Accueil Blog Page 104

CP Nathalie Leblanc – Conseil municipal : Le maire a dégradé les finances de la Ville

0

Communiqué de presse de Nathalie Leblanc, conseillère municipale d’opposition, tête de liste de Cultivons Chalon

Le jeudi 27 février 2020,  s’est déroulé le dernier Conseil municipal du mandat Gilles Platret 2014- 2020.

Les éléments budgétaires qui ont été présentés permettent d’en faire le bilan.

Rappelez-vous : en 2014, M. Platret décrivait la ville comme étant au bord de la faillite. Aujourd’hui ? C’est pire.

La dette n’a pas baissé. Elle a été étalée. La ville a de plus en plus de mal à la rembourser. En y consacrant tous les excédents, il faudrait 14 ans pour la rembourser  contre 10 en 2014.

Or le seuil d’alerte est fixé à 12 ans.

En six ans, M. Platret a bel et bien dégradé les finances de la Ville.

Cela est préjudiciable pour l’avenir de la Ville, pour les Chalonnaises et Chalonnais.

Et ce mauvais résultat a été obtenu tout en diminuant les services à la population.

Notons entre autres la diminution de 25 % des subventions aux associations ce qui représente pour elles une perte de 3 Millions, celle des budgets pour Chalon Dans La Rue, pour les musées, pour la bibliothèque, pour les services municipaux.

Notons également la réduction de l’accompagnement des enfants dans le cadre du Programme de Réussite Educative. 130 enfants sont aidés aujourd’hui contre 300 il y a 6 ans.

A cela s’ajoutent de nombreuses suppressions et arrêts dont ceux des Saônates, des Quartiers de Lune, du salon Objectif Métier, des menus de substitution, de la médiation sociale…

Des  investissements ont été réalisés. Mais ils ont été concentrés sur le centre-ville de manière très minérale, sans prendre en compte les impératifs écologiques, les mobilités douces. Les logements construits sont hors de prix.

Et les quartiers ont été abandonnés.

Gilles Platret et sa majorité ont réduit ce qui touche à l’humain, ce qui concerne tous les Chalonnais, surtout  les plus défavorisés d’entre eux. Leur politique clive et divise.

Leur gestion financière a été défaillante. La ville a été aménagée sans vision d’ensemble, au coup par coup, en oubliant ceux qui y vivent et l’environnement.

6 ans, ça suffit.

Photo CTV : La salle du Conseil municipal avant le début de la séance – janv 2020

CP – EM Chalon – Des affiches électorales posées avant l’heure légale

0

Communiqué de presse de Cultivons Chalon – Nathalie Leblanc

« La campagne électorale officielle débute lundi 2 mars, date à partir de laquelle les listes peuvent apposer leurs affiches sur les panneaux électoraux.

Nous nous étonnons donc de voir dès aujourd’hui, samedi 29 février, les affiches de la liste conduite par Gilles Platret et Sébastien Martin collées sur ces panneaux.

Ce n’est pas légal car cela ne respecte pas le Code électoral pourtant très clair sur ce sujet.

Nous constatons que maire ou candidat,  Gilles Platret ne respecte pas la loi de la République ! « 

Macron interpellé par un médecin de la Pitié-Salpêtrière sur la crise des hôpitaux

0

En visite à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, où est mort un Français testé positif au coronavirus.  Alors qu’il rencontrait, en compagnie du ministre des Solidarités et de la Santé Olivier Véran, les équipes médicales de l’établissement, le chef de l’État a été interpellé par un médecin au sujet de la crise plus globale que traverse le secteur hospitalier.
« Les personnels hospitaliers, le corps soignant dans son ensemble, a fait tous les efforts nécessaires. Nous sommes au bout. (…) On a besoin d’un choc (…) d’attractivité », a affirmé le neurologue en regardant Emmanuel Macron droit dans les yeux. Profitant de l’instant pour évoquer les graves problèmes de financement dont souffre l’hôpital public français, l’interlocuteur du président de la République entendait être le représentant de « l’ensemble du corps soignant ». Il a reproché à Emmanuel Macron et l’exécutif d’être « passé par un an de déni » sur la situation de notre système de santé. Ce à quoi le chef de l’État a répondu qu’on « est passé par beaucoup plus qu’un an de déni ».

