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Coronavirus: Confinements en nombre sur les plages françaises

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Finies les balades le long de la mer à Saint-Tropez, Marseille ou Lorient, le jogging ou le surf à Biarritz : les autorités ont interdit jeudi l’accès des plages de Méditerranée, de la façade atlantique et du Nord pour lutter contre la propagation du coronavirus. Avec un soleil éclatant et des températures dépassant parfois les 20 degrés dans le sud de la France, la tentation était grande d’aller au bord de l’eau, quitte à contourner les mesures de confinement.

Au Petit-Travers, plage près de Montpellier, un homme se faisait ainsi bronzer allongé sur une digue au-dessus de la Méditerranée, mais des gendarmes à terre et en bateau lui ont intimé l’ordre de quitter les lieux et de respecter les consignes de précaution, a constaté un photographe de l’AFP. Les escapades sur les littoraux méditerranéens, atlantiques et de la mer du Nord sont désormais interdites en vertu d’arrêtés préfectoraux pris jeudi.

« Il y avait trop de monde sur les plages » alors que les Français doivent rester confinés pour éviter que l’épidémie de coronavirus – qui a fait 372 morts en France selon le dernier bilan -, ne gagne du terrain, a expliqué à l’AFP le préfet de la zone de défense et de sécurité Sud Pierre Dartout.

« Quand je vois que des gens continuent à aller au parc, à se mettre ensemble, à aller à la plage ou à se ruer dans les marchés ouverts, c’est qu’ils n’ont pas compris les messages » passés par les autorités, a martelé le chef de l’Etat Emmanuel Macron en marge d’une visite à l’Institut Pasteur à Paris. Dès jeudi après-midi, de nombreux policiers et des gendarmes à cheval se sont déployés sur les nombreuses plages de Marseille pour évacuer les quelques promeneurs récalcitrants qui s’exposent à une amende, a constaté un journaliste de l’AFP.

Marie, 62 ans, qui se promène sur la plage devant chez elle dit « comprendre la mesure ». « Des policiers viennent de me dire que cela devenait interdit, il faut dire qu’hier il y avait plus de monde. C’est sûrement une bonne chose », acquiesce la sexagénaire. « Il y a un effet de mimétisme. Si des gens voient des personnes sur la plage, ils vont se dire qu’ils peuvent aussi y aller », souligne-t-elle.

Le gouvernement instaure un « état d’urgence sanitaire »

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Face à la « crise sans précédent » du coronavirus, le gouvernement a autorisé l’instauration mercredi d’un « état d’urgence sanitaire », prévu dans l’un des projets de loi présentés mercredi en Conseil des ministres et qui contiennent également des aides pour lutter contre le choc économique. « Notre pays traverse une crise sanitaire sans précédent depuis un siècle. Cette crise nécessite des mesures fortes pour prévenir, pour contenir et pour gérer l’épidémie », a déclaré Édouard Philippe depuis l’Élysée.

Ainsi, un des projets de loi autorise la déclaration d’un « état d’urgence sanitaire » sur tout ou partie du territoire métropolitain et en outre-mer « en cas de catastrophe sanitaire, notamment d’épidémie mettant en jeu par sa nature et sa gravité, la santé de la population », selon le texte obtenu par l’AFP. « Il nous est apparu nécessaire d’intégrer dans la loi les enseignements de la gestion de la crise depuis 3 mois, et en particulier l’organisation qui a été mise en place dans l’urgence pour permettre un éclairage scientifique des décisions publiques, ainsi que leur transparence », a justifié le Premier ministre.

L’état d’urgence sanitaire sera déclaré par décret en Conseil des ministres après l’adoption du projet de loi. L’Assemblée nationale et le Sénat seront informés « sans délai » des mesures prises pendant cet état d’urgence. Concrètement, le Premier ministre Édouard Philippe pourra prendre par décret « les mesures générales limitant la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion et permettant de procéder aux réquisitions de tout bien et services nécessaires afin de lutter contre la catastrophe sanitaire », détaille le texte.

