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Couverture des municipales à Chalon par CTV

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Comme annoncé sur notre page Facebook ChalonTV, CTV permettra à chaque tête de liste (ou à leur porte-parole) des élections municipales de Chalon, déclarée à ce jour de prendre la parole et donc de développer son argumentaire pour être maire de Chalon en 2020. Un seul invité sur le plateau.

Nous vous proposons, donc, 4 émissions plateau de 10 minutes chacune (4 au lieu de 6, le directeur d’antenne et journaliste étant en rééducation pour quelques semaines). Chaque émission est thématisée. Ces 4 émissions seront enregistrées en même temps, en 4 « épisodes ».

Toutes les émissions des candidats seront diffusées en même temps sur le site chalontv.info avec un rythme de diffusion de tous les 2 ou 3 jours environ.

L’émission sera pilotée par Daniel Deriot, journaliste politique connu sur la région chalonnaise et membre de la rédaction de CTV. C’est donc lui qui posera les questions aux candidats.

ChalonTV étant une webTV associative, il nous faut tenir compte de la disponibilité des bénévoles, donc des 2 techniciens et du journaliste et de l’absence de Dominique Gaye.

Ces émissions seront enregistrées en particulier, les lundis 17 et 24 février de 9h à 18h.

Les têtes de liste seront présents sur le plateau dans notre studio tout neuf (30 rue Théodore de Foudras) pour une heure environ. 4 émissions de 10 minutes soit 40 minutes avec un temps de repos de quelques minutes entre chaque « épisode » selon votre « fatigue » ou celle du journaliste

Les 4 thèmes retenus par la rédaction sont dans l’ordre

1- La gouvernance de la ville et sa sécurité

2 – Environnement

3 – Culture et Éducation

4 – Chalon et le Grand Chalon – Jeunesse – autres points non abordés

Avant le premier tour du 15 mars, nous proposerons, à chaque candidat officiel, 5 minutes de libre parole. Cela se fera sur le plateau (4 caméras) ou sûrement sur le mini studio (2 caméras).

Les 7 Listes contactées  et tête de liste:

Bien Vivre à Chalon – Mourad Laoues
Changeons Chalon – Laurent Delrieu
Chaque jour Chalon ! – Isabelle Dechaume
Cultivons Chalon – Nathalie Leblanc
En avant Chalon – Gilles Platret
Ensemble Chalon – Alain Rousselot Payer

Lutte ouvrière   – Pascal Dufraigne

Photos (Fodil) de la première émission, le 17 février) avec Laurent Delrieu de Changeons Chalon

EM – Dépliant Cultivons Chalon

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Rappel de nos 2 réunions publiques de cette semaine:
– mardi 18 février à 18H30: salle Saint-Jean des Vignes, 25 rue Pierre Bridet,
– jeudi 20 février à 18H30: salle Paul  Langevin quartier du Stade/Fontaine au Loup, 2 rue Alphonse Daudet.

DEPLIANT.CULTIVONS.CHALON

CP – EMCH – Chatenoy pour la transition

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Communiqué de presse

RÉUNIONS PUBLIQUES de la LISTE “CHATENOY POUR LA TRANSITION” menée par Pascal LEGOUX

Dans un mois, nous voterons pour désigner l’équipe municipale chargée d’administrer notre commune. Dans ce contexte, j’ai l’honneur de conduire la liste « Châtenoy pour la transition ».

L’ensemble des colistiers qui composent mon équipe vous sera présenté le jeudi 27 février à la Salle des Fêtes de Châtenoy-le-Royal. Cette liste citoyenne rassemble des personnes souhaitant une transition démocratique, énergétique et environnementale.

Cette réunion sera aussi l’occasion de vous dévoiler notre programme déclinant les 10 actions pour la mise en œuvre de cette démarche.

