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Sortie vers l’accessibilité…chemin faisant…!

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Ce samedi 6 avril, l’association Bien Vivre à Chalon (BVAC) a organisé une sortie « vers l’accessibilité » car à ses yeux « la ville doit être accessible à toutes et tous, quelles que soient les conditions physique ou psychique, le lieu de résidence, les revenus, l’âge, ou encore les moyens de déplacement ».

L’objectif, selon BVAC, est d’observer ce qui favorise ou fait obstacle à l’accès de tous et toutes à l’ensemble de la vie sociale, culturelle, économique.

« Pas de solutions toutes faites, mais de l’attention et du débat démocratique pour bâtir une ville inclusive ».

Rejoint par les associations « Vélo sur Saône », « Espace Pama » et « Acte », ainsi que par une vingtaine de Chalonnaises et Chalonnais, BVAC a rappelé, par la voix de Joëlle Daviet, les difficultés que peuvent rencontrer les personnes en situation de handicap, mais a également souligné le fait que l’accessibilité est une préoccupation qui touche toutes les mobilités. Le président de Vélo sur Saône, Jérôme Rémy, a partagé avec l’ensemble du groupe les problèmes que rencontrent les cyclistes sur les quais du centre-ville récemment réaménagés.

Le rendez-vous avait lieu devant la mairie de Chalon où le groupe, guidé par Marc Bruneau, membre de BVAC, a pu voir que, si le bâtiment est accessible par un ascenseur pour les personnes à mobilité réduite, il y a encore des progrès à faire : comment se faire connaître à l’accueil quand on est assis dans un fauteuil roulant et que votre tête atteint tout juste le niveau de la banque d’accueil par exemple. Confronté à la sortie à la panne de l’ascenseur, le groupe a dû faire descendre un des deux fauteuils roulants par les escaliers, chacun se rendant alors bien compte que la moindre défaillance peut devenir vraiment problématique !

La promenade s’est continuée par la rue au change où les commerces se sont adaptés en s’équipant de rampe, de sonnettes et autres dispositifs pour permettre l’accessibilité mais en oubliant parfois qu’une personne mal voyante peut percuter les étals situés trop près des accès. BVAC note que la rue pavée avec une travée centrale peut être inconfortable pour un fauteuil ou un déambulateur …

Chemin faisant, Bien Vivre A Chalon a pensé aux enfants et est passé par l’aire de jeu de la place du Châtelet. Si un enfant en fauteuil peut y entrer, il ne pourra pas y jouer, le plan incliné étant barré par un arbre et les accès à la maisonnette n’étant manifestement pas assez large pour permettre l’accès au fauteuil. Quant à un enfant déficient visuel, s’il peut accéder à l’aire et aux jeux, des petits plots sur le passage peuvent s’avérer dangereux pour lui.

A ce stade, Marie Caroline Brazey, artiste dont on peut retrouver les œuvres sur la page Facebook MC SOLAIRE, a montré comment elle avait pu détourner les signalétiques afin d’attirer l’attention sur les différences de façon ludique et humoristique, dans l’espace public.

La visite s’est poursuivie par les feux de signalisation rue du pont et les dispositifs à l’attention des personnes malvoyantes (feux sonores et bandes podotactiles), mais a pu constater le temps très restreint pour traverser.  Un état des lieux des équipements chalonnais, de la prise en charge des télécommandes, du poids des démarches administratives et des difficultés rencontrées dans l’espace public par les personnes malvoyantes a été fait avec Denise Mastrolia, avant de passer au conflit d’usage des quais réaménagés avec l’intervention de Vélo sur Saône. Cette association a mis l’accent sur les informations à donner aux usagers, de façon claire, pour que le respect des différents usages, piétons, cyclistes ou trottinettes, sans compter les bus qui prennent en charge les touristes débarquant des bateaux de croisières, puissent se faire le plus facilement possible, sans danger, et de façon satisfaisante quel que soit l’usager.

L’accès à la culture n’est pas si simple non plus lorsque la mobilité est réduite. Il est pourtant indispensable que même souffrant d’un handicap, on puisse accéder, dans Chalon, ville de la photographie, au musée Niépce … Et pourtant, la collection permanente est située à l’étage et inaccessible à ce public sans l’aide d’un tiers. L’espace patrimoine est dotée d’une rampe d’accès mais la porte est infranchissable en fauteuil sans aide.