Des responsables politiques de droite ou de gauche ont affiché mercredi leur volonté d’éviter la « polémique », en pleine crise de coronavirus, sur les déclarations de l’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, sans pour autant minimiser les révélations. La candidate LREM à la mairie de Paris a affirmé avoir prévenu le Premier ministre, Édouard Philippe, dès le 30 janvier de la gravité de l’épidémie de coronavirus, qualifiant de « mascarade » les élections municipales, expression qu’elle a ensuite dit regretter.

CP – Changeons Chalon – Reprise économique

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Passons la page, les élections sont derrière nous et nous devons faire face à une des crises sanitaire et économique les plus importantes que nous vivront à l’échelle de notre vie.
Changeons Chalon souhaite continuer à être à la fois une association de vigilance citoyenne et une force de proposition au service de l’ensemble des habitants de l’espace du Grand Chalon.
Nous vous transmettons les éléments issus de notre réflexion qui vont au-delà de l’urgence du moment orientée fort naturellement sur l’aspect sanitaire. Nous nous concentrons sur les conséquences économiques de cette crise qui risquent d’impacter les chalonnais de façon très durable.
Il est primordial que nous puissions anticiper ce drame annoncé. Nous vous communiquons :
 Une lettre de proposition au pouvoir législatif transmis au député de Chalon sur Saône
pointant l’iniquité de traitement entre les commerçants indépendants et la grande
distribution et contenant une proposition pour réduire cette inégalité.
 Une lettre de propositions à Monsieur le Maire de Chalon sur les mesures nous
apparaissant nécessaires pour garantir une reprise économique du bassin Chalonnais.

Pétition

Les mesures sanitaires de confinement impliquent la fermeture de tous les commerces « non indispensables », bars, restaurants mais également les commerces non alimentaires : vêtements, fleuristes, la liste est longue de ces beaux métiers qui vont payer le prix fort de la solidarité nationale. Combien de liquidations ? Quel impact sur nos centres villes et l’animation que ces commerces de proximité amènent ?
 Nous avons donc lancé une pétition sur Change.org pour demander de la solidarité de la part des grandes surfaces et des sociétés de e-commerce :

Lettre au Maire

Monsieur le Maire, Monsieur Platret,

En préambule, Changeons Chalon souhaite vous féliciter pour votre élection. Les Chalonnais ayant choisi de vous reconduire dans vos fonctions pour 6 ans, nous nous permettons de vous interpeller sur l’urgence des mesures à prendre dans le cadre de l’épidémie de Coronavirus.

Nous ne doutons pas que vous partagiez notre inquiétude sur les conséquences économiques qui toucheront Chalon sur Saône de plein fouet. Nous souhaitions dans la dynamique d’inscription positive de Changeons Chalon, comme force de proposition municipale, vous transmettre la pétition que nous avons lancée pour les mesures qui correspondent au cadre législatif.

Concernant Chalon sur Saône, nous souhaitions vous amener quelques propositions en vous remerciant de les transmettre au président du Grand Chalon, puisque la compétence économique est de son ressort, intimement persuadés qu’il faille anticiper pour limiter les conséquences pour nos commerçants, nos entrepreneurs.

 Proposition 1 : Dans le cadre du plan de relance que le gouvernement mettra en place, il nous apparaît impératif de le soutenir par le biais de la commande publique. La ville de Chalon sur Saône et le grand Chalon sont les acheteurs les plus importants localement. Vous avez dans ce cadre la capacité d’anticiper les programmes d’investissements initialement prévus, de les accélérer pour réinjecter de l’argent public dans la dynamique économique du bassin d’emploi.  Pour favoriser le recours à des artisans locaux, il nous apparaît primordial de développer les dynamiques d’allotissement de ces marchés et la mise en œuvre de cotations environnementales.

