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En Avant Chalon Gilles Platret et Sébastien Martin – Réunions de quartier

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Lors des voeux du Maire en janvier 2020

« Gilles Platret, Sébastien Martin et la liste En avant Chalon invitent à leurs premières réunions de quartier. »

Après la grande réunion de lancement de la campagne de la liste En avant Chalon qui s’est tenue ce vendredi à la Salle Marcel Sembat et qui a réuni près de 900 personnes, Gilles Platret, Sébastien Martin et tous leurs colistiers vous invitent à deux réunions de quartier cette semaine.

La première dans le quartier des Charreaux, ce mardi 4 février à 19 à la Salle des fêtes puis dès le lendemain, mercredi 5 février à 19h à Saint-Laurent dans le gymnase de la place Thévenin.

Ces rencontres seront l’occasion de vous présenter les projets que nous proposons pour votre quartier et notre ville mais aussi d’échanger avec vous sur vos attentes et vos préoccupations.

Gilles Platret et Sébastien Martin

Gilles Platret dévoile la liste et le programme de En Avant Chalon

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Municipales 2020 : Gilles Platret et Sébastien Martin (En Avant Chalon) ont décliné liste de candidats et programme, devant 700 Personnes, salle Marcel Sembat

UNE SALLE PRESQUE COMBLE POUR DÉBUTER

Habituellement les candidats aux municipales achèvent leur campagne à la salle Marcel Sembat. Le tandem composé des sortants composé de Gilles Platret et de Sébastien Martin, ont rompu vendredi soir avec cette tradition. Ils ont lancé leur campagne, en regroupant leurs soutiens, environ 700, à la salle Marcel Sembat.

20 SORTANTS – 23 NOUVEAUX CANDIDATS

En guise d’introduction, il y avait le clip vidéo retraçant le bilan, une vidéo mise en ligne depuis une semaine déjà, la veille de l’inauguration du local de campagne se trouvant, place Général De Gaulle.

Tour à tour, Gilles Platret et Sébastien Martin, ont présenté la liste, « profondément renouvelée » avec une vingtaine de sortants et 23 candidats nouveaux. Les futurs ex élus, encore en fonction jusqu’à l’installation du nouveau conseil municipal avaient pris place dans les premiers rangs comme Jean Claude Rousseaux, Jacqueline Gaudillère, Joël Lefevre., Jean Vianey Guigue

Ils se trouvaient aux côtés de Marie Mercier, sénateur, des maires de la côte chalonnaise ou encore de Michel Goubard, l’ancien maire de Saint Désert, commune « berceau » de Gilles Platret élu de ce village de 1995 à 2008.

QUARTIERS, HÔPITAL, JEUNESSE

Parmi les nouveaux candidats, relevons la présence d’Agathe Ruga (N° 8 -Citadelle) de Jean Michel Morandière (N° 9) commerçant et président du comité de quartier du plateau près Saint-Jean, de Véronique Avon (N° 10), enseignante au collège « Le Devoir », de Bénédicte Mosnier (N° 18), organisatrice d’un salon de la jeunesse ou encore de Bruno Rochette (N° 19), ex-employé du service des sports et correspondant local de presse.

Il y a des soutiens fidèles au maire sortant et quelques « surprises » comme la présence en 5e place de l’ex-directeur du centre hospitalier, Bruno Legourd ou encore du président de la communauté juive, Serge Rosinoff à la 33e place, une position quasiment charnière en cas de victoire.

