2017, virage à droite, il ne croit plus à la dépénalisation

Mais, en février 2017, dans une interview accordée au Figaro, le candidat Macron a opéré un virage à droite. À la question “Vous n’êtes donc pas pour une dépénalisation du cannabis ?”, il répondait : “Non ! Je ne crois pas à la dépénalisation des ‘petites doses’ ni aux peines symboliques. Cela ne règle rien.”

Une amende forfaitaire

Après le vote du dispositif par l’Assemblée nationale en 2018, et après une expérimentation dans plusieurs villes de France, l’amende forfaitaire de 200 euros pour usage de stupéfiants est entrée en vigueur sur tout le territoire français en septembre 2020.

Concrètement, les consommateurs de cannabis doivent systématiquement payer une amende lorsque l’infraction est constatée (un “quoiqu’il en coûte” inversé). Si l’un des arguments était de désengorger les tribunaux, la possibilité laissée aux forces de l’ordre d’engager des poursuites pénales ne va clairement pas dans le sens d’une dépénalisation.

Première déclaration de guerre de la Macronie à la drogue et aux consommateurs de cannabis ? En tout cas, pas la dernière.

Eradiquer par tous les moyens les trafics de stupéfiants

Avant même d’avoir terminé la “guerre” contre le coronavirus, Emmanuel Macron a déclaré dans une interview au Figaro, en avril 2021, qu’éradiquer les trafics de stupéfiants était “la mère des batailles”, rien que ça.
“Ces trafics forment la matrice économique de la violence dans notre pays. Les éradiquer par tous les moyens est devenu la mère des batailles, puisque la drogue innerve certains réseaux séparatistes mais aussi la délinquance du quotidien, y compris dans les petites villes épargnées jusqu’ici. Ne laisser aucun répit aux trafiquants de drogue, c’est faire reculer la délinquance partout.”

Un grand débat sur la légalisation du cannabis…! (un de plus…!)

Dans cette même interview, le président affirmait qu’il fallait “lancer un grand débat national sur la consommation de drogue et ses effets délétères”. En marche vers une (r)évolution sur le sujet du cannabis ? Que nenni ! Ce projet semble être resté lettre morte et voilà qu’en septembre 2021, Emmanuel Macron a ciblé les consommateurs de drogue qui, selon lui, “sont des complices” des trafiquants.

Un président-candidat pas favorable à la légalisation du cannabis

Ce sont ses mots et, cette fois, ils sont clairs. Lors de la présentation de son programme, le 17 mars dernier, à la fin des questions posées par les journalistes, Emmanuel Macron l’a affirmé : “Je ne suis pas favorable à la légalisation du cannabis.”

Alors, à l’instar de ses atermoiements et pirouettes sur la question des retraites, le président-candidat reviendra-t-il sur ses positions ? Serait-ce un choix stratégique intéressant pour une “opération séduction” de l’électorat de gauche ? N’en déplaise à ses soutiens de droite, pour qui cannabis rime avec délinquance avec, en tête de chœur, Nicolas Sarkozy.

Combien faudra-t-il attendre (quelques semaines, un quinquennat…) pour savoir si le président Macron annoncera, comme beaucoup, parlementaires compris, le souhaitent, un jour, la fleur (de cannabis) au fusil, une légalisation en France ? Ou tout au moins un vrai débat et pas uniquement la pensée du ministre de l’intérieur …!

Position du Syndicat Alliance de la police nationale

À la demande de Mme Catherine Conconne, sénatrice, la Division de la Législation comparée du Sénat a procédé à l’actualisation de l’étude de législation comparée LC238 sur la dépénalisation de la consommation du cannabis à usage récréatif, publiée en novembre 2013.

Cette étude actualisée présente l’évolution du cadre juridique relatif à la consommation, la détention, la vente et la culture du cannabis dans les huit pays de l’étude initiale (Allemagne, Danemark, Espagne, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni – Angleterre – et Suisse) et élargit son périmètre à trois pays ayant légalisé le cannabis sur tout ou partie de leur territoire (Canada, États-Unis – Californie – et Malte). À l’instar de l’étude de 2013, les régimes particuliers de consommation et de vente du cannabis à des fins thérapeutiques ne sont pas étudiés.

Les développements ci-après se concentrent sur les principales évolutions législatives observées depuis 2013, tandis que le tableau présente un panorama synthétique par pays.