Que dire des loisirs ? Bien que l’office du tourisme soit labellisé « Tourisme et Handicap » souligne Georgette Courtemanche, et malgré la gentillesse et la bonne volonté du personnel, il n’est pas aisé de renseigner un touriste sur les loisirs accessibles par une personne en situation de handicap, faute d’informations suffisantes sur ce sujet. A titre d’exemple, il est important de permettre aux personnes en situation de handicap de savoir comment faire une balade sur la Saône : si on sait que l’accès est impossible du fait de la dénivellation entre le quai et le pont de l’embarcation, on peut anticiper l’accompagnement nécessaire.

La balade s’est terminée sur l’aire de jeux pour enfants nouvellement installée sur les quais. Accessibilité aux enfants en situation de handicap moteur, visuel, n’est pas simple, le parcours récréatif étant conçu pour des enfants parfaitement autonomes. Il reste de la place.  Il est donc encore temps d’aménager cet espace pour que toutes et tous, valides ou en situation de handicap, puissent jouer ensemble.

Cette balade « Chemin Faisant » a permis à un certain nombre de Chalonnais et de Chalonnaises, de prendre conscience que nous pouvons vivre ensemble, avec nos différences, nos modes de vie : « Pas de solutions toutes faites, mais de l’attention et du débat démocratique pour bâtir une ville inclusive », pour Bien Vivre A Chalon.

Afghanistan, Talibans…libérez Mortaza

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▶️ AFGHANISTAN ▶️ LIBERTÉ▶️ PRESSE ▶️ MORTAZA BEHBOUDI ▶️ EMPRISONNÉ ▶️ DICTATURE ▶️ TALIBANS

🔺 Six mois après l’arrestation du journaliste Mortaza Behboudi à Kaboul, la mobilisation se poursuit
Ce 7 juillet marque les six mois de détention, dans les prisons des talibans, de notre confrère franco-afghan Mortaza Behboudi. Un compteur a été installé sur la façade de la mairie de Paris-Centre et un bateau est parti du Finistère.

180 jours, 18 heures, 32 minutes : ce sont les terribles chiffres qui se sont affichés sur le mur de la mairie de Paris-Centre jeudi 6 juillet en fin d’après-midi. Terribles car ils correspondent à la durée de détention dans les geôles des talibans de notre confrère Mortaza Behboudi, journaliste franco-afghan, au moment précis où le compteur a été dévoilé. La machine fera dérouler le temps jusqu’à ce que Mortaza soit libre.

Mortaza Behboudi a été arrêté à Kaboul le 7 janvier 2023. Il était arrivé deux jours avant dans la capitale afghane et s’apprêtait à récupérer son accréditation presse, sans laquelle il est impossible de travailler en Afghanistan.

Le journaliste de 28 ans ne vivait plus dans son pays natal, mais il y retournait fréquemment pour son métier. Il a permis à nombre de professionnel·les français·es de comprendre, expliquer et montrer l’Afghanistan de ces dernières années en les aidant à pénétrer dans cette société bouleversée par des années de guerre et, depuis le 15 août 2021, le retour des talibans au pouvoir.
Article Mediapart et autres

L’autre Yves Jamait en dédicace chalonnaise

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C’est le vendredi 28 octobre qu’Yves Jamait, fidèle à Chalon, la voisine de sa ville natale, la fétiche Dijon, dédicace son 8e album « L’autre ». Comme toujours beaucoup de monde, beaucoup de fans, de femmes (avec parfois des cadeaux liquides). Yves passe du temps avec chacune, chacun. Et tout se termine, avec le sourire, des regards tendres, par des Selfies, opérations dont Yves est devenu un spécialiste. Dans cette vidéo, une interview exclusive de Yves Jamait sur son nouvel album et la chanson « Elle est » chantée avec Jean-Marc Poignot, qui en est l’auteur.
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Source Wikipédia
Yves Jamait apprend tout d’abord la cuisine à Dijon (Côte-d’Or) au lycée Le Castel en 19751. En 1977, il découvre la guitare et enchaîne les petit boulots : il devient notamment cuisinier mais aussi manœuvre dans le BTP, animalier en laboratoire pharmaceutique, infographiste… Il est cuisinier dans une colonie de vacances quand un ami musicien lui fait découvrir la musique et il se découvre un amour des mots.