EUX GYMNASES, UN PERMIS DE VÉGÉTALISER, UNE LIAISON SUR SAÔNE,

UN FESTIVAL DES SAVEURS, RÉNOVATION CLOS BOURGUIGNON

Côté programme, Gilles Platret et Sébastien Martin, n’ont seulement « présenté » mais ils ont « dégainé » en citant pêle-mêle : la création d’un permis de végétaliser au pied des immeubles, la mise en place d’une liaison fluviale entre le port Villiers et la prairie Saint-Nicolas, la rénovation du clos bourguignon, une nouvelle siégerie pour la salle Marcel Sembat, la création de deux nouveaux gymnases (un par la ville, l’autre par le Grand Chalon), des énergies propres pour les transports collectifs et les véhicules bennes à ordures, la mise en place de la gratuité du stationnement le samedi après-midi, l’inscription de Chalon comme base d’entraînement pour les Jeux olympiques de 2024, la création d’un musée de l’image sur le site de l’ancien hôpital, la rénovation de l’intérieur de la cathédrale, des guinguettes l’hiver, un festival des cuisines et des saveurs du monde au stade, la rénovation de la maison des sports, l’extension de l’espace associatif Jean Zay, un objectif de 3000 étudiants à l’horizon 2030….Le maire en direct dans les quartiers.

L’ensemble sans hausse des impôts locaux et communautaires, ont promis les candidats Gilles Platret et Sébastien Martin.

Les nominations de Polanski aux César 2020 divisent Schiappa et Riester

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Les 12 nominations de Roman Polanski aux César 2020 divisent, y compris au sein du gouvernement. Ce mercredi 29 janvier, Marlène Schiappa, secrétaire d’État à l’égalité hommes/femmes a déploré les choix de l’Académie vis-à-vis du cinéaste accusé de viol, tandis que Franck Riester, ministre de la Culture, réaffirmait la liberté de l’institution.

“Quel est le message que le monde du cinéma français envoie aux femmes qui veulent y travailler? Est-ce qu’il condamne les violences sexistes et sexuelles ou pas? Manifestement, non”, a jugé la secrétaire d’État au micro de “C à vous”, estimant que “le cinéma français n’a pas terminé sa révolution”.

“Il y a deux ans encore, j’étais à la cérémonie des César et elle était placée sous l’égide de #Metoo avec une célébration de la valorisation des femmes, de leur parole, de leur liberté dans le monde du cinéma, quel est là le message que l’Académie des César souhaite envoyer aux femmes ?”, a-t-elle insisté.  Thriller historique sur l’affaire Dreyfus avec Jean Dujardin, récompensé par le Grand prix du jury à Venise, “J’accuse” est en lice pour douze prix pour les récompenses suprêmes du cinéma français, notamment dans les catégories reines de la meilleure réalisation et du meilleur film. La sortie du film en France avait été marquée par des manifestations lors des premières projections, en raison d’une nouvelle plainte pour viol déposée par une Française à l’encontre du réalisateur en novembre 2011.

Contrairement à Marlène Schiappa, le ministre de la Culture a pour sa part refusé de condamner les nominations de Polanski. Faisant valoir que l’Académie des César était “libre de ses choix et de son mode de fonctionnement”, Franck Riester a indiqué qu’il “ne (lui) revient pas d’intervenir dans sa procédure de nomination, ni de définir les conditions d’éligibilité des films”. “Un artiste est un justiciable comme les autres”, a-t-il souligné dans son communiqué, tout en rappelant son engagement contre les violences sexistes et sexuelles.

Coronavirus 2019-nCoV : Buzyn juge « inutile » l’achat de masques

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Le rapatriement des Français depuis Wuhan (Chine), épicentre de l’épidémie de coronavirus 2019-nCoV, s’organise. Quelque 250 d’entre eux, ainsi que plus de 100 ressortissants d’autres pays européens, doivent rentrer en fin de semaine à bord de deux avions distincts, a annoncé la Commission européenne mardi 28 janvier. « Seuls des citoyens sains ou asymptomatiques seront autorisés à voyager », a précisé l’exécutif européen.

Agnès Buzyn avait annoncé, plus tôt dans la journée, qu’un premier avion avec une équipe médicale à bord atterrirait « jeudi après-midi à Wuhan » et serait de retour en France « vendredi soir, vendredi dans la nuit ou samedi matin ». « Entre 500 et 1 000 ressortissants français » sont potentiellement concernés mais « tous ne veulent pas rentrer », avait souligné la ministre de la Santé. « Plusieurs avions vont se succéder » pour ne pas mélanger des personnes possiblement porteuses du virus avec des personnes saines, avait-elle précisé. Selon une source militaire, un A340 de l’armée de l’air, qui assure habituellement du transport de troupes ou des voyages officiels, sera mobilisé pour ce premier rapatriement des Français de Wuhan.