Proposition 2 : Les mesures gouvernementales vont engendrer une fragilité de nos entreprises et des commerces Chalonnais quelque-soit les mesures d’accompagnement de l’état. Il nous apparaît crucial de pouvoir créer en lien avec le tribunal de commerce un fond de soutien aux entreprises et commerces du Chalonnais qui se trouveraient en difficulté par rapport au maintien de leur activité.

Proposition 3 : Vous n’êtes pas sans ignorer l’impact économique de Chalon dans la Rue pour les commerces Chalonnais. Devant les incertitudes quant à la durée de l’épisode pandémique en France, il nous apparaît important de pouvoir envisager toutes les solutions alternatives pour éviter une annulation. Il nous apparaît crucial, pour les commerces Chalonnais, d’être en capacité d’anticiper l’éventualité d’un décalage dans le temps sur Août si cela se révélait nécessaire.

Comptez, Monsieur le Maire, dans ce moment de difficultés collectives sur notre entière implication à vos côtés.

Laurent Delrieu, Association Changeons  Chalon

CP – La ville de Chalon crée une réserve de bénévoles

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Image par Vektor Kunst de Pixabay

Afin de pouvoir assurer la continuité de l’activité des associations caritatives de notre
territoire, la Ville de Chalon-sur-Saône a décidé de créer une réserve bénévoles.
Cette réserve a pour objet, en cas de nécessité, de faire appel aux bonnes volontés
pour remplacer les bénévoles empêchés d’exercer leurs missions.
Les missions proposées seront essentiellement des fonctions liées à la logistique, la
manutention ou bien encore le transport.

Les Chalonnaises et les Chalonnais qui souhaitent se porter volontaires, sont appelés
à se faire connaître :
– par téléphone : 03 85 90 01 90
– par mail : reserve.benevoles@chalonsursaone.fr
Plus que jamais dans cette période difficile, la solidarité à l’égard des plus faibles et des plus fragiles d’entre nous, doit constituer une priorité.

La France assignée à résidence face au coronavirus

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Les Français ont entamé mardi un confinement de deux semaines au moins, inédit dans l’histoire du pays, pour tenter, après l’Italie ou l’Espagne et comme la Belgique désormais, d’enrayer l’épidémie de coronavirus comparée à une « guerre » à mener par Emmanuel Macron. L’ensemble de la population doit désormais rester cloîtrée sous peine d’amendes, sauf pour se nourrir, se soigner ou travailler, en particulier les personnels de santé et les forces de l’ordre.

Ces mesures extrêmes visent à empêcher l’envolée des contaminations et la saturation des services d’urgence: mardi soir, 699 patients dans un état grave étaient en réanimation (contre 400 dimanche) sur un total de 2.579 malades hospitalisés, selon le bilan de la Direction générale de la Santé (DGS). Le directeur, Jérôme Salomon, a annoncé un total de 175 décès (27 de plus que la veille) et de 7.730 personnes testées positives (1.000 nouveaux cas en 24 heures): « On est tous potentiellement porteurs », a-t-il martelé en insistant sur la nécessité d’éviter tout contact pour éviter de répandre le virus.

A l’issue d’un Conseil des ministres spécial, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a appelé les Français à appliquer « un mot d’ordre qui sauve des vies: restez chez vous ». Il a également annoncé le déploiement de 100.000 policiers et gendarmes pour faire respecter la consigne. Le pays a ainsi basculé, à midi pile, dans une phase inédite pour elle, assortie de mesures drastiques comme la suspension des parloirs dans les prisons, décrétée à la mi-journée ou la fermeture du sanctuaire catholique de Lourdes, « pour la première fois de son histoire ».

« Nous sommes en guerre » avait prévenu lundi soir le chef de l’Etat, pour insister sur la gravité de la situation. Si la matinée a été encore agitée dans les supermarchés et les gares des grandes villes, abandonnées par tous ceux qui le pouvaient avant la réduction du nombre de trains en circulation, les rues des principales métropoles ont été brusquement plongées dans le silence à l’approche de l’heure fatidique. A 14h00, Paris présentait son visage du 15 août, déserté et silencieux. Seuls les boulangeries, les pharmacies et les supermarchés et supérettes avaient encore de la lumière – -mais peu de clients aux caisses.