« Le moment opportun pour le président de la République d’agir, même dans une situation dont il n’est pas responsable, c’est maintenant », a poursuivi le neurologue. « Quand il a fallu sauver Notre-Dame, il y avait beaucoup de monde pour être ému. Là il faut sauver l’hôpital public, qui est en train de flamber à la même vitesse que Notre-Dame a failli flamber. Ça s’est joué à rien et là, en ce moment, ça se joue à rien », s’est-il alarmé.

Quelques minutes plus tard, après qu’Emmanuel Macron a fait le tour du personnel de la Pitié-Salpêtrière, le même médecin a profité du tour de parole pour en remettre une couche. Et de se montrer inquiet sur la capacité de la France à réagir face au risque actuel d’épidémie de coronavirus. « Sans injection de moyens rapide, nous ne pourrons pas faire face à ce type de crise », a estimé le neurologue. « Vous pouvez compter sur moi. L’inverse reste à prouver », a-t-il dit au chef de l’État, qui en retour a déclaré le croire « sur parole ».

Procès Fillon : Les débats s’ouvrent sur des questions de procédure

0

Ils étaient très attendus. François et Penelope Fillon ont été accueillis par une nuée de journalistes, mais n’ont pas dit un mot à la presse, mercredi 26 février. Ni avant, ni après l’audience. Lui, détendu, en costume-cravate bleu foncé. Elle, un peu crispée, habillée de noir, chevelure argentée parfaitement lisse. Renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris, principalement pour détournement de fonds publics, le couple a pris place sur le banc des prévenus. Marc Joulaud, l’ancien suppléant de François Fillon à l’Assemblée nationale, les a rejoints. Et, 48 heures après un faux départ, leur procès a enfin pu commencer. Mais lors de cette audience, consacrée aux questions de procédure, aucun n’a fait de déclaration publique.

Tous trois ont écouté la présidente du tribunal lire le détail des délits qui leur sont reprochés, avant que leurs avocats ne commencent à plaider deux questions prioritaires de constitutionnalité (QPC). La première porte sur les délais de prescription et la seconde sur la qualification du délit de détournement de fonds publics. L’occasion pour la défense de jouer les gros bras face aux deux représentants du ministère public. Lesquels ont répondu en montrant les dents.

L’avocat de Penelope Fillon considère ainsi que les faits sont prescrits. « Est-ce que la jurisprudence qui permet de faire remonter les poursuites très loin en arrière » est « encore d’actualité ? » interroge Pierre Cornut-Gentille. « Plus le temps s’écoule, plus il est difficile pour un prévenu de se défendre. Plus le temps passe, moins les témoins sont fiables, à supposer qu’il en existe encore », plaide-t-il. Et d’insister sur les poursuites concernant l’emploi de Penelope Fillon en tant qu’assistante parlementaire de son mari, lorsqu’il était député, qui s’étalent entre 1998 – « il y a plus de vingt ans » – et 2013.

De son côté, l’avocat de François Fillon entend contester l’interprétation du délit de détournement de fonds publics par un parlementaire.  Avant d’entrer dans le détail, Antonin Lévy tient à répondre à Aurélien Létocart. « J’ai une forme de surprise à entendre le procureur financier remettre de la politique dans le dossier, en présentant François Fillon comme un opposant à la QPC », commence-t-il. « La stratégie de victimisation continue, rétorque Bruno Nataf, le second procureur financier. Aujourd’hui, on veut apparemment continuer à polémiquer. »

C’est désormais au tribunal de trancher sur le « caractère sérieux » de ces QPC. La présidente rendra sa décision jeudi à 13h30. Si les magistrats décident de renvoyer l’une d’elles à la Cour de cassation, pour que celle-ci la transmette au Conseil constitutionnel, le procès sera renvoyé. Dans le cas contraire, ils pourront aborder le fond du dossier. La présidente du tribunal a d’ores et déjà laissé entendre que les époux Fillon et Marc Joulaud auraient la possibilité de s’expliquer. Ils encourent dix ans de prison et de lourdes amendes.