Alors que l’épidémie de coronavirus se répand en Chine et que la France a fait état de trois cas confirmés sur son sol, de nombreux Français se sont rués dans les pharmacies pour acheter des masques de protection. Un geste “totalement inutile”, selon Agnès Buzyn. Lors d’un point presse ce dimanche 26 janvier, la ministre de la Santé a déclaré “qu’aujourd’hui, il n’y a aucune indication à acheter des masques pour la population française”.

“Aujourd’hui, les masques bleus, qu’on appelle les masques chirurgicaux et qu’on voit sur les photos, sont des masques qu’il faut mettre quand on est malade pour éviter d’envoyer des microbes à son entourage”, a détaillé la ministre, en expliquant que de tels masques étaient par exemple utiles en période d’épidémie grippale. Elle a également mentionné les “masques de protection”, blancs et de forme plus pointue, “essentiellement réservés au personnel soignant” qui est “en contact étroit” avec les malades.   “Nous avons des dizaines de millions de masques en stock en cas d’épidémie”, a rassuré Agnès Buzyn. “Si un jour nous devions proposer à telle ou telle population ou personne à risque de porter des masques, les autorités sanitaires distribueraient ces masques aux personnes qui en auront besoin”, a affirmé la ministre.

Municipales à Paris : Villani exclu de LaREM

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Démonstration de force pour Benjamin Griveaux, déclaration d’indépendance pour Cédric Villani: les rivaux macronistes prétendants à la mairie de Paris ont mesuré leurs troupes lors de réunions parallèles ce lundi soir, à un mois et demi du premier tour, qu’ils abordent l’un et l’autre affaiblis par leur division. Au lendemain de la tentative ratée de conciliation menée par le chef de l’État, Benjamin Griveaux a tenté de « rassembler » à Bobino sa famille politique, devant un millier de soutiens et une quinzaine de membres du gouvernement – dont Christophe Castaner, Marlène Schiappa, Sibeth Ndiaye, Didier Guillaume, ou Olivier Dussopt -, accueillis sous les sifflets par quelques dizaines de manifestants opposés à la réforme des retraites.

Malmené par les sondages qui le donnent devancé par Anne Hidalgo et Rachida Dati, Benjamin Griveaux a vu ses espoirs d’un ralliement de Cédric Villani anéantis, dimanche soir, malgré l’intervention d’Emmanuel Macron. « Il nous en manque quelques-uns ce soir (…) ce sont celles et ceux qui ont rejoint l’aventure initiée par Cédric Villani », a-t-il admis devant ses partisans: « Je veux leur dire que je comprends la démarche qui a été la leur », a-t-il poursuivi, mais « il nous reste sept semaines pour nous rassembler ».

« J’aime Cédric Villani et je souhaite qu’on se retrouve tous ensemble », veut encore croire Mounir Mahjoubi, ex-proche du mathématicien, qui déplore toutefois que « Cédric (ait) dit des choses dures », notamment à l’endroit du chef de l’Etat. Alors que certains s’interrogent sur la pertinence de l’intervention présidentielle, le secrétaire d’État Gabriel Attal a pour sa part estimé que cette séquence a, au contraire, permis « une clarification nécessaire » face à ceux qui « laissaient penser que le silence autour de la campagne était le signe d’une certaine bénédiction de Cédric ». Reste que cette dissidence inquiète plus que jamais: « Villani ne peut pas gagner, mais il peut nous faire perdre », s’agace le sénateur LaREM Julien Bargeton.

Chez les militants, on se félicite quoi qu’il en soit de l’exclusion du dissident – qui doit être formalisée dans la semaine par LaREM. « Il aurait fallu le faire dès le début », selon Alain Zaksas, 71 ans, et habitant du XVIe arrondissement. « Ça ne règle pas tous les problèmes, mais au moins, sur le terrain, c’est clair ».