Face à la propagation exponentielle du coronavirus, toutes les personnes qui circuleront devront être « en mesure de justifier leur déplacement », a prévenu M. Castaner, au risque de prendre une amende. La présence policière, encore discrète au centre de la capitale, était signalée ailleurs: à Clamecy, dans la Nièvre, une habitante a signalé à l’AFP « des gendarmes à tous les carrefours ». En banlieue parisienne, un jeune couple s’est fait réprimander pour avoir sorti ses deux bambins « autour du pâté de maison ». Partout les parcs et jardins ont fermé leurs grilles pour ne pas tenter les familles d’y aérer les gamins confinés.

Covid 19 : Panique irrationnelle sur les rayons

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Photos prises au petit Carrefour, vers 14h00
Photos faites à 15h..à Aldi rue Monnot

Ce lundi 16 mars 2020, comme, hélas, dans beaucoup de magasins alimentaires de France, le scénario est le même à Chalon : aucune distance de sécurité élémentaire (l’un derrière l’autre à la caisse…. ), rayons vides (pâtes, conserves, papier toilette…), insultes (voire plus) entre certains clients ou avec les vigiles… Enfin une belle vision de notre humanité individualiste…!

Un comportement irrationnel certes due à la peur du manque (très peu probable) possible de produits alimentaires mais injustifiable, irresponsable et très peu citoyen et solidaire et qui a écœuré de nombreux lecteurs de notre page FB…

Leader Price – avenue nièpce – entre 13h30 à 14h

De même, des files d’attentes ont été observées dans certaines grandes surfaces de la ville avec des distances entre clients peu souvent respectées.

Les consommateurs font part d’inquiétudes à propos des probables restrictions qui seront imposées à la population et qui devraient entrer en vigueur prochainement après l’annonce télévisées.
Photos faites à 15h..à Aldi rue Monnot
Photos faites à 15h..à Aldi rue Monnot
Aldi vers 15h
Photos prises au petit Carrefour, vers 14h00
Photos prises au petit Carrefour, vers 14h00
Photos prises au petit Carrefour, vers 14h00

« Nous sommes en guerre » : la rhétorique martiale de Macron face au coronavirus

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« Nous sommes en guerre ». Ces mots ont été prononcés, à sept reprises, par Emmanuel Macron ce lundi 16 mars. Face à la crise sanitaire, le chef de l’Etat, dans une allocution en direct depuis l’Elysée, a utilisé un langage guerrier pour annoncer une série de mesures afin de venir à bout du coronavirus et de lutter contre les contaminations. Et a voulu marquer un message clair, à travers cette anaphore: « nous sommes en guerre ».

Président de la République, et chef des Armées, Emmanuel Macron en a appelé aux responsabilités individuelles et collectives. Et il a décrit cet ennemi un peu particulier: « Nous ne luttons ni contre une armée, ni contre une autre nation. Mais l’ennemi est là, invisible, insaisissable, qui progresse », a-t-il précisé. « Et cela requiert notre mobilisation générale », a poursuivi Emmanuel Macron, filant la métaphore militaire.

Derrière ces accents churchilliens, le chef de l’Etat en a appelé aussi à l’armée au sens propre, face à ce qu’il considère comme une « guerre sanitaire ». Un hôpital de campagne des armées sera déployé en Alsace, où la bataille contre l’épidémie de Covid19 est particulièrement compliquée et les cas de plus en plus nombreux. Une situation peu commune pour l’armée, mais pas totalement inédite. En effet, les forces armées françaises ont déjà déployé des hôpitaux de campagne ces dernières années, comme aux Antilles en 2017 au moment du passage de l’ouragan Irma. Reste toutefois à préciser la dimension de cette installation, qui peut aller d’une dizaine de lits, à des centaines.  L’armée sera aussi mobilisée pour soulager les personnels soignants. Notamment en transportant des personnes touchées, vers des zones moins concernées avec des hôpitaux davantage en capacité de les accueillir.