CP-EMC – Changeons Chalon, Pinocchio

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Le temps de la campagne électorale .. des promesses .. des promesses .. Votez pour une liste 100 % citoyenne .. dont le faire sera conforme aux dires… #changeonsChalon #citoyenne #probité #respect #municipales2020

Balkany libéré pour raison de santé

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C’est un premier épilogue pour Patrick Balkany, après cinq mois d’incarcération, six audiences consacrées à des demandes de libération ou d’aménagement de contrôle judiciaire. La cour d’appel de Paris a autorisé, mercredi 12 février, la mise en liberté pour raisons de santé du maire Les Républicains (LR) de Levallois-Perret, 71 ans. Incarcéré depuis le 13 septembre, il a été condamné pour fraude fiscale puis pour blanchiment aggravé.

La cour, qui s’appuie sur une alarmante expertise médicale, a constaté que la dégradation de l’état de santé de Patrick Balkany est « difficilement compatible avec la détention ». Elle « libère » donc le maire de Levallois et lui impose un contrôle judiciaire léger, sans caution, dans le dossier de fraude fiscale comme de blanchiment. Les conditions posées à l’élu sont les suivantes : fixer sa résidence au moulin de Cossy, interdiction de sortir du territoire national et obligation de se présenter deux fois par mois à la gendarmerie. L’ancien baron des Hauts-de-Seine est sorti de la maison d’arrêt parisienne de la Santé peu avant 18 heures mercredi.

Son épouse et maire par intérim de la ville, Isabelle Balkany, a accouru devant la prison de la Santé, à Paris, dès la nouvelle de sa libération. « On rentre à la maison », a-t-elle déclaré à la presse, tout en conversant avec son époux au téléphone. « C’est évidemment ce que j’espérais, c’est ce qui est justifié », a réagi l’avocat du maire, Romain Dieudonné. « La cour n’a pas fait de cadeau à Balkany, c’est juste que la situation médicale indiquait que ce n’était plus possible », a-t-il insisté.

Les Balkany sont soupçonnés d’avoir dissimulé 13 millions d’euros d’avoirs au fisc entre 2007 et 2014, notamment deux somptueuses villas, Pamplemousse à Saint-Martin et Dar Guycy à Marrakech. S’ils ont reconnu quelques « fautes » et la propriété de la villa antillaise, ils contestent vigoureusement le montant des avoirs en cause et se targuent de n’avoir jamais détourné « un centime d’argent public ». Le couple, qui a finalement choisi de se retirer de la course aux municipales de mars, continue de nier la possession d’un riad à Marrakech, en dépit des peignoirs brodés aux initiales « PB », des livres dédicacés, des meubles payés par Isabelle Balkany retrouvés dans la villa saharienne.

Les multiples cordes du Conservatoire

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Une notoriété qui ne cesse de grandir, une diversité des disciplines enseignées, une qualité d’enseignement et une ouverture en direction de tous les publics dans différents lieux,une exportation à Shanghai, font du Conservatoire du Grand Chalon (Conservatoire à Rayonnement Régional – CRR ) un établissement de renommé.

Voir le spot vidéo

Le conservatoire du Grand Chalon en détails

Assurant l’enseignement de toutes les disciplines chorégraphiques, musicales et théâtrales, sans limite d’âge, et pour un tarif d’inscription très mesuré, le Conservatoire (CRR) se veut ouvert à tous les élèves motivés par l’apprentissage d’une discipline artistique, dans divers styles et langages allant de la musique ancienne au rap, du classique à la danse hip hop, de Molière à Sarah Kane.

Il comprend une équipe composée d’une centaine d’enseignants et d’une vingtaine de personnes pour le pôle administratif et technique.
L’enseignement concerne 2000 élèves en cours de danse, musique et théâtre et 4000 enfants en sensibilisation en crèches et milieu scolaire.

Le Conservatoire à Rayonnement Régional (CRR) : 1 rue Olivier Messiaen – 71100 Chalon-sur-Saône – Tel : 03 85 42 42 65 – conservatoire@legrandchalon.fr

Le Conservatoire en détails (texte : Conservatoire)

Le Conservatoire à Rayonnement Régional (CRR) du Grand Chalon, inauguré en 1996 par Philippe Douste-Blazy, Ministre de la Culture est un bâtiment moderne et ouvert sur l’extérieur, à deux pas de la gare de Chalon-sur-Saône.