Le Conseil constitutionnel sévère sur le texte du projet de loi sur les retraites

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Les syndicats et responsables politiques opposés à la réforme des retraites ont salué samedi l’avis du conseil d’État d’une « extraordinaire sévérité », qui justifie le retrait « immédiat » d’un projet « incohérent » et « mal ficelé ». « Sur la forme et sur le fond, le Conseil d’État confirme en tout point ce que nous exprimons depuis le début. Il y a un vrai problème de consistance juridique du texte », a réagi samedi auprès de l’AFP François Hommeril, le président de la CFE-CGC.

Saisie le 3 janvier, la plus haute juridiction administrative française a critiqué vendredi le choix de recourir à 29 ordonnances, ce qui « fait perdre la visibilité d’ensemble » et a pointé des projections financières « lacunaires ». Le jour même de l’adoption du projet en Conseil des ministres, le Conseil d’État a souligné que l’engagement de revalorisation des enseignants et des chercheurs était condamné de disparaître du texte. En outre, il a déploré n’avoir disposé que de trois semaines pour rendre son avis sur les deux projets de loi (organique et ordinaire), qui ont en outre été modifiés à six reprises durant cette période.

« Ils ont quand même pu valider la quasi-totalité des deux textes qui leur ont été proposés et ils ont fait des recommandations au gouvernement que le gouvernement entend », a réagi samedi Laurent Pietraszewski, secrétaire d’État en charge des Retraites, sur France 3 Nord-Pas-de-Calais. « J’entends qu’on puisse se poser des questions », avait dit la veille sur BFMTV le Monsieur Retraites du gouvernement. « Le cadrage budgétaire est clair. Nous ne faisons pas ça pour faire des économies, nous le faisons pour être plus redistributifs, plus solidaires », avait-il ajouté.

Mais pour François Hommeril, « aucun travail sérieux n’a été fait. Sur le dispositif de financement à long terme, on n’a aucune visibilité ». Même critique sur Europe 1 d’Yves Veyrier, le secrétaire général de Force ouvrière, pour qui « le gouvernement ne maîtrise absolument pas son sujet ». « Le Conseil d’État démonte l’artifice de communication du « un euro donnera les mêmes droits » et du système censé être plus simple, soulignant la complexité et la diversité des règles de cotisation et d’ouverture des droits », écrivait la veille son syndicat dans un communiqué.

FO et la CFE-CGC mènent la fronde syndicale contre la création d’un système « universel » par points des retraites depuis le 5 décembre avec la CGT, Solidaires, la FSU et des organisations de jeunesse, dont l’Unef. Une nouvelle journée interprofessionnelle nationale est programmée mercredi, après celle de vendredi, le projet devant être transmis à l’Assemblée nationale pour un débat en séance publique à partir du 17 février, en procédure accélérée. Entre-temps, une « conférence de financement » doit être installée jeudi pour trouver les moyens d’amener le système à l’équilibre en 2027. « Dans des termes polis, le conseil d’État dit qu’il faut mettre ce projet mal bâti à la poubelle. Et ce n’est pas la conférence de financement qui changera les choses », a relevé Eric Beynel (Solidaires).

La CGT Énergie revendique des coupures d’électricité

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La mobilisation continue pour la CGT Énergie. Le syndicat, toujours en pointe dans la grève contre la réforme des retraites, a revendiqué ce mardi matin une coupure de courant affectant plusieurs villes du sud-est de la capitale. Sur Facebook, la CGT Énergie 94 a expliqué avoir coupé «le poste source de Rungis», plongeant «le MIN (marché de Rungis) et Orly dans le noir». Dans une seconde publication, la CGT Énergie 94 note que les «Energies CGT 94 91 93 75» sont «mobilisés», et les «Postes HTA (Haute Tension 20 000 Volt) coupés». Selon FranceInfo, les coupures ont affecté plusieurs communes, dont Orly, Rungis, Anthony, Fresnes et Thiais, à partir de 6h du matin. À Rungis, la coupure s’est déroulée de 6h à 7h30. La situation est désormais normale dans cette commune.