À la suite d’un licenciement en 1998, à 37 ans il utilise sa prime de départ pour former son premier groupe baptisé «De verre en vers». Il fait appel à un ami de l’usine dans laquelle il était tourneur-fraiseur, le bassiste Marc Descloitres. Le duo sera complété par Laurent Delort (guitare) puis peu après par Hervé Faisandaz (batterie) et Christophe Marozzi (accordéon).
En 2003, le groupe sort son premier album « De verre en vers » et change de nom pour s’appeler désormais Jamait. Il a donc déjà plus de 40 ans lors de la sortie de ce premier album. Son talent de chanteur et de compositeur est repéré par Jean-Louis Foulquier, animateur l’émission Pollen sur France Inter. Il le présente à l’animateur de télévision Patrick Sébastien qui lui assure quelques passages télé et devient son producteur. Le premier album du trio est réédité en 2005.
Son deuxième album « Le Coquelicot » sort sur le label Wagram et reçoit un très bon accueil critique et public. En mars 2006, Yves Jamait fait à Dijon son premier Zénith, s’en suivra un autre quelques mois plus tard, un Casino de Paris et son premier Olympia le 2 juin. Sur scène, le groupe est complété par Yvon Cherry (basse) et Marc Benabou (batterie). Jamait reprend sur cet album un titre de Charles Aznavour, La salle et la terrasse. L’album est globalement d’une tonalité assez sombre. Il rend sur Vierzon un hommage à son père qu’il n’a pas connu : ses parents se sont séparés alors qu’Yves n’avait que neuf mois :
Qui aurait dit au reste, qu’une moitié d’orphelin
Que je fus sans conteste, un jour poserait la main
Sur le corps de celui qui fut tant de mystère
Que jamais je n’ai dit le sobriquet de père
De ma vie, de ta vie. De ma vie, de ta vie