Étude de législation comparée n° 306 – juillet 2022 – La dépénalisation et la légalisation du cannabis

5 juillet 2022 :La dépénalisation et la légalisation du cannabis( étude de législation comparée )

Juillet 2022

– LÉGISLATION COMPARÉE –

NOTE

sur

LA DÉPÉNALISATION ET LA LÉGALISATION DU CANNABIS

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– Allemagne – Canada – Danemark – Espagne – États-Unis (Californie) – Malte – Pays Bas – Portugal – Royaume-Uni (Angleterre) – Suisse

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Cette note a été réalisée à la demande de la sénatrice Catherine Conconne.

AVERTISSEMENT

Ce document constitue un instrument de travail élaboré à la demande des sénateurs, à partir de documents en langue originale, par la Division de la Législation comparée de la direction de l’initiative parlementaire et des délégations. Il a un caractère informatif et ne contient aucune prise de position susceptible d’engager le Sénat.

LA DÉPÉNALISATION ET LA LÉGALISATION DU CANNABIS

À la demande de Mme Catherine Conconne, sénatrice, la Division de la Législation comparée du Sénat a procédé à l’actualisation de l’étude de législation comparée LC 238 sur la dépénalisation1(*) de la consommation du cannabis à usage récréatif, publiée en novembre 2013.

Cette étude actualisée présente l’évolution du cadre juridique relatif à la consommation, la détention, la vente et la culture du cannabis dans les huit pays de l’étude initiale (Allemagne, Danemark, Espagne, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni – Angleterre – et Suisse) et élargit son périmètre à trois pays ayant légalisé le cannabis sur tout ou partie de leur territoire (Canada, États-Unis – Californie – et Malte). À l’instar de l’étude de 2013, les régimes particuliers de consommation et de vente du cannabis à des fins thérapeutiques ne sont pas étudiés.

Les développements ci-après se concentrent sur les principales évolutions législatives observées depuis 2013, tandis que le tableau présente un panorama synthétique par pays.

Dans les pays européens, peu de changements de régime juridique ont eu lieu depuis dix ans. Mais la décennie passée a été marquée par l’émergence de différents modèles de légalisation et de régulation du cannabis dans trois pays du continent américain (le Canada, certains États des États-Unis comme la Californie et l’Uruguay), qui tendent à inspirer des États européens. Ainsi, Malte a franchi le pas vers la distribution légale de cannabis à des fins récréatives en décembre 2021. Le gouvernement allemand a annoncé son intention de légiférer en la matière en 2022, tandis que les Pays-Bas et la Suisse ont autorisé des expérimentations de vente encadrée de cannabis récréatif censées débuter prochainement.

LE TEXTE Complet de l’étude (PDF)

Photos libre de Droits : Wikipédia, Pxhere, Tweet Jérôme Durain

CP Chalon: arrêt complet de l’arrosage du patrimoine vert

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Restrictions d’eau

Situation de crise : la Ville de Chalon
arrête complètement l’arrosage de son patrimoine vert

 

Le préfet de Saône-et-Loire a pris le vendredi 5 août un arrêté sur de nouvelles restrictions d’usages de l’eau considérant la situation hydrologique actuelle, et notamment la faiblesse des débits de certains cours d’eau. Elle a placé en situation de crise la zone de la Saône, impactant fortement la Ville de Chalon-sur-Saône.

Ces mesures impactent directement les patrimoines verts de notre ville en interdisant tout arrosage des pelouses, massifs fleuris et plantes en pots, des autres espaces verts… Ces restrictions sont valables également pour les particuliers. Ces mesures s’appliquent jusqu’au 15 septembre 2022.

Suite à ce nouvel arrêté sécheresse, la mise en œuvre de ces restrictions conduit le service des Espaces verts à ne plus arroser l’ensemble du patrimoine vert de la Ville depuis ce lundi mais également à procéder à l’enlèvement des bacs et pots pour les rassembler dans le service des Espaces Verts où ils pourront être maintenus autant que possible à une température moins chaude qu’en ville, avec un arrosage pondéré grâce à une poche d’eau de récupération de pluie, collectée précédemment comme cela est autorisé, et contenant 70 000 l.

  • bacs de la place de la l’Hôtel-de-Ville, du musée Denon, de place de Thiard, rue de Strasbourg, pots des rues piétonnes
  • pour tous les massifs floraux et jardinières autres (Médicis, avenue de Paris, kiosque…) : arrêt complet de l’arrosage et enlèvement des fleurs au fur et à mesure qu’elles sèchent.

Une exception sera faite pour le massif de la Tour du Doyenné qui sera arrosé avec l’eau de pluie de récupération amenée par camion, afin de maintenir ce massif. Par contre, la pelouse ne sera plus arrosée.