Au cœur de l’agglomération du Grand Chalon, retrouvez un équipement pédagogique et culturel ouvert à tous. Lieu de vie, de partage, d’échanges et de convivialité avant tout, le Conservatoire propose la pratique de la danse, de la musique et du théâtre pour tous les niveaux et toutes les envies, de la pratique amateur à la professionnalisation.

Ouvert à tous les âges et tous les styles, le Conservatoire à Rayonnement Régional de Danse, Musique et Théâtre du Grand Chalon remplit des missions de formation, animation, création et diffusion, en danse, musique et théâtre. Assurant l’enseignement de toutes les disciplines chorégraphiques, musicales et théâtrales, sans limite d’âge, et pour un tarif d’inscription très mesuré, le Conservatoire se veut ouvert à tous les élèves motivés par l’apprentissage d’une discipline artistique, dans divers styles et langages allant de la musique ancienne au rap, du classique à la danse hip hop, de Molière à Sarah Kane.
Etablissement-ressources complémentaire aux écoles de l’agglomération et du département, le CRR poursuit son développement en convention avec l’Etat par le renouvellement de son label CRR en 2013, dans le cadre régional de la formation professionnelle, notamment par sa participation à l’Ecole Supérieure de la Musique en Bourgogne et par son inscription dans le Schéma Départemental de Saône et Loire.

Depuis juillet 2009, le CRR anime le réseau du schéma pédagogique d’Agglomération.
Il comprend une équipe composée d’une centaine d’enseignants et d’une vingtaine de personnes pour le pôle administratif et technique qui encadrent deux grands types d’activités :
* L’enseignement qui concerne 2000 élèves en cours de danse, musique et théâtre et 4500 enfants en sensibilisation en crèches et milieu scolaire.
* La diffusion qui comprend la Saison de l’Auditorium, spectacles professionnels regroupant des artistes invités et des enseignants du CRR mais aussi une saison pédagogique, ce qui fait un total d’environ 150 événements par année.

En 2018, il est le premier conservatoire français à obtenir l’agrément du Ministère de la Culture pour ses Classes Préparatoires à l’Enseignement Supérieur en musique et ce pour plus de 30 disciplines.

En 2019, il est le premier conservatoire français à obtenir l’agrément du Ministère de la Culture pour ses Classes Préparatoires à l’Enseignement Supérieur pour l’ensemble des disciplines chorégraphiques.

Depuis plusieurs années déjà, il rayonne au-delà des frontières de son département, il est l’un des 40 Conservatoires à Rayonnement Régional classés en France et la plus importante structure culturelle de la Saône-et-Loire. Il est dirigé depuis 2008 par Robert LLORCA.

Séance de câlinothérapie à l’Élysée pour les députés LREM

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L’acte 2 du quinquennat annoncé il y a un an tarde décidément à se mettre en place. “J’ai besoin de vous”, disait Emmanuel Macron en mai dernier devant les députés de la commission des Lois qu’il recevait en petit comité, promettant de multiplier les initiatives du même type après avoir tiré les leçons de la crise des gilets jaunes.  Le chef de l’État présentait alors la deuxième phase de son quinquennat comme celle de la bienveillance et de l’écoute. Tout particulièrement l’écoute de ses députés, antennes de terrain nécessaires à sa bonne compréhension de la France qui lui avait tant manqué pour anticiper la colère populaire contre la taxe carbone.

Neuf mois plus tard, patatras. Après le couac notable la semaine dernière concernant l’allongement du congé de deuil de 5 à 12 jours, c’est comme si tout était à reconstruire. Cette proposition de loi UDI refusée par le gouvernement et les députés de la majorité a provoqué un tollé à l’Assemblée et dans l’opinion et le Président de la République est intervenu lui-même par voie de presse pour appeler ses troupes ”à plus d’humanité”.