«Rungis et son périmètre ont été touchés, a priori entre 5h45 et 8h», a annoncé Frank Jouanno de la CGT Énergie du Val-de-Marne au Figaro. «Une centaine de personnes» ont mené cette action, qui a concerné entre «25.000 et 50.000 points de livraison.» «Le marché de Rungis et l’aéroport de Paris-Orly ont été impactés, sachant qu’ils ont des groupes électrogènes», précise-t-il. De prochaines actions de la part de la CGT Énergie 94 «ne sont pas à exclure», avertit Franck Jouanno. Au micro de BFMTV, il a expliqué vouloir «marquer les esprits» et «avoir un impact sur l’économie». «Actuellement, dans les médias, on n’entend que des actions de la RATP et de la SNCF». Reconnaissant des «dommages collatéraux» qui ont pu toucher des ménages, il a estimé qu’avoir une coupure de courant n’était «pas la fin du monde».

«Un acte de malveillance a été réalisé au niveau du poste source de Rungis dans le Val-de-Marne qui a occasionné une rupture d’alimentation sur la majeure partie des communes avoisinantes», détaille Enedis dans un communiqué. «Environ 35.000 clients ont été impactés par cette coupure», continue le distributeur, et «l’ensemble des clients ont été rétablis vers 7h45.» Le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité annonce également son intention de porter plainte.

Le gouvernement a condamné fermement la coupure : interrogé sur BFMTV, le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires, chargé de la Ville et du Logement, Julien Denormandie, a critiqué une action «scandaleuse et irresponsable». «Vous imaginez non seulement le désagrément, mais parfois la mise en danger des personnes ? […] C’est scandaleux, c’est irresponsable et ça détruit le dialogue social», s’est-il insurgé, pointant des actes «illégaux qui dégradent le climat du dialogue».

Macron reçoit à Versailles les patrons du monde entier

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Au 47e jour du conflit des retraites, Emmanuel Macron a salué lundi « les bonnes nouvelles » de quatre milliards d’euros d’investissements annoncés à l’occasion de la troisième édition de « Choose France », qui réunit au château de Versailles le gouvernement et 200 patrons venus du monde entier. « Les bonnes nouvelles, elles n’arrivent pas toutes seules. Elles arrivent parce qu’on fait des réformes », a affirmé le chef de l’Etat dans la matinée en visitant l’usine pharmaceutique AstraZeneca de Dunkerque, qui va s’agrandir via un investissement de plus de 200 millions d’euros. M. Macron s’est ensuite rendu à Versailles où il est arrivé vers 15h30.

« Nous sommes attractifs, pas dans un claquement de doigts, mais parce que nous avons une politique économique qui est constante », a insisté le ministre de l’Economie Bruno Le Maire entre plusieurs rencontres avec des chefs d’entreprise. Le Premier ministre Edouard Philippe s’est auparavant félicité de la signature de trois accords entre les Chantiers de l’Atlantique et l’armateur italo-suisse MSC, dont une commande ferme de deux milliards d’euros pour deux nouveaux paquebots livrables en 2025 et 2027, lors d’une cérémonie en présence des signataires.

« Je veux bien qu’on nous farcisse la tête de mauvaises nouvelles » mais « ce n’est pas vrai », a renchéri Emmanuel Macron, en soulignant que la France avait créé « un peu plus de 500.000 emplois » depuis son arrivée au pouvoir il y a deux ans et demi. Entre 200 et 300 personnes ont manifesté dans le calme en fin de matinée à Versailles, avec des slogans tels que « Macron on vient te chercher chez toi » ou encore « Macron dégage », un an après une édition marquée par le mouvement social des « gilets jaunes ».