Pour chaque déplacement, outre certaines cartes professionnelles, les Français devront présenter un « document attestant sur l’honneur le motif » du déplacement, a annoncé lundi soir le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner. Une attestation qui sera notamment téléchargeable sur le site du ministère de l’Intérieur. Près de 100.000 policiers et gendarmes vont être mobilisés et des points de contrôle, fixes et mobiles, seront organisés partout sur le territoire. Seuls les déplacements jugés « indispensables » comme décrits par les autorités, seront autorisés. Toutes les personnes qui circuleront devront être « en mesure de justifier leur déplacement », a-t-il en outre affirmé, précisant qu’une amende pour les contrevenants, aujourd’hui de 38 euros, serait prochainement portée à 135 euros.

Municipales 2020 : La République en marche en grande difficulté au soir du premier tour

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La République en marche trébuche. Dans une campagne difficile, notamment contaminée par l’épidémie de coronavirus Covid-19, la majorité présidentielle a subi un revers électoral lors du premier tour des élections municipales, dimanche 15 mars. Dans une soirée électorale d’abord marquée par un débat sur la tenue ou non du second tour des élections, plusieurs responsables politiques n’ont pas manqué de noter la contre-performance de LREM. « On voit dans les résultats une sanction claire du gouvernement », a estimé le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, sur France 2.

« On a un certain nombre de nos candidats élus dès le premier tour et puis il y a des scores importants ailleurs », a tenté de relativiser le secrétaire d’Etat Gabriel Attal, dimanche soir sur France 2. « Et puis il y a des circonstances inédites, avec la crise du coronavirus, qui font que l’abstention a été forte », a ajouté Aurore Bergé, porte-parole de LREM à l’Assemblée. « Outre la montée de l’écologie, le scrutin montre les difficultés sérieuses de LREM au niveau national comme local », estime Richard Robert, historien des idées et éditeur du site Telos, joint par franceinfo. De fait, LREM est en difficulté dans de nombreuses villes. Le parti d’Emmanuel Macron est par exemple éliminé à Limoges, se retrouve en 3e position à Lille, Besançon, Rennes, Rouen, et même en 4e position à Perpignan. « LREM s’installe dans le paysage souvent en 3e position, mais enfin cela reste des scores de centristes, à l’évidence pas à la hauteur de leurs attentes », décrypte Richard Robert.

Dans certaines villes ciblées par la majorité, LREM apparaît en difficulté, comme à Paris où Agnès Buzyn arrive en 3e position avec 17,6%, à Bordeaux où Thomas Cazenave est distancé en 3e position avec 12,9% ou encore à Lyon où le candidat de Gérard Collomb, Yann Cucherat, est également en retard et en 3e position avec 14,9%, selon une estimation Ipsos/Sopra Steria pour France Télévisions, Radio France et les chaînes parlementaires. « On connaît le côté légitimiste des élections municipales, avec une prime au sortant qui est très forte », analyse encore Richard Robert. Mais il y a quelque chose de très net dans ce scrutin : les maires sortants issus de la gauche qui se présentaient avec l’étiquette LREM subissent des revers, comme à Besançon. »

Dans des villes comme Lyon ou Besançon, les maires sortants LREM Gérard Collomb et Jean-Louis Fousseret ont tenté de transmettre leur héritage à un nouveau candidat. Mais dans les deux cas, la greffe se révèle difficile. Yann Cucherat est en 3e position à Lyon avec 14,8% et Eric Alauzet également avec 18,5%. « Dès lors qu’on tente de transmettre l’héritage de LREM, il se désagrège. Dans ces villes, la bascule d’un ancien monde à un nouveau monde était portée par une personnalité, mais le clan en dessous n’a pas tenu », observe Richard Robert.

Municipales : Philippe Decroocq, LREM, président de la communauté de communes Saône Doubs Bresse, battu à Bey

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En charge des élus au sein de La République En Marche, Phiilippe Decroocq, maire sortant de Bey, n’a pas été ré-élu hier.