Jamait propose une poésie en musique à l’instar de ceux qui l’inspirent ou avec qui il partage la scène: Maxime Le Forestier, Charles Aznavour, Allain Leprest, Anne Sylvestre, Aldebert, Agnès Bihl, Sarcloret et beaucoup d’autres. Guitare, accordéon et textes à fleur de peau.
La solitude (« Célibataire »), la culture ouvrière (« Y en a qui… »), les soirs de cuite (« Et je bois »), l’amour et la séparation (« L’adieu merdeux », « Le carroussel »), la mélancolie (« Le temps emporte tout », « Passe ») sont en effet des thèmes récurrents de cet artiste. Ses textes sont ancrés dans la réalité sociale et il revendique son étiquette Front populaire tout en réfutant celle de chanteur à texte : « je ne suis pas un chanteur engagé, je n’aime pas ce terme et je fais très attention à ne pas tomber dans la caricature du chanteur ouvrier et à me faire récupérer».
Yves Jamait enchaine des salles comme l’Olympia, la Cigale, Le Casino de Paris et des tournées qui l’ont emmené sur la grande scène des Francofolies de La Rochelle, aux Nuits de Champagne, au Paléo Festival Nyon ou comme invité d’honneur du festival Alors…chante ! de Montauban. Il participe également en 2010 aux Francofolies de Montréal.
Son compagnon de route artistique, Didier Grebot, après s’être occupé de la mise en scène et de la réalisation du deuxième album remplace Géraldine Bruyère en tant que manageur pour le troisième album « Je passais par hasard » fin 2008. Ce dernier, comme les deux précédents, est certifié disque d’or.
Il crée également au cours de sa tournée les Bars à Jamait, spectacle marathon où il convie ses amis chanteurs « qu’on ne voit jamais à la télé » à venir se produire avec lui dans une ambiance de franche camaraderie.
Cette série de concerts donne lieu à l’enregistrement du premier album public, Yves Jamait en concert en 2009.
Adopté par sa région d’origine comme un emblème, il aime rappeler son amour pour sa ville natale, notamment dans la chanson Dijon qu’il a enregistrée et portée jusqu’à New York au cours d’un concert exceptionnel en 2009. Il participe aussi régulièrement à des initiatives locales pour des associations et pour la ville et a même fêté ses dix ans de carrière en Bourgogne, en novembre 2011, en proposant vingt concerts réunissant plus de dix mille personnes dans dix lieux différents de la médiathèque municipale au Zénith de Dijon, le 2 décembre, accompagné par un orchestre symphonique de quarante-sept musiciens issus du conservatoire de la ville.
En 2010, sort l’album L’incroyable Histoire de Gaston et Lucie, collectif dont il fait partie, tout comme Gérald Genty, Pierre Santini, Carmen Maria Vega, Monsieur Lune, Oldelaf et Monsieur D, Ben Ricour et Cécile Hercule.
Le 11 octobre 2011 sort le quatrième album studio, « Saison 4 » qui marque en plus de ses cinquante ans, ses dix ans de carrière et de scène. Ce nouvel album de 13 titres est produit par sa propre structure Par Hasard Productions. Remarqué notamment par une réalisation beaucoup plus rock (mais toujours signée Didier Grebot), il inclut un duo avec Zaz, La radio qui chante, et débouche sur une tournée sur la saison 2012/2013 qui passe notamment par le Grand Rex le 3 avril 2012. Lors de ce concert, il apprend peu avant de monter sur scène la présence dans la salle de Charles Aznavour qui déclare « A tous ceux qui disent qu’il n’y a plus de vrais auteurs dans la chanson d’aujourd’hui je réponds, Jamait! ».
Amor Fati sort le 25 novembre 2013. Le nom de l’album fait référence à Nietzsche mais avec une pochette parodique (pose en marcel, un crâne à la main). Cette fois, c’est le crane qui porte la casquette. Amor Fati comme les 2 albums précédents sera certifié disque d’or malgré une faible présence médiatique. Jamait signe la totalité des paroles et musiques.
En 2015, pour produire Je me souviens, Jamait s’entoure de Emmanuel Eveno et Daniel Bravo, deux membres du groupe Tryo. L’album comprend notamment le titre J’ai appris, hommage à Jean Louis Foulquier. Cet album est tourné vers le temps qui passe, thème récurrent dans les textes de Jamait. Il chante un titre avec Sanseverino dédié à leur instrument de prédilection : Accordéon

Le septième album, Mon Totem, est sorti le 12 octobre 201824 dans lequel Jamait signe une nouvelle fois paroles et musiques à l’exception de Dans vos yeux (poème de Gaston Coute) et Je ne vous dirai pas (texte de Bernard Joyet), La sortie de l’album est suivie par une tournée passant par l’Olympia. La photo de la pochette est réalisée par Stéphane Lavoué.

Discographie
Albums studio
2002 : De verre en vers… (Faisage Music / Wagram Music)
2006 : Le Coquelicot (Faisage Music / Wagram Music)
2008 : Je passais par hasard (Faisage Music / Wagram Music)
2011 : Saison 4 (Par Hasard Productions / Wagram Music)
2013 : Amor Fati (Par Hasard Productions / Wagram Music)
2015 : Je me souviens… (Par Hasard Productions / Wagram Music)
2018 : Mon totem (W Lab / Wagram Music)
2022 : L’autre (W Lab / Wagram Music)
Les 13 titres de l’album L’Autre sorti le 7 octobre 2022)
1.L’Autre
2.Les amours clandestines
3.Voir ailleurs
4.Mon garçon
5.A marée basse
6.Sur ta bouche
7.De passage
8.Pas le temps
9.Un peu bancal
10.Quelqu’un quelque part
11.Elle est
12.Une vie
13.Chacun chez soi
Compilations & Live
2009 : En concert (Faisage Music / Wagram Music)
2017 : Je me souviens … Le Concert (Par Hasard Productions / Wagram Music)
2019 : Au tour de mon totem (W Lab / Wagram Music)
2021 : Parenthèse 2 (W Lab / Wagram Music)