Les golfs qui font l’objet d’un relevé quotidien de consommations pourront encore être arrosés en entrée et sortie de parcours avec une réduction de la consommation de 70 % alors que les fairways ne le seront pas.

Toutes les nouvelles plantations (arbres et arbustes) ont pu être arrosées dans le courant de la semaine dernière.

Il est à craindre que d’ici une dizaine de jours, sans pluie annoncée, les massifs vont progressivement se dessécher. Les agents des espaces verts ne pourront que procéder à l’arrachage des plantations.

CDLR 2022 : Instants de Rue

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Promenons nous dans les rues… de Chalon dans la Rue 2022

Angèle, la reine de hula-hoop

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Chalon dans la Rue 2022

  • Abattoirs
  • Marcel et ses drôles de femmes
  • Angèle

 

 

CP Ville : Circulation et stationnement dans le centre-ville

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La Ville lance une phase d’expérimentation en rouvrant le boulevard de la République dans les deux sens et en réglementant la circulation sur le quai Gambetta

Les travaux de rénovation du quai Gambetta arrivent à leur terme cette semaine avec l’implantation d’un kiosque qui permettra aux promeneurs de bénéficier dès cet été de boissons et petite restauration. Les bords de Saône bénéficient désormais d’un cadre environnemental nettement amélioré.

La phase de travaux a incontestablement révélé l’intérêt qu’il y avait à apaiser la circulation sur les quais. La fonction de ce secteur de la ville s’affirme ainsi de plus en plus comme dédiée à la promenade et à la détente pour toute la population chalonnaise et pour les touristes nombreux qui débarquent et embarquent sur les quais. De la même façon, les familles se sont immédiatement appropriées le parc de jeux pour enfants que la Ville a créé à côté de l’esplanade du monument aux Morts. L’immense succès de cet équipement, la présence des très nombreux enfants qu’il attire et la communication naturelle des familles avec la promenade des bords de Saône plaident de la même façon pour l’apaisement de la circulation.

Les comptages que la Ville a réalisés pendant les travaux sur le secteur Gambetta font ainsi apparaître une baisse du trafic automobile de l’ordre de 30 %, soit 4 500 véhicules en moins sur les quais. L’accès à la rue Général-Leclerc comme au quai des Messageries ayant toujours été maintenu par la rue Porte-de-Lyon et la rue de Lyon, ces 30% de véhicules en moins (qui ont soit emprunté le pont Jean-Richard soit l’avenue Niépce et la rocade) témoignent qu’il s’agissait d’une circulation de transit qui, avant les travaux, empruntait les quais sans avoir à s’arrêter en centre-ville.

En effet, les relevés effectués sur le stationnement de surface et les parcs en ouvrage du centre-ville prouvent que la fréquentation de ce dernier n’a pas été altérée pendant les travaux et qu’elle a même retrouvé désormais des niveaux équivalents à ceux d’avant l’épidémie.

Par ailleurs, sur un autre secteur du centre-ville, les travaux d’extension du réseau de chauffage urbain par la rue Gloriette impliquent de définir des déviations temporaires et ouvrent ainsi la possibilité de tester de nouvelles hypothèses de trafic dans le but de faciliter l’accès au centre-ville.

Cette double situation, avec la volonté d’apaiser également la circulation empruntant la Porte-de-Lyon et la rue de Lyon, conduit la Ville de Chalon à expérimenter de nouvelles mesures en termes de circulation :

1- Le quai Gambetta restera ouvert à la circulation dans le sens Port-Villiers -> Pont Jean-Richard pour tous les véhicules, comme cela est le cas actuellement. Dans le sens Pont Jean-Richard -> Port-Villiers, la circulation sera réservée aux transports en commun (bus et cars de tourisme) ainsi qu’aux taxis, cyclistes et véhicules utilitaires.

2- Le boulevard de la République sera de nouveau ouvert à la circulation des automobiles dans les deux sens, ce qui n’était plus le cas depuis 10 ans. Les voitures pourront ainsi de nouveau circuler dans le sens place de la République (square Chabas) -> place de Beaune, sur la voie aujourd’hui réservée aux bus. De la même façon, la rue Emiland–Menand (qui passe devant le palais de Justice) retrouvera un double-sens de circulation automobile.

3- Pour renforcer l’attractivité du centre-ville, la Ville étudie par ailleurs la création de plusieurs dizaines de places de stationnement supplémentaires, en menant un effort de rationalisation de l’espace public.

Cette expérimentation débutera à compter de cette semaine et durera plusieurs mois, afin de pouvoir établir à l’issue un bilan objectif des effets qu’elle produira.

