Vendredi 12 février, à l’heure du déjeuner, les responsables de la section chalonnaise du P.C.F, Jean Michel De Almeida, Fabienne Vermorel et Alexandre Bessot, ont lancé un appel citoyen afin de rassembler et de fédérer dans la perspective des élections départementalesdevant se dérouler en juin prochain.
UNE RENCONTRE LE SAMEDI 27 FÉVRIER DE 10 h à 12 h pour tous dans les locaux du P.C.F au 30, rue Théodore de Foudras. « A nous d’écrire l’esquisse d’un programme, viendront ensuite le choix de celles et ceux qui défendront les idées…
Dans la vidéo : Intégralité vidéo (presque) de la conférence de presse au PCF
Emma Benyamine a 22 ans. Elle a une licence professionnelle Métiers de la Communication : Publicité.
Le 1er octobre 2020, elle rejoint ChalonTV comme service civique pour 8 mois.
Elle occupe des missions de journaliste reporter d’images, monteuse, cadreuse et animatrice plateau. Elle réalise en direct des émissions variées : politique, artistique, médicale… Emma est à l’origine de la série quotidienne de conte en Décembre 2020 : « Les calendriers de l’avent de ChalonTV » ainsi que l’appel à témoins « Voix chalonnaises ».
Elle est pleine de curiosités, d’idées, qui deviennent souvent des réalités.
Elle raconte ici son parcours, sa mission à ChalonTV et ce que lui a apporté son Service Civique.
Vendredi 12 février, à l’heure du déjeuner, les responsables de la section chalonnaise du P.C.F, Jean Michel De Almeida, Fabienne Vermorel et Alexandre Bessot, ont lancé un appel citoyen afin de rassembler et de fédérer dans la perspective des élections départementalesdevant se dérouler en juin prochain.
AU-DELÀ DES PARTIS… DÉJÀ DES HABITUDES DE COOPÉRATION
Jean Michel De Almeida
« Nous voulons sortir des logiques d’appareils en conviant les citoyens engagés dans les différents mouvements sociaux à se regrouper et à se fédérer », a lancé Jean Michel De Almeida… « Nous avons déjà l’esprit du collectif, nous nous retrouvons pour dénoncer les politiques antisociales et ses conséquences au centre hospitalier, dans l’éducation ou encore pour la régularisation des réfugiés, contre la loi sécurité globale et pour la défense des services publics, des retraités »… »C’est une démarche portée par les communistes depuis plus de deux années » a mentionné, Fabienne Vermorel.
UNE RENCONTRE LE SAMEDI 27 FÉVRIER DE 10 h à 12 h
Fabienne Vermorel
« Les premiers acteurs, ce sont les citoyens » a indiqué Alexandre Bessot, particulièrement engagé. « Nous voulons porter des alternatives à l’échelon départemental » ont précisé les intervenants, en promouvant un R.S.A pour les 18-25 ans, et d’autres orientations dans les domaines de l’écologie, de la solidarité pour répondre aux crises sociales, environnementales mais aussi démocratiques. C’est dans cet esprit que sont conviées les personnes intéressées à se retrouver le samedi 27 février de 10 h à 12 h, dans les locaux du P.C.F au 30, rue Théodore de Foudras. « A nous d’écrire l’esquisse d’un programme, viendront ensuite le choix de celles et ceux qui défendront les idées…
Lors de la présentation de l’appel citoyen, des démarches similaires sont portées dans le Mâconnais, à Paray-le-Monial ou encore dans le bassin minier et Chagny.
Laurent Delrieu, candidat pour les municipales de Chalon (il n’avait pas pu aller au premier et seul tour, faute d’avoir une liste complète) donne son avis, notamment, sur la polémiqueopposant le Maire de Chalon et le Préfet sur l’annulation de la fête foraine traditionnelle du carnaval (lui aussi annulé)et sur la réponse d’Alain Rousselot-Railley (Ensemble Chalon). Il fait aussi un bilan de gouvernance à Chalon.