La bêche de St-Jean

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Le quartier de St Jean-des-Vignes de Chalon/S (71) a toujours été un quartier de culture : des vignes, puis des potagers. Les maraîchers, comme ceux de St Marcel…ont nourri les Chalonnais, un circuit court, on ne peut mieux. Le développement de la ville a nécessité l’acquisition des terrains pour bâtir des maisons, des lotissements, une clinique privée… La terre cultivée a peu à peu disparu, et cela risque de continuer…Il reste pourtant quelques valeureux qui défendent le maraîchage. C’est le cas de Marie-Claude Revillot, exilé de sa campagne pour les Aubépins, a obtenu, il y a peu de temps, un jardin familial, en l’occurrence 110 m2. Elle raconte son jardin. Ces jardins familiaux sont propriété de la ville. On en compte 600 sur Chalon, beaucoup à Saint-Jean, d’autres aux Prés St-Jean… Ils sont loués pour une modeste somme, sur dossier. Il y règne une ambiance campagnarde et familiale, un sens de l’entraide. Un espace de verdure et d’écologie.

Le Quartier de St-Jean (sources Grand Chalon – 360 degrés – Article de 2014 – Espace du Patrimoine et Archives)
Devenu un quartier de Chalon-sur-Saône au milieu des années 50, Saint Jean des Vignes conserve de nombreuses traces de son passé de commune rurale. Important site à l’époque gallo romaine et au Moyen Age, le secteur fut bouleversé par la construction, au XVIe siècle, des nouvelles fortifications qui enserrent alors Chalon et modifient les tracés anciens d’entrée dans la ville. Hébergeant un fameux couvent de capucins aux XVIIe et XVIIIe siècles, la commune poursuit cependant son activité aux côtés de Chalon sur Saône, qui, ayant besoin de s’étendre, demande l’annexion de sa voisine après la seconde guerre mondiale. Commence alors une nouvelle ère pour toute cette zone, comprenant l’arrivée du canal du centre, la construction des immeubles des Prés Saint Jean et du plateau Saint Jean, jusqu’à, il y a peu, l’établissement d’un nouvel Etablissement pour personnes âgées dépendantes chemin de la coudre…

On a retrouvé Tom Pouce – Comédie musicale

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C’est sous les applaudissements des 120 spectateurs (parents, enfants, habitants) que s’est déroulée la comédie musicale intergénérationnelle « Mais où est passé Tom Pouce ? » les 8 et 9 octobre en salle des fêtes de Champforgeuil. C’est un projet mené par le CCAS de la commune. Aux commande Marielle Pageaut (Directrice du CCAS), à la mise en scène Claudie Parolini des Totors, à la chorégraphie Céline Dabrowski et Liliane Calloud comme chef de Chœur. Il a fallu beaucoup de répétitions, de passion à nos 10 enfants et 10 adultes pour réussir ce joli spectacle, basé sur les contes de notre enfance (le petit poceut, Cendrillon, les 3 petits cochons, Inspecteur Gadget, l’incontournable Grand méchant loup, le chaperon rouge et mère Grand…), revisités bien-sûr. Le pari de faire jouer ensemble des jeunes et des seniors est réussi. Les générations ont eu un plaisir évident de partager la scène.
Ce vendredi 10 novembre, en mairie, projection à nos artistes âgés de 7 à 9 ans de leurs exploits musicaux, scéniques et chorégraphiques. Il était tous là, une cinquantaine de personnes en présence dr Mme la Maire de Champforgeuil. Pendant la projection vidéo de leurs exploits scéniques, filmés par CTV, le public, les artistes chantent, applaudissent. On retrouve l’esprit festif des représentations et des répétitions. Tout au long de ces nombreuses répétitions et des 2 représentations, à Champfo, on n’a pas attendu d’être heureux. Après le pot des artistes, Chacun repart avec une clef usb de leurs captures vidéos, réalisées par CTV, de leurs répétitions, de la générale et de la comédie musicale « Où est passé Tom Pouce ? » Comédie musicale que vous pourrez voir en intégralité ici ou sur notre site sous peu.