CP – EM Chalon – Changeons Chalon – Ce n’est qu’un début

0
rpt
Changeons chalon ne pourra pas présenter de liste aux municipales du 15 Mars 2020. Nous n’avons pas été en capacité de réunir autour de sa démarche le nombre de femmes requis pour présenter une liste. Nous tenions toutefois à remercier tous ceux et toutes celles, qui nous ont accompagné dans la démarche. Nous sommes heureux d’avoir pu faire avancer le débat pour une ville et une politique rénovée. Notre engagement citoyen nous a confirmé dans notre conviction, qu’il était plus que nécessaire de faire évoluer notre ville, dont les politiques s’inscrivent dans le passé et de rénover la façon de faire de la politique qui ne correspond pas au minima de démocratie aujourd’hui nécessaire.
Notre volonté de Changer Chalon nous amène à appeler les Chalonnais à voter pour un changement de majorité. A l’exception d’une candidate, dont les pratiques politiques la disqualifie au regard de nos valeurs. Trois candidats ont à la fois les convictions, la compétence pour amener ce changement. Nous appelons les chalonnais à soutenir ces candidats, la victoire est possible. Nous appelons évidemment ces candidats à se regrouper au second tour et à construire les conditions de ce changement.
Changeons Chalon continuera, quel que soit la future majorité, à essayer de peser concrètement sur l’évolution des politiques municipales, à s’inscrire dans une démarche de vigilance citoyenne pour construire une ville tournée vers un avenir plus solidaire, plus responsable et plus éthique.
Laurent Delrieu
Changeons Chalo

CP – EM Chalon – Le local de campagne de la liste « Cultivons Chalon » une nouvelle fois en proie à des dégradations

0

La serrure du local de campagne forcée…puis des tags portés sur des visages de membres de la liste « Cultivons Chalon »…et aujourd’hui, un troisième acte de dégradation à déplorer pour l’équipe portée par Nathalie LEBLANC : le visage de la tête de liste lacéré sur l’affiche de campagne en vitrine de son local.

L’offre culturelle en matière d’arts plastiques proposée par la ville de Chalon sur Saône serait-elle à ce point dégradée que certaines personnes en viendraient à utiliser peintures, ciseaux et autres outils d’expression artistique pour manifester leurs besoins de communiquer sur des vitrines et en l’occurrence celle d’une candidate et de son équipe aux élections municipales?

Il semblerait qu’à cette question la réponse soit positive…

Mais rassurez-vous Chalonnaises et Chalonnais ! 

Vous pouvez participer aux réunions publiques organisées par les membres de la liste « Cultivons Chalon »  et les rejoindre autour d’un vrai débat démocratique sur le projet culturel proposé pour la ville de Chalon sur Saône dans le cadre des élections municipales des 15 et 22 Mars prochains.

Le programme de Nathalie LEBLANC et de la liste « Cultivons Chalon » prévoit notamment un projet pour l’Île Saint Laurent valorisant la pratique « amateure » des arts.

Il met également à l’honneur la participation citoyenne : chacun est donc libre de s’exprimer dans le respect des droits des autres !

La liberté d’expression est un droit fondamental, constitutionnel, que Nathalie LEBLANC et ses colistiers préserveront toujours, sous toutes ses formes, même les plus originales…tant qu’elle n’aboutit pas à la dégradation des biens et à l’atteinte aux personnes.

Alors plutôt que de dégrader, débattez !

