Face à l’usine à gaz du passe dit « sanitaire »
Opposons la fraternité et la convivialité avec un pique-nique festif !
Mercredi 11 août, à partir de 19h,
rue de Strasbourg, sur l’île St Laurent
Chalon dans la rue continue !
En bafouant les libertés fondamentales et en piétinant le principe d’égalité le gouvernement Macron/Castex par sa loi votée le 25 juillet dernier tend à différencier la population avec, de fait, deux catégories de citoyens : les détenteurs du passe dit ‘sanitaire’ -‘passe sanitaire’ jetant aux oubliettes le secret médical- et les autres privés d’accès à des services, à des commerces notamment. Des citoyens de seconde zone en somme.
Le Conseil constitutionnel en avalisant l’invraisemblable à quelques détails près oublie, ce faisant, que la population est éduquée et instruite. Ainsi, le Conseil constitutionnel jette dans la rue des dizaines de milliers de personnes supplémentaires venant grossir les rangs des centaines de milliers de citoyens qui ont réagi depuis plusieurs semaines !
« Il ne s’agit pas d’édifier à grand peine des institutions libérales, il s’agit d’avoir encore des hommes libres à mettre dedans » écrivait, déjà, G. Bernanos en…1947 ! (dans son essai La France contre les robots)
Les participant-e-s lors de la manifestation de samedi dernier à Montceau les Mines comme à Chalon – 3 fois plus nombreux par rapport à la 1ère manifestation du 04 août – ont décidé de poursuivre la mobilisation mercredi 11 et jeudi 12 août par une action où fraternité et convivialité riment pour s’opposer à l’usine à gaz du ‘passe’ dit ‘sanitaire’.
N’oublions pas pliants, chaises et tables de fortune qui permettront de se retrouver nombreux dans la bonne humeur afin de renouer avec la convivialité et les rencontres trop longtemps suspendues en renforçant des liens nouveaux.
Les revendications demeurent :
- le retrait le retrait de cette loi et de l’état d’urgence sanitaires,
- le respect des droits et libertés fondamentales,
- des moyens financiers et humains à la hauteur des besoins de la population dans les hôpitaux publics et les Ehpad,
- l’abandon des lois et projets sur l’assurance chômage et les retraites.
- la levée des brevets sur les vaccins et les traitements anti-covid,
- une rupture avec le modèle agricole et alimentaire industrialisé nocif à la biodi-versité et responsable de zoonoses.