Talents sur Saône, soirée d’artistes en tout genre au Piccolo

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Ce samedi 1 octobre 2022, le théâtre Piccolo situé Rue au Fèvres à Chalon sur Saône, a ouvert ses portes pour accueillir le show de Pierre Paillard : Talents sur Saône.
Show retransmis en direct à l’hôpital de Chalon-sur-Saône grâce aux techniques de Constance Production.
Les objectifs de ce spectacle sont :
1️⃣ Faire sortir les gens de leur canapé (Netflix est gentiment pointé du doigt).
2️⃣ Applaudir des artistes locaux connus ou inconnus de la scène chalonnaise.
3️⃣ Soutenir les enfants hospitalisés de l’hôpital William Morey. Les ventes des billets sont reversées à l’association »Écoute et Soutien » fortement impliqué auprès du service pédiatrique de Chalon sur Saône.
Le spectacle a duré environ 2h. Les artistes se sont succédés dans la joie, avec pour chef d’orchestre de la soirée, Pierre Paillard, qui a su séduire l’audience du Piccolo dès son arrivée fort marquante.
Le public a découvert différents artistes aux talents variés. Pour commencer la soirée, Lucas Gandroz-Fernandez a écrit un monologue sur « Le Talent » en évoquant les personnalités qui ont marqué l’histoire de Chalon.
Une violoncelliste du concervatoire du Grand Chalon, Jade Lapchin, a envoûté le public.
Ensuite les danseurs de l’école de danse Colmar (Emelyne Colmar et Moussa Camara) ont enflammé la scène avec valse, Chachacha… notamment sur l’air entraînant « Don’t stop me now » de Queen.
Imitations et musiques ont ponctué la soirée grâce à Sophia Becker et son piano, en reprenant Véronique Sanson. Ainsi que Camille Carminot qui a imité en chanson Piaf, Barbara, Céline Dion. Camille est imitatrice et chanteuse lyrique, elle a chanté en solo « Voice Sapete » de Mozart.
« Selules » du concervatoire ont interprété leur création « l’antre du kraken ».
3 comédiens (Pascal Fonta, Anne-Marie Michelin et Aurore Lafay) ont chanté et joué une opérette « Ciboulette ».
Une interprétation improvisée en danse hip hop par la compagnie Espace de rue. Les mots tirés au sort étaient Espoir, Surprise et Rêve.
Tous ces talents réunis en une soirée ont mis le feu aux planches.
Le spectacle se clot avec un rappel non prévu des Beatles.
Cette première édition est un défi relevé avec brio et talents.

Un coup de ciseaux en Soutien aux Femmes iraniennes vendredi 7 avec CTV…

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Messages sans précédent d'actrices et de chanteuses françaises de renom (Juliette Binoche, Marion Cotillard, Isabelle Adjani, Isabelle Huppert, Angèle...) qui se coupent les cheveux en soutien au combat des Iraniennes pour leur liberté.

Un coup de ciseaux en Soutien aux Femmes iraniennes vendredi 7 avec CTV…
Comme de nombreuses femmes iraniennes, comme cinquante artistes françaises, comme de nombreuses femmes partout dans le monde démocratique… Chalonnaise venez aussi apporter votre soutien à vos sœurs iraniennes, venez couper une mèche de vos cheveux devant notre caméra au 30 rue de Foudras, vendredi 7 de 13h à 14h et de 16h à 19h

CP Chalon l’insoumise : Ciné Médias débat 7 octobre

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Film Média Crash
« Il y a ce que vous voyez, ce que certains souhaitent que vous voyiez, et ce que vous ne voyez pas. Jamais la France n’a connu une telle concentration des médias privés. Quelques industriels milliardaires, propriétaires de télévisions, radios, journaux utilisent leurs médias pour défendre leurs intérêts privés. Au détriment de l’information d’intérêt public. En cachant ce qui est essentiel, en grossissant ce qui est accessoire, ces médias façonnent, orientent, hystérisent pour certains le débat. Avec la complicité de certains responsables politiques, qui s’en accommodent volontiers. Mediapart et Premières Lignes vous racontent les coulisses des grands médias. »

Vendredi 7 Octobre à 20h
Cinéma Mégarama
Rue René Cassin
71100 Chalon sur Saône

Tarif unique de 8€

A l’issue de cette séance, différents intervenants ont accepté de participer à un moment d’échanges avec les personnes présentes dans la salle.