Au lieu de détruire, construisez autour de Nathalie LEBLANC et de la liste « Cultivons Chalon » !

Rejoignez les réunions publiques de « Cultivons Chalon » :

  • Vendredi 28 Février 2020 à 18h30, Quartier Plateau St-Jean, Maison Verte – 2, Rue André Malraux
  • Mardi 3 Mars 2020 à 18h30, Quartier Les Charreaux, Salle des Fêtes des Charreaux – 10, Rue Fourier
  • Jeudi 5 Mars 2020 à 18h30, Quartiers Boucicaut/Champ Fleuri, Maison de Quartier de la paix – 26, Rue de la Paix
  • Lundi 9 Mars 2020 à 18h30, Quartier St-Cosme, Maison Vagneur – 1, Avenue Victor Hugo

CP – EM Chalon – Ensemble Chalon a sa liste

0

Je viens de déposer notre liste Ensemble Chalon à la sous-préfecture.

Dans le cadre des élections municipales, nous assumerons l’étiquette En Marche pour le rassemblement et le dépassement des clivages politiques au service de notre ville. La liste sera présentée samedi matin à la permanence.

Avec une moyenne d’âge de 45 ans représentant l’ensemble des quartiers et des catégories professionnelles, elle sera placée sous le signe du renouvellement, de la jeunesse et de la diversité.

Il est temps de redonner la parole aux chalonnaises et aux chalonnais. D’engager une profonde transformation des méthodes de gouvernance de la ville. De rassembler plutôt que de diviser. De porter un véritable projet fait par et pour les habitants. De s’occuper du centre-ville comme des quartiers. De proposer une nouvelle ambition sociale, écologique et culturelle, pour qu’ensemble, Chalon redevienne une ville d’avance.

Alain Rousselot-Pailley

Tête de liste Ensemble Chalon

Réforme des retraites: Edouard Philippe menace d’utiliser le 49.3

0

Le Premier ministre, Edouard Philippe, a laissé ouverte mardi la possibilité de recourir à l’article 49.3 de la Constitution pour faire adopter sans vote le projet de réforme des retraites, dont 70 heures de débat n’ont permis d’adopter jusqu’à présent que le premier des 65 articles. « Lorsqu’il faut prendre ses responsabilités, je le fais sans hésiter et j’utilise toute la Constitution, rien que la Constitution, mais bien toute la Constitution », a fait valoir lors des questions d’actualité le chef du gouvernement, selon qui « il appartient à l’Assemblée nationale elle-même de faire vivre ce débat ». « Mais à partir d’un certain moment, il faut être clair: nous nous sommes engagés sur ce système universel de retraite par répartition et par points et l’engagement du gouvernement, le fait majoritaire, ça existe », a-t-il ajouté.

Le recours à l’article 49, alinéa 3 de la Constitution, qui nécessite un feu vert du Conseil des ministres, permet au Premier ministre d’engager sa responsabilité sur un texte de loi, et de le faire ainsi adopter sans vote du Parlement (hors mention de censure). « Mon ambition, c’est évidemment de faire en sorte que le débat ait lieu, qu’il soit le plus sérieux, le plus approfondi, le plus intelligent possible pour qu’il ait justement sa fonction éminente qui revient au Parlement, c’est-à-dire de faire la loi », a fait valoir Edouard Philippe.

« Mais si ça n’est pas possible, si au bout de très nombreuses heures de débat, nous constatons que ça n’est pas possible, alors la Constitution autorise, le cas échéant, le Premier ministre à utiliser un article: le 49.3 », a encore détaillé le chef du gouvernement, en rappelant que plusieurs de ses prédécesseurs de droite, notamment Édouard Balladur et Jean-Pierre Raffarin, y avaient en leur temps eu recours.