Simon Joly a 24 ans. il a un BTS Communication des entreprises. Il habite Tournus. Le 1er septembre 2020, il rejoint ChalonTV comme service civique pour 8 mois. Au début, il fait du montage, un peu sa spécialité. Puis il passe derrière la caméra pour filmer. Ensuite il passe devant la caméra comme journaliste. Il anime aussi des émissions plateau en tant que journaliste. Il passe aussi derrière la cloison pour passer en régie, en réalisation. Il est à l’origine de l’émission philosophique » Platon sur un plateau« . Il s’occupe aussi de la mise en ligne des dessins de Placide, de reportage vidéo sur le site ChalonTV…
Il raconte ici son parcours, sa mission à CTV et ce que lui a apporté son Service Civique.
Il nous quitte le 15 mars pour une formation de 8 mois en développeur web. Nul doute qu’il poursuivra en allant de l’avant sa vie.
Toujours plus haut, toujours plus loin dans la démagogie !
Après le carnaval, logiquement la fête foraine est à son tour annulée, et de nouveau le maire de Chalon est dans l’irresponsabilité et semble perdre ses
nerfs à vouloir faire absolument le buzz médiatique.
Il est évident que nous sommes solidaires des milieux culturels, des commerçants, des forains, et que toutes les mesures gouvernementales sont un crève-cœur pour tous ceux qui sont frappés dans leurs activités professionnelles. Mais il est tellement urgent d’en finir avec cette pandémie pour éviter de nouveaux morts, qu’il est peut-être temps à Chalon de cesser d’être résolument contre toutes les mesures du gouvernement.
C’est collectivement et dans l’union nationale que nous pourrons sortir définitivement de cette crise, à l’image de la Région et de l’Etat qui viennent d’engager 2,7 milliards d’euros pour la relance de notre territoire.
Le seul carburant toxique de Gilles Platret est le populisme et la course avec le Rassemblement National, mais quels sont les intérêts pour Chalon dans ce
match ?
On attend d’un maire des solutions ! pas des polémiques ! Je suggère à Gilles
Platret et à tous les acteurs socio-économiques d’étudier un report des
festivités de carnaval juste avant l’été et non pas une annulation pour 2021.
Alain Rousselot-Pailley
Conseiller Municipal
Ensemble Chalon
Communiqué de Presse Ville de Chalon Dimanche 7 février 2021
ANNULATION DE LA FETE FORAINE DE CHALON PAR LA PRÉFECTURE
Le maire de Chalon réagit:« Je n’accepte pas cette situation. Je la refuse et je la combats. Pour moi, elle n’est pas annulée. »
« J’apprends, une fois de plus par la bande, que la préfecture a souverainement décidé dans son coin, sans aucune concertation, que la fête foraine ne pourrait avoir lieu à Chalon cette année !
Jamais ce sujet n’a été abordé avec nous. Alors que nous sommes en contact quotidiennement avec le sous-préfet, son secrétaire général et les services de la préfecture, personne n’a trouvé utile d’évoquer cette question.
Je ne sais pas quand ce naufrage de l’Etat va prendre fin. Mais c’est une situation intolérable.
Pour ma part, il est hors de question que je me contente de cette annulation sans concertation.
Nous avons dû annuler le Carnaval 2021 qui génère toujours une très forte accumulation de public le long du défilé, ce que chacun peut comprendre. Mais la fête foraine n’a rien à voir avec un défilé.
Les forains ont des solutions solides à proposer pour maintenir la fête en assurant la sécurité sanitaire totale du public. On ne risque pas plus de se contaminer dans un manège que dans un bus, un train ou un supermarché !
Croyez-vous qu’on pourrait les écouter deux minutes ?
Mais non bien sûr ! Les représentants du gouvernement sont trop pressés de cadenasser toute la population, trop pressés de détruire toutes réjouissances publiques !
« Allez bosser et rentrer chez vous sans traîner dans les rues », voilà leur mot d’ordre !
Eh bien, je n’accepte pas cette situation. Je la refuse et je la combats.