– Luc Hermann, coproducteur de l’enquête et producteur de Premières lignes (Cash – Investigation).

– Richard Beninger, Membre du parlement de la NUPES et ancien directeur d’entreprises de presse.

– Dominique Gaye, journaliste pour Chalon TV

Cette démarche de Chalon l’Insoumise a pour objectif de nous faire réfléchir collectivement au traitement de l’information et à la place prise par les médias d’opinion dans notre société.

Harmonie poétique et musicale improvisée

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Exclusif : Ce dimanche 25 septembre, Krystel Cotelle, psychothérapeute, auteure de poésies et du livre « EN PLEIN VOL, Dialogues et confidences » et Frédéric Prébolin, pianiste compositeur, unissent leurs talents pour un concert privé (17 personnes) dans la résidence chalonnaise de l’écrivaine.
Frédéric improvise sur des poèmes courts dits par Krystel, créant une ambiance feutrée, douce, profonde et apaisante. Ensuite Frédéric improvise sur des mots, comme nuance- lumière, donnés par le public conquis. Le tout se termine par le verre de la poésie musicale.
Bientôt sur notre site chalontv.info, une interview de Krystel Cotelle sur son parcours artistique et humain et de Frédéric Prebolin

CP Intersyndicale : Grève du 29 septembre

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Journée de grève interprofessionnelle
le 29 septembre 2022 sur les salaires, pensions et allocations à l’appel de l’intersyndicale CGT, FSU, Solidaires
Les mesures gouvernementales annoncées sur le pouvoir d’achat sont en dessous de la situation de paupérisation de la population. La loi votée cet été se contente de poser quelques rustines et, à travers les exonérations de cotisations, ampute le salaire socialisé, fragilisant la protection sociale. Dans la fonction publique, la revalorisation de 3,5% de la valeur du point d’indice est en deçà de l’urgence à relever l’ensemble des rémunérations de 10% au moins tout de suite pour préserver les conditions de vie de tou-tes. De même pour les retraité-es, les 4% de revalorisation des pensions ne correspondent pas à l’inflation, la situation des retraité-es continue donc de se dégrader.
La crise énergétique pèse déjà fortement sur la population, particulièrement les plus précaires, tandis qu’aucune mesure réelle n’est prise pour une transition écologique juste. Le gouvernement se contente d’incitations à des économies d’énergies culpabilisantes, tandis que d’autres pays européens s’engagent dans la taxation des superprofits des entreprises du secteur énergétique et que d’autres mettent en place des passes ferroviaires gratuits !
Le gouvernement poursuit aussi une politique fiscale qui assèche les comptes de l’Etat au profit des grandes entreprises et au détriment des services publics (santé, éducation…) et du financement de la transformation écologique. Par ailleurs, il prévoit une réforme de l’assurance chômage qui va à l’encontre du droit des travailleur-euses de la possibilité d’avoir des indemnisations du chômage justes, une réforme du RSA qui le conditionnerait à une obligation de travailler de 15 à 20h hebdomadaires, et continue d’envisager une réforme des retraites qui exigerait de travailler davantage et pourrait conduire à amputer encore davantage le montant des pensions.
En ce qui concerne les jeunes et leurs familles, les aides (bourses, ARS) ne sont pas suffisantes pour compenser l’inflation. Une revalorisation significative des bourses scolaires et de l’ARS est nécessaire pour pallier le prix de la rentrée (qui avec l’inflation a grimpé de 5 à 10 %). De plus, trop peu de familles bénéficient de cette aide en raison du plafond de ressources à ne pas dépasser.
C’est pourquoi la CGT, la FSU, l’Union syndicale Solidaires, appellent à une journée de grève interprofessionnelle le jeudi 29 septembre qui doit s’inscrire dans une mobilisation large et dans la durée.
Le rassemblement Chalonnais est fixé à la maison des syndicats
– 2 rue du Parc – à Chalon à 10 h 00.
Un parcours de manifestation a été déposé.
Les Chalonnais-es pourront rejoindre la manifestation départementale
sur Montceau les Mines aussi l’après midi à 14h00.

Photo ajoutée par CTV : cestlagreve.fr