La ministre de la santé avait jusqu’à hier 8 février pour répondre à la demande de l’hôpital de Chalon pour l’ouverture de l’angioplastie.
Sa non réponse vaut un refus. D’autres actions seront menées par le service de cardiologie de l’hôpital. L’avenir s’annonce sombre malgré les convictions exprimées sur le grand Chalon pour cette ouverture.