Avec la Ville de Chalon, depuis mars 2020, j’ai tout mis en œuvre pour assurer la sécurité sanitaire des Chalonnais et des visiteurs de notre ville.
Je n’accepte pas qu’un gouvernement qui a menti sur les masques, qui a menti sur les tests, qui a menti sur les vaccins, se permette de nous dire ce qu’il faudrait faire sans nous en parler une seule seconde auparavant.
Cette affaire ne va donc pas en rester là.
Pour ma part, je considère donc, au moment où je parle, que la fête foraine de Chalon n’est pas annulée. Cette semaine, à l’hôtel de ville, je recevrai les forains, avec qui nous sommes en contact, et nous évoquerons cette question.
Quoi qu’il advienne, je ne laisserai pas tomber les forains, que j’ai faits il y a quelques années Citoyens d’honneur de Chalon et qui savent donner un peu de bonheur à notre population, qui en a plus que jamais besoin ! »
Dans les colonnes du Parisien ce week-end, François Bayrou a tenté un ultime coup de pression sur Emmanuel Macron au sujet du scrutin proportionnel intégral. Le maire de Pau a adressé jeudi un courrier au chef de l’État pour demander son introduction avant 2022. Son objectif: qu’aux prochaines élections législatives, l’hémicycle de l’Assemblée nationale puisse refléter plus fidèlement les poids respectifs des forces politiques en France. Derrière ce but louable d’un point de vue démocratique, il y a des enjeux tactiques qui touchent à la fois son propre parti, le MoDem, et sa relation avec LaREM, son principal allié depuis la présidentielle de 2017. D’autres formations, comme le Rassemblement national ou Europe Écologie-Les Verts, défendent également l’instauration de la proportionnelle.
Comme souvent en politique, ce débat part d’un accord, celui noué entre Emmanuel Macron et François Bayrou lorsque ce dernier, en février 2017, a pris la décision de s’allier au jeune candidat plutôt que de briguer l’Elysée une quatrième fois. Au cœur de cet accord, il y avait l’engagement à introduire la proportionnelle « de manière dosée », afin de « refléter le pluralisme de notre vie politique ». C’est du moins l’addendum programmatique que l’ex-ministre de François Hollande a sorti de son chapeau à l’époque.
Concernant François Bayrou, il s’agit là d’un cheval de bataille depuis qu’il s’est éloigné de la droite chiraquienne il y a 20 ans. Isolé et dépouillé d’une partie de ses troupes par l’UMP, le leader centriste a vu en la représentation proportionnelle le seul moyen de son autonomie et, in fine, de sa survie politique. L’émergence d’Emmanuel Macron lui a permis, de manière inespérée, de sécuriser des circonscriptions aux législatives de 2017 et, malgré le scrutin majoritaire, d’exister au Parlement. À l’heure actuelle, le groupe MoDem compte 58 membres.
Dès le printemps 2018 néanmoins, la machine s’est grippée. Dans la réforme institutionnelle présentée par le Premier ministre Édouard Philippe, la dose de proportionnelle était beaucoup plus modeste qu’escomptée. À savoir, 15% des sièges de l’Assemblée nationale élus via ce mode de scrutin plutôt que les 25% souhaités par François Bayrou. Lequel a rappelé à l’ordre le chef de l’État en dénonçant « un tour de passe-passe » sur BFMTV.