Plus de 400 rencontres bilatérales entre patrons et MM. Macron, Philippe et 19 membres du gouvernement se tiennent à Versailles, à la veille de l’ouverture du Forum économique mondial (WEF) de Davos en Suisse. Parmi les invités sous les ors du château royal, des patrons de grands groupes américains (Coca-Cola, Snap Inc, Fedex, Google, Netflix…), asiatiques (Hyundai Motors, Samsung Electronics, Fosun, Toyota…), africains (Cooper Pharma, Orascom) et européens (Rolls Royce, EY, ING Bank…). Répondant aux critiques sur les difficultés pour ouvrir de nouvelles usines en France, le gouvernement a annoncé ce week-end la création de 12 sites industriels « clés en main » , pour lesquels les procédures administratives « ont été anticipées afin d’offrir à l’investisseur une disponibilité immédiate ou à très court terme », selon un communiqué du ministère de l’Economie.

Les sorties du weekend compromises pour les Macron

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Plusieurs dizaines de manifestants ont tenté de rentrer dans le hall du théâtre des Bouffes du Nord, à Paris, alors qu’Emmanuel Macron et son épouse Brigitte assistaient à la représentation de la pièce La Mouche, vendredi 17 janvier, a appris franceinfo. Les manifestants scandent des slogans, chantent, ils font du bruit. Les services de sécurités se font surprendre, un petit groupe arrive à pénétrer dans le hall, sans atteindre la salle où a lieu la représentation. Les manifestants sont rapidement expulsés.

Le Théâtre tient à préciser que la représentation « fort heureusement » n’a pas été interrompue. C’est ce que précise la direction des Bouffes du Nord dans un communiqué envoyé à franceinfo ce samedi en fin d’après-midi. « Suite à la manifestation bruyante d’une trentaine de personnes devant l’entrée du théâtre et leur tentative d’intrusion que nous déplorons, le président de la République, afin de prendre connaissance de la situation, a quitté un court moment sa place qu’il a regagnée ensuite », explique le théâtre. La représentation a continué normalement pendant son absence.

Derrière les épais rideaux rouges de la Rotonde, le désastre. Le mobilier est renversé, le sol et le plafond sont saccagés, les tissus carbonisés… Tout est noirci par la suie. Dans la nuit de vendredi à samedi, un incendie s’est déclaré dans le célèbre restaurant parisien. Il était 5 heures du matin quand l’alarme s’est déclenchée dans la brasserie. À leur arrivée, les policiers ont constaté que les flammes ravageaient la terrasse couverte et chauffée. Les pompiers ont pu rapidement circonscrire l’incendie au moyen d’une lance. Au total, 10 m² ont brûlé. Si les dégâts sont importants, le feu n’a fait aucune victime et l’immeuble n’a pas eu besoin d’être évacué.

Symbole politique, le lieu situé au cœur du quartier de Montparnasse, dans le VIe arrondissement de la capitale, avait été choisi par Emmanuel Macron pour célébrer sa qualification le soir du premier tour de la présidentielle de 2017. La brasserie a-t-elle été visée de façon criminelle alors que les Français sont vent debout contre le président de la République ? Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris et confiée à la sûreté territoriale pour déterminer les causes de l’incendie. Pour l’instant, les premières investigations semblent s’orienter vers la thèse d’un acte volontaire. Des traces d’hydrocarbures ont d’ailleurs été relevées sur les lieux par le laboratoire central de la préfecture de police de Paris.

Changeons Chalon distribue, en calèche, ses tracts

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Ce samedi 18 janvier 2020, Changeons Chalon joue dans l’originalité en distribuant ses tracts en calèche dans les rues et quartiers de Chalon.

Laurent Delrieu, porte-parole de Changeons Chalon déclare

Laurent Delrieu

Changeons Chalon part ce samedi non pas à la conquête de l’ouest mais à la conquête des citoyens en organisant une déambulation en calèche, pour rencontrer l’ensemble des chalonnais. Nous nous rendrons ainsi dans l’ensemble des quartiers. Nous nous arrêterons à 11h30 devant l’hôtel de ville  pour symboliser cette volonté de reconquête par les citoyens de leurs institutions.

La calèche est symbolique de notre mouvement à trois titres :

  • De notre volonté d’inscrire Chalon dans une transition écologique par le biais du développement des mobilités douces
  • De la nécessaire humanisation des espaces urbains, de la nécessité d’apaiser la ville et de retisser du lien social
  • De notre volonté d’innover au service du bien être des chalonnais

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