Le but de ce test est d’offrir aux usagers du centre-ville une amélioration des conditions d’accès, de circulation et de stationnement en apaisant le trafic routier par le détournement de la circulation de transit et la création de nouvelles possibilités de stationnement.

 

1er août

Photos : au début des travaux du quai

CP Cultivons Chalon : Les finances de la Ville dans le rouge !

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Communiqué de presse
Cultivons Chalon
29 juillet 2022

Les finances de la Ville dans le rouge !
Le rapport de la Chambre régionale des comptes a été présenté au Conseil municipal du 28 juillet. Il analyse la gestion de Gilles Platret de 2016 à 2020. Au regard de cette analyse, nous comprenons pourquoi cette présentation a été faite au cœur de l’été, au moment où les Chalonnaises et les Chalonnais ont la tête ailleurs…

En effet, ce rapport pointe ce que nous dénonçons depuis plusieurs années :
– une politique d’investissements intenable, qui repose sur un recours à la dette excessif,
l’endettement n’étant pas en adéquation avec la capacité d’autofinancement,
– une capacité de désendettement qui a dépassé la cote d’alerte puisqu’elle excède 13 années sur l’ensemble de la période, alors que la limite est fixée à 12 ans.
– des difficultés de trésorerie.
– un recours coûteux au personnel externe à la collectivité.
– pas de plan pluriannuel d’investissement digne de ce nom. Les investissements se font au coup par coup, sans transparence, sans vision d’ensemble, ce qui aboutit à des aberrations, comme l’atteste le dernier aménagement en date, celui du quai Gambetta.
Notre Ville est excessivement endettée. Sa trésorerie est exsangue. Le Maire et les élus de la majorité sont comptables de cette situation. Ils compromettent gravement l’avenir de notre commune.
Au regard des crises que nous traversons depuis 2020 et avec les choix qu’ils continuent d’effectuer, cela va empirer : comment proposer des services publics, des aménagements urbains à la hauteur des enjeux sociaux et environnementaux alors que la Ville va devoir faire des efforts de gestion importants pour retrouver des marges de manœuvre financière ?
Nous sommes très inquiets et tirons la sonnette d’alarme. La ville est au bord du gouffre.

Nathalie LEBLANC
Sébastien LAGOUTTE
Laurent CAGNE

Photo ajoutée par CTV

Loi pouvoir d’achat : les retraites et prestations sociales revalorisées, la déconjugalisation de l’AAH votée

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L’Assemblée nationale a approuvé dans la nuit du mercredi 20 au jeudi 21 juillet, la déconjugalisation de l’Allocation adulte handicapés (AAH), dans le cadre de l’examen, en première lecture, du premier projet de loi relatif au pouvoir d’achat. Créée en 1975, l’AAH, qui compte 1,22 million de bénéficiaires dont quelque 270 000 en couple, est attribuée sur critères médicaux, aux personnes présentant un taux d’incapacité d’au moins 80% ou compris entre 50 et 79 %.

Jusqu’à présent, les revenus du ou de la partenaire de la personne handicapée étaient pris en compte dans le calcul de l’AAH, ce qui, selon les associations, entraînait de fait une situation de dépendance économique vis-à-vis du partenaire, puisqu’il suffisait que celui-ci ou celle-ci gagne à peine plus que le smic pour que l’AAH soit supprimée.

L’hémicycle a également approuvé les revalorisations de 4 % des pensions de retraite et des prestations sociales dans le cadre de l’examen, en première lecture, du premier projet de loi relatif au pouvoir d’achat. Le gouvernement veut mettre en oeuvre un ensemble de mesures, sans trop creuser les déficits, tout en envisageant des concessions sur les mesures liées au travail, avait indiqué à Reuters une source gouvernementale en amont des débats.

Parmi les mesures envisagées figurent aussi une augmentation de 3,5 % du traitement des agents publics, un chèque alimentaire de 100 euros (plus 50 euros par enfant), la prolongation de la remise carburant de 15 à 18 centimes et du bouclier tarifaire sur l’énergie.

Le prolongement de la prime Macron a été la première mesure votée par les députés, dont certains de la Nupes. Ainsi, l’article prévoit de tripler le plafond de la prime en accordant aux employeurs la possibilité de verser une prime d’un montant maximal de 3000 euros voire 6000 euros aux salariés percevant trois fois moins que le SMIC. Une mesure jugée « bidon » par le député LFI François Ruffin qui dénonce un dispositif loin de concerner tous les salariés.