Par ce beau dimanche 7 février ensoleillé mais un peu froid…que faire à Chalon ?. Les cinémas, les théâtres, les bars sont fermés…! ? Les Chalonnais se sont rendus nombreux sur les quais pour contempler la Saône et surveiller son niveau. Rien d’inquiétant pour l’instant. Elle reste sage et ne déborde pas. En effet, son niveau s’est stabilisé à 6.39m, depuis plus de 24 h. Amorce de décrue à Verdun/D
Photos Marie – Dim 7 AM
Les différentes hauteurs de La Saône au cours du temps(source Hydroréel)
janvier 1955 : 7.20 Port Villiers
décembre 1981 : 7.21 Port villiers
décembre 1982 : 7.29 Port Villiers
mai 1983 : 7.32 Port Villiers
janvier 1994 : 6.54 Port Villiers
février 1999 : 6.78 Port Villiers
19 mars 2001 : 7.16 – Débit : 2 600 Port Villiers
28 janvier 2018 : 6.78 – Débit : 2 200 Port Villiers
CTV reçoit un certain nombre de témoignages sur le non port ou le mal port des masques anti-coviddans les rues de Chalon, les rues piétonnes et les rues lors du marché. Certes, c’est une très petite minorité, certes ces masques sont peu agréables à porter, on les porte depuis mars 2020, certes c’est l’angoisse actuellement avec cette pandémie qui détruit des vies, des emplois, des projets, des avenirs et qui rend presque tout le monde morose par ce temps d’hiver… Certes… .Mais le masque anti-covid, si il est bien porté, est un bon rempart contre la maladie…Nous ne vivons pas seuls, mais en collectivité et nous devons nous protéger mais aussi les autres…!
Témoignage d’une Chalonnaise fréquentant souvent en Centre-ville
J’ai peur.
J’ai peur de sortir dans Chalon, dans le centre ville, en particulier dans les rues piétonnes.
Cette peur s’empare de moi dès mes premiers pas dehors.
A partir de ce moment-là, je vais ruser, zigzaguer, raser les murs, changer de trottoir, marcher sur la chaussée. C’est un marathon, un jeu de piste, une errance qui peuvent durer indéfiniment.
Pourquoi ?
Pour fuir ou éviter qui ?
Et bien, les Chalonnais et les Chalonnaise sans masque ou le portant négligemment sous le nez ou sous le menton.
Bêtise, ignorance , provocation, désobéissance civile, égoïsme de leur part ? Chacun interprètera à sa façon .
Des panneaux en ville affichent le port du masque obligatoire dans les zones de forte affluence. Beaucoup respectent cette consigne mais trop l’ignorent. Souvent les jeunes. Ils se sentent invulnérables. En ne se protégeant pas, ils deviennent un vecteur du virus auprès de leurs parents, frères et sœurs, grands-parents, copains et ceux qu’ils croisent. Mais ils ne sont pas les seuls . Des adultes de tout âge mettent aussi leur vie , celle de leur proches et la nôtre en danger.
Alors aujourd’hui, j’affirme que marcher dans Chalon relève du parcours du combattant.
Un strict respect des gestes barrières, à chaque instant lorsque nous sommes dans la rue est indispensable.
Ce que dit la ville de Chalon, la loi
Ville de Chalon :
Le port du masque est obligatoire sur l’ensemble des marchés de la commune.
Le port du masque devient également obligatoire sur l’espace public des zones de forte affluence : place de l’Hôtel-de-Ville, rues piétonnes du centre-ville, rue Général Leclerc, place de Gaulle, place de Beaune, place Saint-Laurent, rue de Strasbourg, quai des Messageries, quai Gambetta et place du Port Villiers.
Ces mesures sont applicables à partir du mardi 18 août.
Depuis le 1er septembre 2020, l’obligation de porter le masque dans les lieux publics clos s’étend aux bureaux non individuels. Le non-respect de l’obligation de porter le masque est puni d’une amende de 135 €. Le préfet et le maire peuvent aussi imposer le port du masque dans les lieux publics situés à l’extérieur (rue, marché, zone touristique, centre-ville, …).
Comment porter le masque
Le masque doit toujours couvrir mon nez, ma bouche et mon menton. Quand mon masque est bien mis, je ne le touche plus. Si je touche mon masque, je me lave les mains avec du savon ou du gel désinfectant. Le virus est dans l’air que nous respirons, donc si vous ne protéger pas votre nez, vous pouvez le respirer…
Distance portée, il y a peu, à 2 m
Port du Masque Covid
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Photos faites vendredi 5 février entre 16 et 17h – rues piétonnes et Place de Beaune – Chalon