La pilule est très mal passée au sein du groupe majoritaire à l’Assemblée qui, pour certains, ont fait part de leur agacement à devoir porter le chapeau d’une “erreur collective”, selon les termes de Muriel Pénicaud, quand eux ne faisaient qu’appliquer les consignes du gouvernement. “Des conseillers du président de la République étaient présents à la réunion de groupe le mardi, ils ont eu un aperçu à chaud de la colère des députés”, se souvient une source gouvernementale qui note que la réunion prévue fin février entre les députés et le Président a alors été avancée à ce mardi 11 février à l’Élysée. Neuf mois plus tard, patatras. Après le couac notable la semaine dernière concernant l’allongement du congé de deuil de 5 à 12 jours, c’est comme si tout était à reconstruire. Cette proposition de loi UDI refusée par le gouvernement et les députés de la majorité a provoqué un tollé à l’Assemblée et dans l’opinion et le Président de la République est intervenu lui-même par voie de presse pour appeler ses troupes ”à plus d’humanité”.

La pilule est très mal passée au sein du groupe majoritaire à l’Assemblée qui, pour certains, ont fait part de leur agacement à devoir porter le chapeau d’une “erreur collective”, selon les termes de Muriel Pénicaud, quand eux ne faisaient qu’appliquer les consignes du gouvernement. “Des conseillers du président de la République étaient présents à la réunion de groupe le mardi, ils ont eu un aperçu à chaud de la colère des députés”, se souvient une source gouvernementale qui note que la réunion prévue fin février entre les députés et le Président a alors été avancée à ce mardi 11 février à l’Élysée.“Le rendez-vous est utile pour les parlementaires de la majorité, y compris pour ceux qui ont senti un lien distendu après les propos du Président sur ‘l’humanité’”, confirme Guillaume Chiche, député LREM des Deux-Sèvres, au HuffPost. “Ce n’était pas un rappel à l’ordre, mais certains l’ont pris directement pour eux. À ce titre, c’est bien que le chef de l’État réaffirme qu’il s’adressait surtout à l’opinion publique”, analyse l’ancien socialiste qui n’en est pas à sa première expérience en politique.

EMC – CP – Cultivons Chalon – Le vélo à Chalon sur Saône

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Le vélo à Chalon sur Saône,  loin d’être la priorité de l’actuel Maire Gilles PLATRET

Elections municipales – Cultivons Chalon – Nathalie Leblanc

La Fédération Française des Usagers de la Bicyclette, via son site Internet « Parlons vélo », vient de publier le baromètre 2019 des villes cyclables. Ce baromètre est l’occasion d’avoir une vision des conditions de route pour les usagers et de leur sécurité.

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que notre ville de Chalon-sur-Saône ne figure pas en bonne position.

En effet, le rapport de la Fédération indique que :

  • Lors de travaux de voirie, aucune solution alternative sûre n’est proposée aux cyclistes,
  • Circuler à vélo dans la ville n’est pas sûr pour les enfants et les personnes âgées,
  • Traverser un carrefour ou un rond-point est dangereux,
  • La Mairie n’est pas à l’écoute des besoins des usagers du vélo.

Depuis 2017, date de parution du dernier baromètre, les conditions de circulation à vélo se sont considérablement dégradées.

Pour les cyclistes chalonnais, près de 30% des conditions de circulation et de sécurité en ville se sont détériorées.

Autant dire que l’actuelle majorité municipale de Chalon n’a pas pris en compte les mobilités douces ces 6 dernières années. Au contraire, les aménagements réalisés ne favorisent pas l’usage du vélo et plus globalement l’ensemble des déplacements doux.

Les avantages de ces déplacements sont pourtant connus. Ils sont bons pour la santé, respectueux de l’environnement et économiques.

Notre ville présente une échelle compatible avec une plus grande pratique du vélo et des mobilités douces.

Comme décrit dans le rapport de présentation du Plan Local d’Urbanisme intercommunal, Chalon-sur-Saône présente « une zone agglomérée à l’échelle des déplacements cyclables : des pôles d’attraction, des équipements générateurs de déplacements accessibles en moins de 10 mn à partir de la Mairie ».