Dans la matinée, le Premier ministre avait déjà demandé aux députés LREM de « tenir encore » face à « l’obstruction » de la gauche de la gauche sur la réforme des retraites, tout en assurant que si besoin, il prendrait ses « responsabilités » en recourant au 49.3, selon des propos rapportés. « Notre objectif » est d' »adopter la réforme avant l’été », avait-il encore rappelé, soulignant qu’à cette fin, une adoption en première lecture est nécessaire en mars à l’Assemblée nationale.

L’adieu au Grand Chalon…!

0

Ce mardi 25 février 2020 a eu lieu, au Grand Chalon, la dernière séance pour les élus communautaires, avant les élections municipales, le budget primitif adopté.

En fin de la dernière séance du conseil communautaire du Grand Chalon, mardi en début de soirée, Sébastien Martin, a rendu un hommage aux maires et élus qui ne se solliciteront pas un nouveau mandat. Parmi eux, Jean Claude Rousseaux, élu chalonnais et vice-président en charge des finances.

Jean Claude Gress, maire de Fontaines

LES MAIRES QUI NE BRIGUERONT PAS UN NOUVEAU MANDAT

PLAINE SUD : Denis Evrard, maire de Lux depuis 2005, il a été vice-président du Grand-Chalon. Joëlle Tarlet, maire de Sevrey depuis l’automne 2018, elle a succédé à Bernard Duparay, maire décédé et Patrick Le Gall, maire de Varennes le Grand, depuis mars 2008.

PLAINE NORD : Jean Paul Diconne, maire d’Allerey depuis mars 2001- Bernard Lacombre, maire de Saint Loup-Géanges, depuis mars 2001.

VALLÉE DES MARANGES : Jean Pierre Monnot, maire de Saint Sernin-du Bois.COTE CHALONNAISE : Jean Claude Gress, maire de Fontaines

En Une : Jean Claude Rousseaux, élu chalonnais, vice président en charge des finances

Nos photos :Joëlle Tarlet et Denis Evrard- Jean Paul Diconne et Bernard Lacombe- Patrick Le Gall

Joëlle Tarlet et Denis Evrard

Jean Paul Diconne et Bernard Lacombe
Patrick Le Gall

Coronavirus : Pas d’épidémie en France, assure le ministre de la Santé

0

« Un virus ne s’arrête pas aux frontières. » Olivier Véran, fraîchement nommé ministre de la Santé, a indiqué que la frontière italienne ne serait pas fermée malgré la progression rapide du coronavirus Covid-19 dans la botte, assurant qu’une telle mesure n’aurait pas de sens. Le ministre a souligné que la situation épidémique n’avait pas évolué en France, où une seule personnes reste hospitalisée, alors qu’un touriste chinois est mort à Paris et que dix autres patients sont guéris.

« Nous agissons vite, nous agissons fort pour faire face à la menace épidémique (…) et nous prenons toutes les mesures qui sont nécessaires pour assurer la sécurité des Français », a insisté le ministre, en soulignant la « situation très évolutive » de l’épidémie avec l’apparition de nouveaux foyers d’infection hors de Chine, et notamment en Italie voisine. Il a précisé s’être entretenu avec ses homologues italien et allemand. « Nous avons convenu d’un prochain entretien réunissant plusieurs ministres de la Santé de l’Union européenne probablement la semaine prochaine pour aborder ensemble comment faire face au risque épidémique », a indiqué le ministre.

Quelque 70 hôpitaux supplémentaires vont « être activés » pour faire face à une éventuelle propagation en France du coronavirus, afin d’avoir au moins un établissement par département en métropole, a également assuré Olivier Véran.

« Pour accueillir les éventuels malades nous disposions jusqu’à présent de 38 établissements de santé essentiellement les CHU. J’ai décidé en accord avec le Premier ministre que 70 établissements siège d’un Samu seront activés dès demain pour augmenter nos capacités de réponse si c’était nécessaire. »  Ainsi, « tous les départements de métropole disposeront d’au moins un centre hospitalier capable d’accueillir les malades et de les prendre en charge du début à la fin », a-t-il déclaré.