Dans cette localité du canton de Gergy, il y avait deux listes et c’est celle opposée au maire sortant qui a été entièrement élue au scrutin uninominal. Le panachage étant autorisé dans les communes de moins de 1000 Habitants.

LES MAIRES DE CIEL OU D’ALLERIOT POUR LA COM COM

Cette défaite ne sera pas sans conséquence tout à la fois pour LREM mais aussi pour la communauté de communes Saône Doubs Bresse. Les regards se portent pour la présidence vers les maires de Ciel, Daniel Ratte voir vers Brigitte Béal, Maire d’Allériot qui ont été réélus.

CP Préfecture : Coravirus – accueil du public

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Image par Vektor Kunst de Pixabay

Les services de l’État en Saône-et-Loire poursuivent leur missions de service public et continuent à accueillir et renseigner le public. Néanmoins, les usagers sont invités à contacter le standard des services concernés afin de se renseigner sur les modalités d’accueil du public.
Une attention particulière est portée par les agents des services publics au respect des « mesures barrières » Il est demandé à chaque usager de procéder de même et de façon très stricte.
Par ailleurs, au vu de la liste établie par le Haut Comité de Santé Publique, et mentionnée ci-après, les usagers présentant ces fragilités sont incités à reporter leur démarches.
Les personnels des services publics présentant ces mêmes fragilités sont invités à prendre l’attache de leur responsable et du médecin de prévention afin d’apprécier les conditions d’exercice de leur activité, en particulier en cas d’accueil du public.
Le Haut Comité de Santé Publique considère que les personnes qui risquent de développer une forme grave d’infection au coronavirus-Covid19 (SARS-CoV-2) sont les suivantes :
‣ personnes âgées de 70 ans et plus (même si les patients entre 50 ans et 70 ans doivent être surveillés de façon plus rapprochée) ;
‣ patients présentant une insuffisance rénale chronique dialysée, insuffisance cardiaque stade NYHA III ou IV ;
‣ les malades atteints de cirrhose au stade B au moins ;
‣ les patients aux antécédents (ATCD) cardiovasculaires : hypertension artérielle compliquée, ATCD d’accident
vasculaire cérébral ou de coronaropathie, chirurgie cardiaque, insuffisance cardiaque stade NYHA III ou IV ;
‣ Les diabétiques insulinodépendants non équilibrés ou présentant des complications secondaires à leur pathologie ;
‣ les personnes présentant une pathologie chronique respiratoire susceptible de décompenser lors d’une infection virale ;
‣ les patients présentant une insuffisance rénale chronique dialysée ;
‣ les personnes avec une immunodépression congénitale ou acquise :
• médicamenteuses : chimiothérapie anti cancéreuse, immunosuppresseur, biothérapie et/ou une corticothérapie à dose immunosuppressive,
• infection à VIH non contrôlé avec des CD4 <200/mn3
• Consécutive à une greffe d’organe solide ou de cellules souche hématopoïétiques,
• atteint d’hémopathie maligne en cours de traitement,
• présentant un cancer métastasé,
‣ Les malades de cirrhose au stade B au moins ;
‣ Les femmes enceintes par analogie avec les séries publiées sur le MERS-CoV et le SRAS en dépit d’une petite série de 18 cas d’infections à SARS-CoV-2 ne montrant pas de sur-risque ni pour la mère ni pour l’enfant ;
‣ Les personnes présentant une obésité morbide (indice de masse corporelle > 40kg/m2 : par analogie avec la grippe A(H1N1).

Pour toutes informations et recommandations concernant le coronavirus- Covid 19 :
– www.gouvernement.fr/info-coronavirus
– pour toutes questions non médicales, plateforme téléphonique nationale gratuite, 24 h sur 24, 7 jours sur 7 :
0 800 130 000.
– suivre les informations diffusées par l’ARS Bourgogne-Franche-Comté : https://www.bourgogne-franche-comte.ars.sante.fr/, Twitter et Facebook @arsbfc