Cultivons Chalon, la liste de gauche portée par Nathalie LEBLANC, s’engage à faire de Chalon une ville 100 % cyclable et « cyclamicale » !

Pour cela, Cultivons Chalon :

  • développera un réseau cyclable cohérent et respectueux du Code de la route en vigueur,
  • aménagera des stationnements sécurisés pour les vélos,
  • travaillera en partenariat avec les associations et acteurs concernés,
  • assurera la promotion de la culture vélo à Chalon sur Saône,
  • et plus globalement encouragera les moyens de déplacement doux par des aménagements adaptés.

 

Zemmour et Schiappa sur le plateau de « Face à l’Info »

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Deux visions de la société, deux visions de la France. Marlène Schiappa était invitée dans l’émission “Face à l’Info” sur CNews ce lundi 10 février pour débattre avec le polémiste Éric Zemmour. L’occasion pour les deux d’échanger, avec une relative courtoisie, sur les valeurs nationales, la discrimination à l’embauche, la théorie du grand remplacement ou la culture française. Autant de thèmes chers au polémiste condamné à deux reprises pour incitation à la haine raciale. Très attendu, le débat s’est longtemps résumé à un affrontement autour de l’assimilation culturelle des étrangers en France. “Ce n’est pas McDonald’s, la République. On ne vient pas comme on est, on s’assimile à une culture dominante’”, s’est notamment exclamé Éric Zemmour.

Des échanges qui découlaient initialement d’un débat sur les prénoms d’origine étrangère, lui même entraîné par une récente décision du gouvernement de rendre public une liste d’entreprises coupables, aux yeux d’une étude, de discriminer les candidats en fonction de leur prénom et de leur origine. Marlène Schiappa a défendu cette pratique appelée “name and shame”, expliquant que la discrimination à l’embauche était une ”épée de Damoclès quotidienne sur beaucoup de citoyens qui sont exclus, qui n’ont pas l’opportunité de prouver leur mérite ou leurs compétences.”

Ce à quoi Éric Zemmour a expliqué que les parents d’origine étrangère devaient s’adapter à la culture française en ne donnant pas de prénoms étrangers à leurs enfant. “Leurs parents auraient dû l’appeler François”, a-t-il lancé, en parlant d’un candidat qui serait écarté d’une entreprise en raison de son prénom. Le tout en qualifiant de “processus sans fin” les volontés anti-discriminatoires. Une politique qui créerait, selon lui, un monde de “victimes à vie.”

Un mot qui a d’ailleurs fait réagir Marlène Schiappa. La secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes a estimé que les “victimes” de discriminations étaient “ceux qui sont les cibles des discours de haine.” Elle a notamment pointé un champ lexical qui crée de la peur, à l’image de la théorie du grand remplacement. Invitant la responsable gouvernementale à “aller voir dans certaines régions de France si le grand remplacement n’existe pas”, Éric Zemmour n’a cessé d’attaquer “l’idéologie” de Marlène Schiappa.

Chalon en Avant – Réunion de quartier

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Communiqué de la liste « En avant Chalon »

« Après le succès des trois premières réunions de quartier, Gilles Platret et Sébastien Martin invitent les habitants à Bellevue et aux Aubépins ! »

Les trois premières réunions des Charreaux, de Saint-Laurent et ce lundi de Saint-Jean-des-Vignes ont accueilli de très fortes participations.

Avec leurs colistiers, Gilles Platret et Sébastien Martin invitent les habitants à deux nouvelles réunions cette semaine :

. sur le quartier Bellevue mercredi 12 février à 19h, salle Gazelle (4, rue du Lieutenant-Rompion)

. sur le quartier Aubépins, jeudi 13 février à 19h, à la maison de quartier.

Ce sera l’occasion d’aborder les enjeux propres à chaque quartier et les grands axes du projet proposé par la liste « En avant Chalon » pour les années 2020 à 2026 !